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Auteur : Jimmy DALLEEDOO

Les origines de la colère de l’Ours...

Jimmy DALLEEDOO

Les médias occidentaux affirment que le début de la guerre entre la Russie et l’Ukraine aurait débuté aux environs du 24 février 2022. En réalité, la guerre ne cesse jamais dans le cadre de l’impérialisme. Les différents pays impérialistes sont interdépendants, mais ils sont aussi en concurrence. La guerre militaire est le degré supérieur d’une guerre qui commence toujours au niveau de l’économie et des idées. Les médias ont créé un clivage presque idiot qui consisterait à dire que les « méchants » sont à l’Est, alors que les « gentils » sont à l’Ouest. Malheureusement, la géopolitique est plus complexe que cela. La guerre n’a jamais cessé après la chute de l’URSS et elle n’a fait qu’atteindre un degré supérieur avec le coup d’État néonazi d’Europe-Maïdan.

1— L’Euro-Maïdan fasciste Nous sommes le 9 février 2014 sur la place Maïdan à Kiev. Des drapeaux noirs et rouges dansent comme des reptiles putrides : ce sont les milices néonazies Pravy Sektor et Svoboda. Elles s’appellent le parti social nationaliste d’Ukraine (référence au NSDAP d’Adolf Hitler) : ils sont antisémites, anti-Russes. Ces reptiles putrides amorcent la rébellion de Maïdan. Ces reptiles déversent leur venin en distribuant des exemplaires de Mein Kampf et la place Maïdan s’en réjouit. Le dirigeant de Svoboda, Oleg Tyahnybok, reçoit les dirigeants politiques du monde occidental se précipitant à Kiev pour apporter leur soutien à ces formations politiques néonazies. Se succèdent : Laurent Fabius qui est alors le ministre des Affaires étrangères pour la France ; Catherine Ashton qui est la chef de la diplomatie de l’Union européenne ; John McCain qui est sénateur des EU ou encore Victoria Nuland qui est la sous-secrétaire d’État de l’administration Obama. Barack Obama avait d’ores et déjà oublié (...) Lire la suite »

Danton et Robespierre : l’histoire des stentors de la Révolution française…

Jimmy DALLEEDOO

Certains préfèrent Danton, mais d’autres préfèrent Robespierre. Ils furent les stentors de la grande Révolution française de 1789. Ils n’étaient pas seuls évidemment. En réalité, la révolution n’a pas commencé en 1789. Elle a commencé dans les esprits bien avant 1789. Nous devons discuter, débattre des origines de notre révolution française. Discuter, débattre aussi des personnages clefs de cette révolution. Danton et Robespierre en sont clairement les deux piliers. Il nous faut revenir à leurs enfances, leurs études, leurs vies simplement. Une révolution n’est pas uniquement sociale, elle est aussi cérébrale. La révolution de 1789 n’échappe pas à cette règle universelle. Je m’excuse d’avance auprès des lecteurs pour la longueur de mon texte, mais il m’aurait été difficile de faire plus court.

1- L’origine Ils avaient 30 ans lorsqu’eût lieu la révolution. Ils étaient la deuxième génération des révolutionnaires. Mirabeau représentait la première génération. Ce dernier avait 40 ans lors de l’ouverture des états généraux de 1789. La jeune génération de trentenaire était faite d’hommes exaltés, fougueux, de jeunes loups prêts à en découdre. Ils étaient la parfaite illustration de ce que les Romains appelaient la Juvenilis ardor : l’ardeur de la jeunesse. Ils étaient jeunes, dans la force de l’âge, une maturation intellectuelle, une expérience dans leurs professions, des moyens physiques et des convictions. Robespierre était le plus jeune des élus du tiers état. En effet, la moyenne d’âge pour les autres députés était de 53 ans. Il avait donc plus de 20 ans de moins que les autres. Le grand Robespierre fut un poussin avant de devenir le coq français combattant qu’on admire encore maintenant. Il se rangera du côté « des élus patriotes » lors de l’Assemblée nationale constituante. Il n’était évidemment pas le (...) Lire la suite »

Les dix commandements du prochain Président de la République française

Jimmy DALLEEDOO

Dans quelques mois nous changerons de Président. Est-il possible qu’un seul homme puisse représenter la somme totale des subjectivités de la nation ? Est-il sain qu’une seule personne puisse décider pour tout un peuple ? Ce qui est certain, c’est que, quelle que soit sa « famille politique », le postulant à l’élection présidentielle ne sera pas candidat pour rien. Il a été choisi par des forces qui savent ce qu’est l’Homme à l’état de nature. Il lui faudra conjuguer sa visée économique, sociale, politique avec ce que représente l’Homme dans son essence.

1er commandement : le futur président devra étouffer l’acte révolutionnaire L’acte révolutionnaire correspond à une nécessité de l’histoire qui dépasse les prérogatives du représentant bourgeois. Il le sait, ils le savent. Pour que l’histoire soit effective, l’humanité doit accoucher d’elle-même à partir de l’acte révolutionnaire. En effet, l’Homme est doté d’un réel vivant qui est un point d’altérité inhérent à l’espèce humaine. Il est incontrôlable, indépassable et n’obéit à aucune loi. Aucun gouvernement ne peut le diriger : qu’il soit capitaliste ou socialiste. Il est certain que les prérogatives d’un président de la République permettent à ce représentant bourgeois de laisser aller son réel vivant à lui : il n’est pas « le chef des armées » pour rien ! L’armée impérialiste devient le prolongement matériel du réel vivant présidentiel. D’ailleurs, un ancien président de la République, François Hollande, avait révélé l’existence d’« opérations homo », c’est-à-dire des assassinats ciblés organisés par les services secrets. (...) Lire la suite »
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Covid-19 : de la vague épidémique à la vague psychiatrique…

Jimmy DALLEEDOO

Le militant anti-vaccin Pfizer Jean-Bernard Fourtillan a été interné dans l’hôpital psychiatrique d’Uzès (Gard) le 10 décembre 2020. Il avait été vu dans l’excellent documentaire “Hold-Up”. Cet internement a été effectué dans un silence assourdissant. Presque aucun média n’a mentionné cet internement. Le gouvernement veut-il cacher aux Français le véritable objectif du vaccin Pfizer ? Au point d’arrêter toutes les personnes qui s’y opposeraient ? Et, pourtant, la médecine psychiatrique a longtemps servi pour enfermer les différentes formes d’opposition dérangeantes. Cet article a été écrit sur la base du Étouffer la révolte du psychiatre Jonathan M. Metzl. Le professeur y dénonce les agissements de la médecine psychiatrique utilisée par les gouvernements de l’époque pour enfermer des « personnes schizophrènes ». C’est ainsi que furent enfermées des femmes qui s’opposaient à leur mari ou des hommes noirs qui, lors du mouvement des droits civiques, militaient pour leurs libertés. Ces « femmes » ou ces « nègres » étaient taxés de malades mentaux parce qu’ils avaient osé se rebeller contre leur « maître ». Evidemment, des livres institutionnels comme le DSM s’affirmaient comme une construction sémantique savamment orchestrée par les institutions de l’époque. Cet article pose des questions. Son objectif est d’enrichir les débats, les discussions, de poser encore d’autres questions. Si les forces du capital ont utilisé la médecine pour « étouffer la révolte » ou « mater le peuple » pourquoi ne le feraient-elles pas aujourd’hui sous couvert de la Covid-19 ?

1) Les femmes au foyer et les hommes noirs étaient des malades mentaux Au milieu du XIXe siècle, les esclaves noirs essayant de s’échapper des griffes de leur maître souffraient de Drapétomanie. Evidemment, nous savons dorénavant que cette maladie n’a jamais existé. Une autre maladie farfelue existait aussi : la dysaesthesia aethiopis. Cette dernière « maladie » se matérialisait par une forme de folie, une « scélératesse », un « irrespect » de la propriété du maître blanc tout-puissant. Pas de panique ! Puisque, selon les psychiatres et les politiciens de l’époque une cure à coups de fouet permettait la guérison ! On en rigolerait presque aujourd’hui mais, à l’époque, ils ne rigolaient pas du tout ! En effet, pour ces barbares de l’époque, les « nègres » étaient inaptes à la liberté. Heureusement, la Drapétomanie et autres termes ont été jetés dans les poubelles de l’histoire. Mais la folie est toujours considérée comme une maladie et est dotée d’une définition clinique. A l’époque, la classe dominante définissait (...) Lire la suite »
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Le nouvel ordre mondial capitaliste/fasciste se met en place sous couvert du Covid-19

Jimmy DALLEEDOO

Karl Marx affirmait : « Le capital abhorre l’absence de profit ou un profit minime, comme la nature a horreur du vide. Que le profit soit convenable, et le capital devient dangereux : 10% d’assurés, et on peut l’employer partout ; 20%, il s’échauffe ; 50%, il est d’une témérité folle ; à 100%, il foule aux pieds toutes les lois humaines ; à 300%, et il n’est pas de crime qu’il n’ose commettre, même au risque de la potence. Quand le désordre et la discorde portent profit, il les encourage tous deux ; pour preuve la contrebande et la traite des nègres » (Le Capital tome 3). Alors pourquoi les forces du capital ne prendraient-elles pas le contrôle de nos existences via le confinement, les règles sanitaires sous couvert de la Covid-19 ? Pourquoi elle le ferait ? Eh bien…

1- Les origines du virus Nous ne verserons pas dans le complotisme évidemment. Mais connaître les origines du virus est une question qui mérite quelques lignes. La première hypothèse consiste à affirmer que la Covid-19 aurait été transmise à l’Homme via les animaux. Pour la virologue Chinoise Shi Zhengli, ce virus a été différencié des autres virus il y a environ 40 à 70 ans. Le génome de ce nouveau pathogène est composé d’environ 30 000 nucléotides et est très proche du RaTG13 qui avait été identifié en 2013 dans la province de Yunnan en Chine. Ce virus serait doté d’une caractéristique troublante : il reconnaîtrait les récepteurs situés à la surface des cellules humaines lui permettant ensuite de les infecter. Certains virus circulent via des intermédiaires. Le pangolin ou la chauve-souris ont été considérés très rapidement comme étant de possibles « intermédiaires ». Des virus peuvent donc passer de l’animal à l’Homme : c’est ce qu’on appelle le transfert zoonotique. L’apparition de la Covid-19 aurait une (...) Lire la suite »
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La marche des zombies

Jimmy DALLEEDOO

Étymologiquement, le mot "zombie" est un dérivé de "zonbi" en créole haïtien ; "nzumbe" ou "nzambe" en kimbundu/kikongo. Le zombi serait une personne ayant perdu toute forme de conscience, d'humanité, et au comportement violent envers les êtres humains. "L'Homme civilisé" a été transformé en zombie par la force des "exigences civilisationnelles". Cette transformation se caractérise par un degré d'acceptation de la violence obscène de la dictature du capital. Lorsque notre frère est mutilé, matraqué, tué par une violence policière et que nous réagissons passivement, pouvons-nous nous revendiquer encore comme des "Hommes" ? Lorsque des enfants meurent de la famine, de la barbarie des guerres impérialistes et que nous laissons faire, sommes-nous encore des "Hommes" ? Lorsque nous acceptons des "règles sanitaires" (sous prétexte du Covid-19 évidemment) permettant à la dictature du capital de renforcer sa dictature de classe et les restrictions de nos libertés, sommes-nous encore des "Hommes" ? Quels-sont les éléments de transformations de l'Homme en zombie ? Quelles sont les caractéristiques du zombie ? La psychanalyse de Freud ou le marxisme ont apporté des prémisses de réponse à ces questions. lls ont démontré que l'Homme ne pense pas par lui-même, qu'il n'utilise pas son "propre entendement", noyé qu'il est dans des « préjugés pétrifiés ». Un état social de l'Homme trouverait donc sa cause dans les "exigences civilisationnelles" transformant l'Homme en zombie. La première partie de l'article concernera les outils de transformation de l'Homme en zombie ; la deuxième partie, les caractéristiques du zombie ; la troisième partie, les exemples concret (les répressions policières et le Covid-19) confirmant ainsi que l'Homme s'est transformé en zombie.

1- Quels sont les outils de transformation de l'Homme en zombie ? L'homme à l'état de nature serait uniquement méchant, barbare, violent, égoïste. L'Homme à l'état de nature serait un loup pour l'Homme. Les Hommes se plaindraient de la civilisation, des contraintes qu'elle leur impose. Ces contraintes déclencheraient chez certains hommes un malaise. Ce malaise insufflerait chez certain un "doux rêve" qui consisterait, par exemple, dans l'abolition de la famille, de la propriété privée ou la mise en commun de certains biens. L'homme ne pourrait pas échapper à ce malaise ! Il doit en effet s'adapter à des exigences civilisationnelles qui ne sont pas du même ordre que l'adaptation de l'Homme à son environnement. La civilisation est le produit de l'Homme parvenu à un stade supérieur de son développement, mais elle ne peut pas répondre aux désirs de l'Homme. Il s'ensuivrait donc un malaise, une inquiétude, une souffrance perpétuelle. Kant ne disait-il pas que "nous sommes civilisés au point d'en être (...) Lire la suite »

Après le COVID-19 devrions-nous nationaliser ou collectiviser ?

Jimmy DALLEEDOO

La question de la nationalisation s’est imposée eu égard aux circonstances. En effet, la crise du COVID-19 a démontré l’incapacité du capitalisme à protéger le peuple, mais aussi sa fragilité, son obsolescence. Nationaliser nos moyens et instruments de production changerait-il quelque chose à l’affaire ? Pourquoi ne pas collectiviser les moyens et instruments de production et non pas les nationaliser puisque l’État représente une minorité dominante, exploiteuse d’une majorité exploitée. Dans cet article, nous allons essayer de différencier la nationalisation de la collectivisation et leurs conséquences. Pour comprendre cette question nous ferons un passage via 1917 en Russie. Ensuite, nous reviendrons dans la France du passé et actuelle. La crise du COVID-19 a démontré que la propriété privée des moyens et instruments de production est un obstacle qui doit être balayé immédiatement. Mais la nationalisation dans un État tel que nous le connaissons ne changera rien à nos existences. Pourquoi ?

1- Les bases universelles pour une nationalisation judicieuse (plan extérieur) « Ce qui caractérise le communisme, ce n’est pas l’abolition de la propriété en général, mais l’abolition de la propriété bourgeoise ». (Marx et Engels, Manifeste du Parti communiste). Pour réussir l’insurrection, celle-ci ne doit pas s’appuyer sur un complot, mais sur une classe d’avant-garde. C’est le premier point. L’insurrection doit s’appuyer sur l’élan révolutionnaire du peuple. Second point. L’insurrection doit surgir à un point nodal de l’histoire dans laquelle est palpable l’essor des idées révolutionnaires et où les activés de l’avant-garde sont efficientes. Troisième point. L’insurrection doit surgir lorsque les hésitations chez l’adversaire sont les plus fortes. Quatrième point. L’insurrection est un art. Elle n’est pas « j’ai envie de tout casser ». Bref, l’insurrection est une destruction créatrice. Le peuple russe de 1917 avait été orienté sur les chemins de l’insurrection. Le parti Bolchevik jouissait d’une légitimité (...) Lire la suite »

Coronavirus ultimatum

Jimmy DALLEEDOO

Le coronavirus existe, il tue, il décime, il supprime : affirmant ainsi que l’Homme est une quantité négligeable perdue dans l’univers. Mais ce gouvernement utilise ce virus comme un paravent pour voiler la réalité du mode de production capitaliste. Les krachs boursiers, le déploiement des forces de répression n’ont pas pour cause unique le virus ! Faux ! Leur source trouve son origine dans la nécessité de domination et d’oppression de ce gouvernement. Cette nécessité est intrinsèque au capital et identique dans tous les pays capitalistes. Les conditions objectives semblent désormais réunies pour une révolution : mais les révolutionnaires ne sont pas encore prêts ! Alors qu’un virus nous décime, le capital utilise celui-ci pour abattre ses cartes ; les circonstances imposent aux révolutionnaires de cesser leurs divisions : la vie édicte son ultimatum…

1- L’origine du coronavirus Le coronavirus est apparu en Chine. Le point de départ de ce virus serait le marché de Wuhan. En effet, nous y retrouvons chauves-souris, serpents, pangolins et d’autres espèces animales sauvages. D’après certains scientifiques, ces animaux sauvages sont des réservoirs ou hôtes naturels du coronavirus. Début février, des chercheurs chinois affirmaient que le pangolin était l’animal sauvage porteur du virus. Une étude de l’université agricole du sud de la Chine alléguait que les analyses génétiques du virus prélevées sur les pangolins et les hommes étaient identiques à 99%. Le premier cas de coronavirus en Chine serait apparu le 17 novembre 2019. La Chine certifiait dans le même temps qu’elle n’avait pas identifiée le « patient zéro ». Les médecins chinois n’auraient réalisé qu’à la fin du mois de décembre qu’ils étaient confrontés à une nouvelle maladie. Toujours est-il que le virus se propage comme une traînée de poudre à travers le monde. Le 11 mars 2020, l’OMS (l’Organisation (...) Lire la suite »

L’impérialisme, stade suprême de la catastrophe écologique…

Jimmy DALLEEDOO

L’Australie a subi une catastrophe sans précédent en raison d’incendies dévastateurs. 500 millions d’animaux auraient été tués par les feux, 24 personnes sont mortes, des milliers d’autres ayant dû fuir leur habitation ont été poussées sur les routes, 5,9 millions d’hectares ont été détruits soit plus de deux fois la Belgique. Les causes n’en sont pas uniquement climatiques même si, de toute façon, le climat lui-même est déréglé en raison d’un productivisme humain poussé à son paroxysme. Malheureusement, cette catastrophe en Australie est révélatrice d’un problème qui a atteint un niveau de gravité sans précédent. Elle reflète cette réalité que l’unité de l’homme et de la nature s’est effondrée sur l’autel du profit capitaliste. Dans cet article, nous reviendrons sur la destruction de notre planète dont la cause est un mode de production qui démontre tous les jours son incapacité, son obsolescence et les désastres qui lui sont inhérents.

1- Dialectique de la nature Pour le matérialisme dialectique, la notion de « nature » comprend la réalité universelle dans sa globalité. Pour le matérialisme dialectique, la « nature » n’est pas liée à des phénomènes isolés et sans lien entre eux. Les formes de mouvements de la matière (et donc de la nature) sont les frottements, la chaleur, la lumière, l’électricité, le magnétisme, le rayonnement radioactif, les réactions chimiques, le métabolisme biochimique ou encore la photosynthèse : la nature est un processus de devenir permanent. L’homme lui-même est le produit très élevé de la nature en mouvement : l’homme est la nature qui a conscience d’elle-même. Ces phénomènes ne sont pas séparés, puisqu’ils se conditionnent réciproquement et sont en conflit (loi de la contradiction) dans le même temps. Ces formes de mouvement s’articulent via des particules subatomiques dans le microcosme et trouvent leur magnifique expansion dans les amas galactiques. Le matérialisme dialectique considère que la nature est une réalité (...) Lire la suite »
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Pendant que des tags sur les murs des permanences LREM sont dénoncés comme des « attentats »...

L’impérialisme, stade suprême de la famine...

Jimmy DALLEEDOO

Amal Hussain (photo) est décédée à l’âge de 7 ans le 2 novembre 2018. Cette petite Yéménite a été torturée par la faim : la photo d’elle avant sa mort est insoutenable à regarder. La maman de cette petite fille, Mme Mariam Ali, disait : « Amal était toujours souriante. Maintenant, je suis inquiète pour mes autres enfants ».

D’après le programme alimentaire mondial (PAM), un enfant de moins de cinq ans meurt de faim toutes les 11 secondes dans le monde : cela représenterait 3 millions d’enfants chaque année ! Au Yemen, les chemins humanitaires qui permettraient de convoyer des aides alimentaires ont été coupés par les forces de la coalition saoudienne : la petite Amal Hussain n’a pas bénéficié de ces aides alimentaires. Amal Hussain a été classée dans les « dommages collatéraux » : c’est-à-dire acceptables pour les pays impérialistes. Les pays impérialistes sèment la confusion, la guerre, la misère, la ruine au service du surprofit capitaliste : la famine est une arme de guerre de l’impérialisme. Pendant que des tags sur les murs des permanences LREM sont dénoncés comme des « attentats », la mort de milliers d’enfants sous les bombardements a été présentée comme un « apport de la démocratie » ! surtout lorsqu’on sait que ces armes militaires ont été vendues par la France... L’impérialisme, oppresseur des peuples Il y aurait plus (...) Lire la suite »
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