L'art de la guerre. La signification politique de ce vote est claire : les membres et partenaires de l'OTAN ont boycotté la résolution qui, sans la nommer, remet principalement en cause l'Ukraine, dont les mouvements néo-nazis ont été et sont utilisés par l'OTAN à des fins stratégiques.
Ce n’est pas du Covid, donc l’information est passée quasiment inaperçue : le Japon va décharger en mer plus d’un million de tonnes d’eau radioactive provenant de la centrale nucléaire de Fukushima.
Les ministres de la Défense de l’OTAN (pour l’Italie Lorenzo Guerini, Pd)) réunis en vidéoconférence les 17/18 juin, ont pris une série de “décisions pour renforcer la dissuasion de l’Alliance”. Mais personne en Italie n’en parle, ni dans les médias (réseaux sociaux compris) ni dans le monde politique, où sur tout cela règne un silence multi-partisan.
La Fondation Rockefeller a présenté le “Plan d’action national pour le contrôle du Covid-19”, en indiquant les “pas pragmatiques pour rouvrir nos lieux de travail et nos communautés”.
Quand Macron déclarait la guerre au coronavirus, ce n’était pas qu’une image. Pendant que les ministres de l’Otan désignent un passionné d’armes nucléaires pour soutenir la lutte contre le coronavirus, la France et la Grande-Bretagne envoient des navires de guerre rejoindre la flotte des EU au large des côtes vénézuéliennes. Washington accuse Maduro de trafic de drogue. Pour rappel, le Venezuela a les plus grandes réserves pétrolifères au monde. Par ailleurs, la chute du prix du baril a plongé les entreprises pétrolières et les banques étasuniennes dans la crise… (IGA)