Dans une tribune du journal Le Monde (1), 27 « chercheurs » sinophobes ont diffamé deux des grands musées nationaux français, le musée du Quai Branly-Jacques Chirac et le musée Guimet. Ils les accusent de courber l’échine « devant Pékin » en « effaçant le mot ‘Tibet’ de leurs collections ».
Le 12 juin, la Chambre des représentants des États-Unis a voté un projet de loi appelé « Resolve Tibet Act ». Une délégation étasunienne, dirigée par Nancy Pelosi et le président de la Commission des affaires étrangères de la Chambre des représentants des États-Unis, le Républicain Michael McCaul, s’est ensuite rendue en Inde pour remettre une copie du texte au dalaï-lama. Après Hong Kong, le Xinjiang, Taïwan et la Mer de Chine du Sud, les États-Unis viennent donc de ressortir la « question du Tibet » de leur boîte à outils de propagande contre la Chine, et ils vont plus loin que jamais dans la provocation.
« Le monde des droits de l'homme a un problème de harcèlement sexuel » est le titre d’un article (1) publié le 12 mai par NOTUS (2), un nouveau site journalistique américain en ligne. L’article se réfère aux témoignages de dix-neuf femmes qui ont travaillé au sein de la nébuleuse d’ONG antichinoises.
Les sanctions unilatérales contre la Chine sapent les normes fondamentales du droit (comme la présomption d'innocence) et violent les droits de l'homme, y compris ceux des Ouïghours. C'est ce que constate le rapporteur spécial de l'ONU, Alena Douhan, dans un communiqué publié le 17 mai 2024.(1)
En Occident, tout le monde a entendu parler des Tibétains et des Ouïghours. Pour des raisons de géopolitique, la propagande antichinoise s’est focalisée sur ces deux minorités ethniques chinoises. Pourtant, avec leurs plus ou moins respectivement sept et douze millions, elles ne constituent nullement les « minorités nationales » les plus nombreuses de ce pays multiethnique qui en reconnaît officiellement 55.
En décembre 2023, j’ai fait partie d’un groupe de la gauche européenne invité en Chine pour un voyage d’information et d’échanges. Nous avons entre autres eu l’occasion de nous informer plus en détail sur la politique de la transition écologique mise en œuvre par la Chine, sur ses efforts et ses succès, et nous avons surtout pu voir quelques-uns des progrès réalisés de nos propres yeux.
Les amis d’un peuple sont ceux qui soutiennent ses efforts pour améliorer ses conditions de vie et son combat pour assurer un avenir en paix et en sécurité à ses enfants. Les ennemis d’un peuple, en revanche, sont ceux qui attisent les conflits en son sein pour semer la discorde, la haine, le terrorisme et la guerre civile qui est la pire de toutes les guerres.
Les amis d’un peuple sont ceux qui sympathisent avec ses efforts visant à se forger un avenir meilleur et qui soutiennent son combat pour assurer une vie en paix et en sécurité à ses enfants. Les ennemis d’un peuple sont ceux qui, prétendument pour son propre bien, lui infligent des sanctions afin de l’appauvrir, de l’affamer, de le priver de soins médicaux. Ceux qui veulent lui imposer leur volonté et leur propre système de « valeurs ».
Les amis d’un peuple sont ceux qui voient d’un bon œil ses progrès matériels et culturels et qui applaudissent à l’amélioration de ses conditions de vie. Les amis d’un peuple sont ceux qui sympathisent avec ses efforts visant à se forger un avenir meilleur et qui soutiennent son combat pour assurer une vie en paix et en sécurité à ses enfants. Les ennemis d’un peuple, en revanche, sont ceux qui attisent les conflits en son sein pour semer la discorde, la haine, le désordre, le terrorisme. Les ennemis d’un peuple sont ceux qui lui envient ses succès et ses progrès, qui voudraient qu’il reste enchaîné aux structures sociales archaïques et aux préjugés. Ce sont ceux qui, prétendument pour son propre bien, lui infligent des sanctions afin de l’appauvrir, de l’affamer, de le priver de soins médicaux. Ce sont ceux qui veulent lui imposer leur volonté et leur propre système de « valeurs ».
Le « gouvernement tibétain en exil » et ses patrons à Washington s’inquiètent. L’âge avancé et la santé de plus en plus fragile du quatorzième dalaï-lama leur font craindre la disparition plus ou moins imminente de cette figure emblématique du séparatisme tibétain. Qui sera en mesure de la remplacer et de servir ses maîtres américains avec le même empressement ? En tout cas, les États-Unis semblent vouloir s’immiscer dans le choix d’un nouveau dalaï-lama, tandis qu’ils contestent les droits souverains de la Chine dans cette affaire.