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Auteur : Gilbert GUIGANT

Dérégulations des coups d’état ?

Gilbert GUIGANT

Or déréguler c’est plus de règles ? Sauf pour les « autres » sur lesquels s’amoncellent toujours plus de contraintes. Pour eux-mêmes, malades de la sciences infuse, la dérègle dérègle tout. Ils s’en goinfrent de coups d’état tels la banalisation du mal. Le but reste de rendre anodins tous les prurits de leurs caprices arbitraires. C’est-à-dire non nécessaires ! Le chaos ne vient que d’en haut.

Ce chaos construit, inventé dans les grands détails. Ce pourquoi nous en percevons les trop grosses ficelles. Dans ce texte, des documents de toutes sources vont permettre de se forger sa propre conscience claire et distincte. Claire et distincte, oui, ce qui semble trop souvent négligé. Plus maintenant. Le cœur est lourd, trop de violences viennent de l’illégitimité des pouvoirs 1 --- Plus jamais de partis politiques, des élections directes. Simone Weil, comme sociologue de la « Note sur la suppression des partis politiques », a bien plaidé les avantages inouïs de voter directement. Sans plus de filtres douteux. Sans intermédiaires bouffis de conflits d’intérêts. De quoi sortir une bonne fois pour toutes des sales habitudes. Au point où les banlieues, toujours très oubliées, auraient enfin leurs propres représentants. En tout direct. La société transfigurée à jamais. 2 --- Les causes flagrantes d’une situation explosive ? Une ambiance antisociale se fabrique peu à peu. Lorsque vous ressentez (...) Lire la suite »

Des décisions verrouillées ?

Gilbert GUIGANT

Changement d’époque signifie transformations de présentations des évènements. Soit exposer très différemment les visions qui vous parcourent. Oui cela arrive ! Puisque c’est quoi l’obstacle majeur de ces jours actuels ? Trop englués dans des étiquettes manipulées, bien trop s’égarent à ne plus lire en direct. A se faire dévaliser leurs regards. Vous allez comprendre ici même.

Nous ne pouvons apprendre que ce que nous ne connaissons pas. Sinon ce n’est plus connaître, seulement reconnaître. Et ces étouffeurs nous collent du passé, déjà passé, sur tous les arrivages frais. Certain qu’ils se desservent au-delà du sensé et que nous ne marchons pas dans ces malhabiles refus des réels. Ainsi, si l’on voulait te faire passer pour naïf, cela capote faux. Puisque garder la fraicheur des cœurs purs c’est, tout au contraire, de la grande maturité que l’on ne peut manipuler. Tandis que la sale manie de tout flouter derrière des étiquettes anti éthiques « aide tant » les manipulateurs. Voici donc comme le nouveau survient pour l’amélioration des consciences. Briquer sa rubrique ? Oui parvenir à faire émerger du nouveau partout, etc. 1- Le retour du Covid ? L’erreur entêtée des autoritaristes c’est de ne jamais percevoir les limites. Leur récit Covid ne fonctionne plus du tout : le Conseil d’État remet en cause leurs décisions hyper répressives de 2021. Pourquoi le dire ainsi ? Un seul (...) Lire la suite »
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Comment mettre fin au système ?

Gilbert GUIGANT

En creusant quatre concepts, nous pouvons mettre fin au système. Pourquoi ne serait-ce pas possible ? Les irrationalités incohérentes ont bien une fin. Oui il fallait bien que cela arrive un jour

Quatre faits, quatre, qui défont les idéologies : 1- Surtout pas de « dette publique » = elle n’est que la somme des gains du privé. .. Ils voudraient nous faire payer deux fois : en utilisant illégalement l’État pour déposséder 90 % des populations. Et ce sans jamais participer aux impôts, ceux qu’ils doivent impérativement, eux. Devenant, ainsi, des énormes charges pour les budgets collectifs (manques graves des recettes et abus notoires de subventions (sic) de la dépense publique)...Et puis en rassemblant (en un second temps) le total de leurs profits, donc très délinquants, sous le nom de faussaires de « dette publique ». Vérifiez les deux sommes, elles se superposent complètement. Nulle coïncidence ne peut exister à ce niveau. En conséquence ? Ce n’est pas du tout une « dette publique » mais uniquement une « dette privée ». C’est la « leur » pas la nôtre. Nous n’avons absolument rien à payer : déjà fait ! Mieux encore. Nous y mettons fin en une seconde de décision décisive : interdire au privé (...) Lire la suite »

Que les autres vous permettent tout et que vous ne permettiez rien aux autres ?

Gilbert GUIGANT

Le stade le plus avancé des grands délirants politiques, médiatiques et financiers. Jamais la civilisation n’a eu à subir une telle violence si concentrée (pour nous lovée autour de puérilités aussi insensées). Dernière fois : le nazisme ! Tant y est concentré d’enfantillages dissymétriques. Soit j’ai tous les droits et vous aucun. Cela ne vous dit rien ? Ce sont les pensées non inhibées de l’enfant entrant dans les apprentissages culturels. Pensées non inhibées de l’enfant qui ne les met pas en œuvre. Et qui ne sont connues que par les mots qu’ils babillent.

Or, actuellement, au prétendu sommet de la société, nous avons de « faux adultes », enfants à vie qui n’ont plus aucune inhibition. Qui se prouvent surtout les pires barbares déguisés en costards cravates. Bien identifiés comme les pires « dangers publics » actuels – les flagrants Ennemis de la société. Voici comment ils se sont tous démasqués : ce qu’ils se permettent tout le temps ! Non non, ils le permettent pas aux autres. Parvenant ainsi aux sommets de toutes les déraisons tout le temps. Que les autres vous permettent tout et que vous ne permettiez rien aux autres ! Horrible à ressentir hein ? Pensées non inhibées que ces « faux » adultes mettent maléfiquement en œuvre. Devenus donc monstres complets. Tout leur serait permis, absolument tout : c’est dans l’exposition du prétexte, petit en général, mais là très outrepassé en taille minuscule. Genre : « je suis élu. Je peux faire tout ce que je veux ». Soit les levées anormales des inhibitions habituelles. Pour nous, un élu s’entend avec « bien plus de (...) Lire la suite »