Nous ne pouvons apprendre que ce que nous ne connaissons pas. Sinon ce n’est plus connaître, seulement reconnaître. Et ces étouffeurs nous collent du passé, déjà passé, sur tous les arrivages frais. Certain qu’ils se desservent au-delà du sensé et que nous ne marchons pas dans ces malhabiles refus des réels.
Ainsi, si l’on voulait te faire passer pour naïf, cela capote faux. Puisque garder la fraicheur des cœurs purs c’est, tout au contraire, de la grande maturité que l’on ne peut manipuler. Tandis que la sale manie de tout flouter derrière des étiquettes anti éthiques « aide tant » les manipulateurs.
Voici donc comme le nouveau survient pour l’amélioration des consciences. Briquer sa rubrique ? Oui parvenir à faire émerger du nouveau partout, etc.
1- Le retour du Covid ?
L’erreur entêtée des autoritaristes c’est de ne jamais percevoir les limites. Leur récit Covid ne fonctionne plus du tout : le Conseil d’État remet en cause leurs décisions hyper répressives de 2021. Pourquoi le dire ainsi ?
Un seul exemple l’éclaircit ? Grâce aux gigantesques erreurs de la com’ des politiciens (ces incapables de vraie politique) nous apprenons vite. La dernière hallucination de la macronie qui voudrait « l’autonomie sanitaire » ? Cet égarement à prétendre toujours l’inverse de ce qu’ils font leur nuit abondamment. Ce qu’ils ont fait concrètement ? Rappelons-le. Rarement nous voyons des gouvernements successifs tant soumis-esclaves à l’illégal OMS (illégal car surtout pas une autorité morale mais un association répressive insupportables de seuls intérêts privés qui débordent sur des compétences qu’ils n’ont pas). Quant à l’ultra dépendance à Big Pharma la perdante - impossible d’y trouver un gramme d’autonomie sanitaire. Sauf que ces gros maladroits de la propagande offrent ceci : oui sans eux, sans justement ces gouvernements esclaves, immédiatement se profile l’autonomie sanitaire pour tous. Pour le pays entier : enfin débarrassés de devoir subir une minorité uniquement abusive et illégale sur le fond.
Ce qu’il y a, actuellement, derrière « l’autonomie sanitaire » ? Juste la localisation de quelques médicaments fabriqués, derechef, en France. Cela capote de tant gonfler et grossir, bruyamment, le peu qui est, concrètement, fait. En parallèle, à rétrécir et amoindrir l’énorme avancée de oppositions. Non, et malheureusement, la macronie n’a et n’aura pas le moindre début d’autonomie sanitaire. Même si l’idée en soi de la relocalisation des médicaments en France (et plus en Chine, par exemple) est une très bonne idée, malheureusement incluse dans une dictature sanitaire ne respectant pas les libertés individuelles !
Survient alors que le véridique récit de cette dictature sanitaire désobstrue tout ceci :
Que faire taire de grands médecins
d’interdire aux autre d’ausculter et de prescrire
de censurer toutes les vraies informations
de mentir sur absolument tout, depuis les chiffres jusqu’aux faux tests, et autres rigides enfantillages.
Ce qui ne peut que cacher la pire infamie :
Soit de politiciens abandonnant les populations aux mains barbares de Big Pharma. Big pharma qui a donc imposé le pire :
Le confinement irrationnel des biens portants (du jamais vu dans l’Histoire de l’Humanité – ce qui reporte donc Big Pharma à la...préhistoire ?).
Le port du masque dans des lieux...aérés (alors que l’air confiné est cause de la maturation des germes et que le conseil d’aérer ouvre à l’air des rues et lieux aérés. Lieux aérés où le masque est prétendu « obligatoire ». Or, objectivement, le délire des masques c’est justement de créer de petits lieux de confinements (sous les nez) qui nuisent donc aux populations. Tout faux partout !
Et puis, les impardonnables forçage de vaccins, vaccins non encore sécurisés (au moment des forçages indignes de vaccins rien n’était connu sur les conséquences de ceux-ci. Irresponsabilités donc en grand : soit 99 % des décès actuels sont ceux d’humains vaccinés. Nulle équivoque n’est possible. Il va falloir fermement sanctionner les ex-sanctionneurs !
Aussi lorsque Big Pharma déconsidéré décide illégalement à la place des politiques serviles – ceux-ci au minimum doivent rendre des comptes. Des comptes sur ce qui fut l’enfer Et les enfantillages rigides à la fois.
Les véridiques récits mènent toujours très loin. Dont ces clarifications fortement logiques qui font agir à la seconde. Assez des magouilles néolibérales.
Puisque ?
Puisque tous ces si dangereux désordres décrits juste pour extorquer le plus malhonnêtement du monde de l’argent si maudit.
Où voyez-vous de l’autonomie dans ce délire hautement dictatorial ?
2 ) De la propagande enfin démantelée : les échecs radicaux des privatisations.
La survie de l’Humanité dépend bien du retour immédiat des bénéfiques services publics. Services publics qui protègent si bien les pauvres. Et, surtout, font économiser tant des gaspillages insensés des néolibéraux incompétents. Ceci met donc fin à leurs manies déraisonnables de ne vouloir que tout privatiser au détriment flagrant de 90 % du pays. Se prouvant, ainsi, si hors sol, si hors réel...
Puisque, face aux gigantesques promesses, s’accumulent des montagnes de déceptions.
Promises les qualités de services offerts, promis le fort respect envers les « clients » ( ?) et promis aussi des prix très modestes, aimant la pente des diminutions. Or tout ceci se balafre trop erroné. Auprès des services publics ayant leurs propres conduites autonomes, sauf rares exceptions, la qualité reste bien plus puissante et suivie dans les si regrettés services publics. Quant aux respects les manies procédurières voire persécutrices, comme respects des clients ne convainquent plus du tout ? Surtout lorsque s’accumulent les absences de bonnes volontés. Recommandés insistants, mises en demeures, intérêts délirants collés au moindre retard, etc.) tout se démontre si hyper répressif dans le Privé. Plus possible d’y trouver la moindre trace amicale...
Quant aux prix ce sont les délires du beaucoup trop cher, des abruptes augmentations sans motifs, des malaises de « clients » se sentant très malmenés. La question devient : qui ont intérêt (à part les mauvais gagnants aussi mauvais perdants du privé) au maintien des services privés ? Encore plus pesamment « administratifs » que le public (voir les « bullshits jobs » de David Graeber ! Le regretté David Graeber qui nous montre à quel point le privé produit tellement plus de papiers que le public. Est donc tellement plus administratif et bureaucratique que lui. L’équivoque est complète. C’est le privé l’immense vieillerie obsolète !) ? Qui voudrait donc l’amplification de ce passé ? Personne. Et tout le monde regrette les services publics. Qui manquent tant et auxquels nous pensons avec égards.
D’où les refus des persécutions insensées, par sabotages illégitimes de ces services publics – mis aux mains des ennemis de la République (en tant que res publica). Afin de prétendument détacher les populations des services publics.
Admettons que les résultats insistants offrent encore plus de désirs de services publics.
3) La portée du concept des décisions « verrouillées » ?
Croire avoir gagné en se mettant tout le monde à dos (sauf quelques corrompus qui vous lâchent dès que cela les arrange) c’est perdre, oui avoir tout perdu au réel. A quelles parties de la populations feront-ils encore croire, ces gouvernements, qu’ils agissent « pour leur bien », qu’ils les protègent et les défendent, alors que toutes leurs gesticulations trop répressives auront prouvé au grand jour que ces gouvernements sont ennemis virtuellement violents d’au moins 90 % de la population (90 % de la population qui se rend compte que 4 ans encore serait juste se faire plus dévaliser et que pas le moindre projet national pourra relever le pays face aux pillages désorganisés de ses pires ennemis frontaux ?). Voici que ces modifications des données basiques transforment les manières de dire. Par exemple :
Si le mot « dictature » empêchait d’écouter, ajustons les marques des remarques. L’erreur profonde de la réforme précipitée, dite retraites, aura fait comprendre tant de faits, auparavant biaisés. Et facilité la transmission de ce qu’il « s’est passé ». Pas de dictature mais toujours plus de « verrous ». Dont des décisions « verrouillées » telles les retraites. Au point que toujours moins de décideurs ne peuvent décider. Nous ne décidons plus de nos propres vies, c’est cela ? Le Parlement ne peut donc plus voter selon les règles de la démocratie et le règlement de l’Assemblée Nationale ne permet pas vraiment ce rejet superficiel de la fonction solennelle de voter. Et le 49-3 n’aboutit jamais à une « vraie » loi, comme celle votée par les représentants légaux du peuple souverain. Qui donne plus d’unité et bien moins de séparatismes des sommets. Donc ces « verrouillages » cela va trop vers la famille lexicale de « dicter », à sens unique dicter, d’où est issu dictature. Nous appuyons sur ce point puisque à son écrasante majorité le peuple ne « croit plus » ) à la com » (propagande). Com’ en son abondance de promesses jamais tenues. La méfiance envers le gouvernement devient complète.
Nous en avons fait le résumé : Croire avoir gagné en se mettant tout le monde à dos c’est perdre, oui avoir tout perdu au réel.
Impossible de gouverner si nul n’y croit. Cela ne peut pas « tenir » 4 ans. L’erreur gigantesque d’avoir forcé une si peu réforme de retraite non nécessaire, non urgente et surtout trop limpidement injuste, continue ses ricochets. Et cela (comme le Covid non géré) durera très longtemps. La population ne peut rien y changer, seuls ses auteurs le peuvent.
D’autant plus que ceci se passe, face au monde multipolaire, où l’Occident ne représente plus que 10 % de la population mondiale. Avec une part du PIB mondial qui diminue sans cesse (à mi-2023 elle n’est que de 27 %). Refuser de voir ces flagrants réels et gesticuler comme s’ils n’existaient pas ne peut que toujours plus cahoter. Ou produire des chaos en chaine.
Qui se montrent en très mauvais postures ?
Longueurs de temps, vous avez déjà mesuré ?