Auteur Jean-Marc GARDES

Il est temps, il est grand temps, que le malheur succombe !

Jean-Marc GARDES
Écraser les gens sous le poids des soucis, les affres du chômage, les difficultés de tous ordres pour assurer sa vie sociale face à la déliquescence des services publics occupés à se recentrer sur le cœur de leur cœur de métier… Oui, on peut mourir psychologiquement, sous le poids cumulé des soucis de tous ordres, oui on peut décrocher de toute vie sociale (1)… La souffrance qui n’est pas soulagée par les solutions que, seul, pourrait apporter un changement (politique qui ne vient (…)

Questions pour un changement qui ne vient pas

Jean-Marc GARDES
Et si la contre-productivité c'était nous ? Alors que l’exaspération est à son comble parce que les gens n’en peuvent plus des promesses trahies et des reniements pleinement assumés par ce gouvernement qui a l’outrecuidance de continuer à se dire "de gauche", alors que (seules) les professions libérales sont toutes dans la rue, vent debout contre les déréglementations envisagées... Pour être utile au changement, la première des questions à se poser, me semble-t-il, c’est pourquoi (…)

Contre la médiocrité : battons-nous sans nous égarer

Jean-Marc GARDES
Cet ennemi est présent partout. Il entre en nous et, nous ayant en quelque sorte « investi », nous neutralise et nous condamne à notre tour à reproduire la médiocrité. La médiocrité comme horizon indépassable ? meilleur rempart du système capitaliste (1) pour empêcher, à jamais, d’aller voir de l’autre côté, du côté des exploiteurs, de ceux qui tirent les ficelles, et de se battre contre ce système pour l’émancipation et la libération humaine ? De l’autre côté, nous savons très bien (…)