Auteur Jean-Marc GARDES

Les avions de la British airways ont-ils commencé à s’écraser ? (1)

Jean-Marc GARDES
Indécents les journalistes de la radio publique France-Inter ce vendredi 24/06/16 qui n’arrivaient pas à cacher leur dépit devant le vote des Anglais. (A l’exception de Anthony Bellenger. Cf. extrait de son analyse reproduit ci-après). Au point de me donner envie de les appeler pour leur dire : "ou vous êtes des militants politiques, ou vous êtes des journalistes". "Choisissez ! car vous ne pouvez pas porter les deux casquettes en même temps ". Bien qu’à posteriori, on n’était pas loin de (…)

L’ordinateur dans nos vies, aujourd’hui

Jean-Marc GARDES
Mesure-t-on bien assez la place de plus en plus grande que prend la machine dans nos vies aujourd’hui et les conséquences de cette « intrusion » ? (Je n’aborderai pas ici le formatage de la pensée, ni le flicage de nos vies par GAFA...Google, Amazon, Face Book et Apple). J’avais relevé, il y a quelque temps déjà que « Humanis » avait écrit à ses ressortissants (ma mère, 92 ans) pour leur faire savoir que, pour des raisons d’économie et de protection de l’environnement, il ne leur serait (…)

Ce qui dure/contre la pensée stroboscopique

Jean-Marc GARDES
A y regarder de près, ou plutôt de haut, il semble que tout soit mis en œuvre (par le système médiatique dominant de formatage) pour déboussoler les gens, les empêcher de réfléchir. Dans le long terme. Et pourtant ! Comment réfléchir si la pensée, la réflexion ne s’inscrivent pas dans le long terme ? La pensée a besoin, se nourrit de temps pour se développer. Sinon elle ne peut exister. Prenons une première image pour illustrer. C’est Pierre Bourdieu qui parlait du travail de plusieurs (…)

Samedi 29 janvier, journal télévisé de 20H, sur...

Jean-Marc GARDES
Samedi 29 janvier, journal télévisé de 20H, sur France 2. Allez savoir pourquoi, au milieu des sujets traités, un reportage sur les ampoules électriques basse consommation. Un acheteur, perdu au milieu des rayons d’un grand magasin proposant innombrables modèles différents d’ampoules. Celui-ci avoue son désarroi : quel modèle choisir ? Les journalistes de la chaîne entrent alors en action et prennent le relais. Ils achètent un échantillon d’ampoules et le portent, pour test, dans un (…)

There is no alternative : c’est Patrick Sébastien qui le dit...

Jean-Marc GARDES
Samedi 30 janvier, soirée télé sur France 2. Émission populaire et de grande écoute animée par Patrick Sébastien "Le plus grand cabaret du monde". Deux invités parmi d’autres. Le premier, un habitué du plateau, prestidigitateur, spécialiste des tours de cartes. Il met les invités de l’animateur réunis autour de la même table à contribution : en leur demandant d’exprimer – librement – leur choix. Quel tas de cartes, quel rangement de cartes, etc. Le second, illusionniste, dans le même (…)

Bonne année !

Jean-Marc GARDES
- Bonne année ! Et surtout la santé ! oui, la santé ! Évidemment, c’est le « capital » le plus précieux. Mais cette invocation est souvent « brandie » comme un rempart pour éviter de parler des autres problèmes qui eux essaiment le quotidien et le rendent invivable. Les occulter au prétexte, pour les mêmes -ceux qui ne s’accrochent plus qu’à la « défense » individuelle de la santé- que, contre ces autres problèmes, eh bien on ne pourrait rien… Et donc inutile de les évoquer. Et oui, (…)
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Il faut laisser la porte ouverte !

Jean-Marc GARDES
Et voilà en ce second tour, où toutes les formations politiques viennent une fois de plus nous affirmer – la main sur le cœur – qu’elles ont entendu le message des électeurs, qu’elles vont faire autrement, etc. ; que se dessine, ou plutôt se poursuit, le dessin du « deux = un ». (1) À écouter certaines déclarations faites dimanche soir sur les plateaux de télévisions, les grosses formations politiques traditionnelles, U.M.P. aujourd’hui L.R., et P.S., pourraient envisager de se rapprocher (…)

Valeurs…

Jean-Marc GARDES
Avec Aristote, partons du début. La politique ne se conçoit pas sans une éthique (et réciproquement). Avec Vincent de Gaulejac (1), transportons-nous dans le monde de l’entreprise. Que se passe-t-il ; ou plutôt, que s’est-il passé dans celui-ci ? Dans celui-ci, les règles morales qu’on y retrouvait, soit la fameuse « éthique » qui fondait la dynamique sociale avec le sens de l’effort, le goût du travail bien fait, le sens de l’engagement, le respect, la droiture, l’honnêteté, etc. ; (…)

Violence filmée, violence invisible : et si on ré-inventait la lutte des classes ?

Jean-Marc GARDES
Les scènes vues récemment à Air France ont mis en lumière des personnages situés dans l’entourage des directions, dont on parle bien peu habituellement, les DRH et autres managers chargés de com’, etc. Et si la violence n’était pas là où on nous dit qu’elle se trouve ? Et si la lutte des classes existait toujours ?… Coup de zoom sur des acteurs, des stratégies dont on parle trop peu… À quoi servent les « consultants » intervenants dans les grandes entreprises et administrations (…)

La grande confusion…

Jean-Marc GARDES
Samedi 19 septembre, journée « européenne du patrimoine/patrimoine du XXI° siècle/une histoire d’avenir », aussi journée nationale de mobilisation des élus, toutes tendances confondues, à l’appel de leurs associations dont celle des « maires de France », pour protester contre la baisse des dotations de l’État aux collectivités locales : moins 16 milliards d’ici 2017 pour les communes… Je ne risque pas de l’oublier. Le matin avant de sortir de chez moi j’entends à la radio un élu de (…)

Bouffée d’air

Jean-Marc GARDES
Ce matin 10 septembre sur « France-Inter », peu avant 7 heures, entre deux, dans le flot habituel des inepties et sottises que diffuse cette radio, une nouvelle : comme une bouffée d’air frais. Le journaliste raconte que, incroyable !, deux récentes élues de « Podémos », dirigeantes de grandes villes en Espagne, tiennent leurs promesses ! La première, qui s’était fait connaître par son combat contre le mal logement, applique aujourd’hui une sorte de « loi de réquisition » en réclamant 6 (…)

Les invisibles

Jean-Marc GARDES
Pour nombre d’entre eux, les sans papiers qui affrontent tous les dangers pour venir en Europe ne sont pas des profiteurs. Ce sont des émigrés de la faim, chassés de leur pays par la misère consécutive aux désordres, aux dérèglements économiques qu’ont provoqué, chez eux, les différents pays d’Europe à la recherche de pétrole, de matière première, de terres agricoles, de main d’œuvre bon marché, de nouveaux débouchés… pour leurs firmes multinationales, ou bien de positions géo-stratégiques (…)