RSS SyndicationTwitterFacebook
Rechercher

There is no alternative : c’est Patrick Sébastien qui le dit...

Samedi 30 janvier, soirée télé sur France 2. Émission populaire et de grande écoute animée par Patrick Sébastien "Le plus grand cabaret du monde".

Deux invités parmi d’autres.

Le premier, un habitué du plateau, prestidigitateur, spécialiste des tours de cartes. Il met les invités de l’animateur réunis autour de la même table à contribution : en leur demandant d’exprimer – librement – leur choix. Quel tas de cartes, quel rangement de cartes, etc.

Le second, illusionniste, dans le même registre : quelle couleur de carte, quel numéro de carte, etc.

Tous les possibles sont autorisés, tous les possibles que vous, invités de Patrick Sébastien, ou vous public présent sur le plateau, formulez librement puisque vous y êtes conviés sans contrainte ni restriction d’aucune sorte.

Vraiment libre de choisir ?

Et non...

Le résultat du tour est là pour en apporter la preuve tout à fait contraire.
Malgré toute l’imagination que vous avez pu déployer, ce n’est pas vous qui aurez le dernier mot mais le prestidigitateur qui aura su découvrir, et anticiper, le fruit de votre divagation "libre" pour l’inscrire dans la programmation/proclamation du résultat de son tour de passe-passe.

Moralité : votre liberté, la liberté dont vous vous pensiez paré n’existe pas ; celle-ci n’est qu’une illusion, moi magicien, je viens de vous en administrer la preuve.

En dehors du cadre que je trace, there is no alternative !

URL de cet article 29890
   
La face cachée de Reporters sans frontières - de la CIA aux faucons du Pentagone.
Maxime VIVAS
Des années de travail et d’investigations (menées ici et sur le continent américain) portant sur 5 ans de fonctionnement de RSF (2002 à novembre 2007) et le livre est là . Le 6 avril 2006, parce que j’avais, au détour d’une phrase, évoqué ses sources de financements US, RSF m’avait menacé dans le journal Métro : " Reporters sans frontières se réserve le droit de poursuivre Maxime Vivas en justice". Au nom de la liberté d’expression ? m’étonné-je. Quoi qu’il en soit, j’offre aujourd’hui (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

Le domaine de la liberté commence là où s’arrête le travail déterminé par la nécessité.

Karl Marx

© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.