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Auteur : Erno RENONCOURT

L’angoissant tableau de la déshumanisation d’Haïti dans le prisme du rapport de l’ONU sur le financement de la criminalité

Erno RENONCOURT

Le rapport de l'ONU sur le financement des gangs en Haïti dévoile le tableau d'une société immonde qui a appris à vivre au tu et à toi avec de lourdes médiocrités pour se dispenser de l'effort cognitif de penser éthiquement, d'agir responsablement et de vivre dignement. Convaincus que cette posture indigente de renoncement à l'intelligence est une perte de sens qui vient de l'héritage de l'esclavage, nous avons cartographié sa structure hideuse. De ce recoupement analytique, il émerge une structure hybride et paradoxale qui verrouille le pays sur l'invariance de la géostratégie de la déshumanisation en assurant l'impuissance de la population par l'équilibre de deux médiocrités : la mécréance de ses élites économiques et politiques et l'insignifiance de ses élites académiques et culturelles. Voici le sombre tableau de la société haïtienne avec son armée de docteurs, de lettrés, de diplômés. Ils se projettent dans les rêves blancs d'ailleurs en produisant un enfumage qui génère des cauchemars noirs.

Le rapport de l’ONU au prisme de la géométrie de données ? Le rapport de l’ONU sur le financement de la criminalité en Haïti contient de nombreux enseignements que la société haïtienne, dans ses composantes les plus diverses, doit approprier authentiquement et courageusement, si elle veut trouver la brèche pour se régénérer et se réinventer comme un peuple digne. Reliés à d’autres données secondaires, les données primaires de ce rapport tendent à montrer que la structuration actuelle de la société verrouille le pays sur un cycle invariant au bout duquel l’impuissance collective permet, à travers des impostures (dont l’assistance internationale en est une), la résurgence de la même géostratégie de la déshumanisation qui a présidé la barbarie de l’esclavage. Si hier, elle se caractérisait par la dynamique de la déshumanisation brutale des peaux noires par les peaux blanches ; aujourd’hui, elle se module en version ‘‘soft’’ et métissée : peaux métissées et noires contre peaux noires. Ce qui donne à Haïti ses attraits (...) Lire la suite »

De Gaza à Haïti : une même géostratégie de déshumanisation des ‘‘autres’’

Erno RENONCOURT

Quel lien entre Gaza et Haïti ? Quelle géostratégie invariante est au cœur de l'action des Occidentaux un peu partout dans le monde ? Que cachent les enjolivements des droits humains et les prétendus droits culturels et droits à l'autodétermination des peuples que magnifient les Nations Unies ? Quelle est la face cachée de l'ONU ? Faire surgir, par de là leurs distances géographiques et par de-là le temps historique, les liens entre ce que vivent les populations de Gaza, ce qu'ont vécu les peuples noirs d'Afrique et ce que vit la population pauvre et noire d'Haïti, tel est le but de cette modeste réflexion. Elle n'est qu'un regard analytique projeté à travers les fissures de l'histoire et du temps.

Dans un silence angoissant, l'Occident participe, activement et hâtivement, à l’extermination expéditive des Palestiniens par la mise en œuvre de la solution finale que pratiquent avec zèle, ceux-là mêmes qui, selon le récit occidental, toujours peuplé d’impostures, auraient échappé, il y a environ 75 ans, à la solution finale que leur préparaient les nazis que l’Occident, ironiquement, soutient un peu partout dans le monde depuis la seconde guerre mondiale. C’est comme il y a 5 siècles, quand il présidait à l’extermination lente des peuples noirs d'Afrique qui incarnaient ces « autres » que l’Occident ne sait pas traiter avec altérité en se donnant de la disponibilité pour respecter leur dignité et leur humanité. C’est la même géostratégie de la déshumanisation qui est en œuvre : si hier les Noirs d’Afrique étaient ces « autres » que les lumières de l’Occident ne pouvaient distinguer humainement, aujourd’hui « le peuple des autres » englobe aussi d’autres populations mondiales, dont les Palestiniens. La seule (...) Lire la suite »

Haïti : un apprentissage contextuel et éthique en guise de modèle d’aide à la décision

Erno RENONCOURT

À l’occasion de la journée mondiale de la statistique qui sera célébrée le 20 octobre prochain, nous proposons d’aborder la troisième partie de notre réflexion sur le triangle stratégique insignifiant de la gouvernance haïtienne à l’aune de l’un des thèmes clés retenus pour célébrer cette journée en Haïti. Comment les données statistiques peuvent-elles être utilisées de manière efficace pour évaluer et améliorer la transparence et la responsabilité dans le processus décisionnel haïtien ? Pour cette question, nous formulons l’objectif de faire émerger un modèle contextuel d’aide à la décision qui explicitera ce « comment » et qui pourra, selon sa pertinence, servir de référence pour des discussions approfondies dans les milieux de la gouvernance publique et d’entreprise du pays. Si tant est qu’ils aspirent à un profond désir de changement te de réforme de leur stratégie d’insignifiance.

Cadrage de la thématique Voilà un thème qui soulève une problématique en apparence rébarbative, mais pourtant combien mal appropriée dans le contexte de la prise de décision en Haïti. La problématique est manifestement rébarbative, car tout un chacun sait que pour décider il faut des données structurées sous forme statistique, lesquelles seront exploitées dans un certain contexte (évaluation, optimisation) de responsabilité professionnelle ou personnelle, avec plus ou moins de transparence. Pourtant, elle n'est pas moins mal assimilée par les décideurs haïtiens de la gouvernance publique et d’entreprise, puisque depuis plus quelques bonnes années le pays figure dans la liste des mauvais élèves de la bonne gouvernance. Et si les indicateurs de la bonne gouvernance sont mauvais, cela traduit objectivement des niveaux de défaillance dans le processus décisionnel qui oriente l’action publique haïtienne. Mais quelles peuvent être les défaillances qui entachent la mécanique décisionnelle haïtienne ? À quel (...) Lire la suite »

Le testament de l’échec de la prochaine mission d’assistance sécuritaire à Haïti (Partie II)

Erno RENONCOURT

Comme tout le laissait présager, le Conseil de Sécurité a voté, avec l'abstention de la Chine et de la Russie, le lundi 2 octobre 2023, une résolution autorisant une force d'assistance sécuritaire pour aider la Police d'Haïti à faire face aux gangs (des rues). Fidèle à notre approche complexe du réel haïtien, nous croyons que cette assistance sera un nouvel échec. En effet, la dimension complexe du réel haïtien est occultée par la dimension sécuritaire qui est médiatisée à dessein pour des raisons évidentes. Au nombre de ces raisons se trouve le fait que que la défaillance sécuritaire, qui impacte toute la société aujourd’hui, n’est que le résultat de nombreuses fissures, mal dimensionnées, qui se sont logées dans les processus organisationnels du pays. N’étant jamais traitées, elles se sont structurées en modèle de réussite ; lequel modèle, en raison de l’impunité, a corrompu et effiloché tout le tissu social en y creusant des failles béantes vers lesquelles glissent inexorablement toutes les stratégies, tous les projets, indépendamment de leurs finalités et de l’expertise qui les gouverne. Donc , croire qu'en ramenant l'activité des gangs à une certaine normalité va empêcher l'extinction de la société haïtienne est une folie.

Dans la première partie de cette réflexion, que nous prolongeons, nous avons montré que trois grandes dimensions défaillances structurent le contexte de gangstérisation dans lequel Haïti agonise depuis le triomphe du banditisme légal en 2011. Ces trois dimensions défaillances sont : • La dimension sécuritaire qui apporte de lourdes incertitudes pour la population ; • La dimension stratégique et politique qui met à nu l’insignifiance des acteurs étatiques ; • La dimension existentielle qui, par la perte de sens institutions étatiques et la perte de confiance entre la population et ses prétendus représentants, menace la cohésion sociale et le devenir d’Haïti. Impuissantes, devant cette défaillance en trois dimensions, qui, au demeurant, révèle leur futilité, les élites politiques, économiques, sociales et académiques haïtiennes ont opté pour le même cycle d’impostures qui vise à protéger leur confort indigent. Comme en 1915, 1994 et 2004, elles ont fait appel à la communauté internationale pour venir (...) Lire la suite »

Le triangle stratégique insignifiant de l’assistance sécuritaire à Haïti (Première partie)

Erno RENONCOURT

De plus en plus se dessine la perspective d'une nouvelle mission d'assistance à Haïti dont la survie en tant qu'État est menacée. Mais derrière la menace d'effondrement de cet État insignifiant, qui n'a été qu'une fiction en 219 ans d'indépendance, se tisse autour de la population la toile d'un décor cauchemardesque qui rappelle l'invariance de la déshumanisation esclavagiste dont le pays a voulu s'extraire. Conscient de cette menace, mon intranquille cognition me pousse à lancer l'alerte pour inciter à éviter les pièges des stratégies d'assistance insignifiante conçues par des fonctionnaires étrangers qui ne connaissent rien du contexte sociale et culturel du pays et qui n'auront pas à subir les conséquences de leurs insignifiances. D'ailleurs c'est le même scénario qui se répète depuis 1994 : une imposante assistance débarque et met en place des artifices qui donnent l'illusion de fonctionner. Mais, aussitôt que les renforts militaires internationaux s'en vont, tout s'écroule comme des châteaux de cartes. Et les stratèges des agences internationales qui avaient conçues ces plans prennent la fuite pour ne pas se faire piéger dans ce merdier qu’est Haïti. Il y a quelque chose de profondément insignifiant pour un pays d'avoir des élites, qui en échange de petites réussites dans les rêves blancs d'ailleurs, acceptent que la sécurité, la justice de leur pays soient pensées par des étrangers qui n'auront pas à subir les conséquences de leurs insignifiances. Pour situer ce contexte d’insignifiance, je vous propose une tribune assez longue, mais instructive.

Haïti fait face à un contexte d’insécurité sans précédent qui se caractérise par une terreur manifeste. L’assaut continu, violent et déchaîné que lancent les gangs contre la population, fait régner une incertitude qui fige la société dans une impuissance déshumanisante, en même temps qu’elle obscurcit le radar de la gouvernance du pays. Radar qui est déjà par temps normal couvert d’un épais brouillard. Ce contexte achève de mettre à nu l’insignifiance de la gouvernance sécuritaire du pays et les défaillances de l’institution policière. Sans stratégie intelligente, mal équipée et en nombre insuffisant (pour cause de défection, d’appartenance aux gangs, d’assassinat et de migration vers l’étranger), la Police Nationale d’Haïti (PNH) se retrouve démunie, désarmée, déboussolée face aux gangs. Et conséquemment, la population, traquée et aux abois, car sans protection des forces de l’ordre, est contrainte d’abandonner ses lieux de résidence, ses quartiers et sa commune, quand ce n’est pas simplement le pays. Malgré le (...) Lire la suite »

Haïti, Médias, Université, société civile : un même réseau d’enfumage et d’imposture !

Erno RENONCOURT

Alors qu'Haïti s'enlise dans une impuissance déshumanisante dans l'indigence de sa société stratifiée en gangs polymorphés, de nombreux acteurs médiatiques et académiques semblent retrouver une lucidité tardive. Pourtant, ceux qui sortent leur tête de la cendre du fumier qui a si bien réchauffé leur confort m’avaient assimilé à un provocateur insolent quand je les invitais à faire preuve d'intelligence et d'éthique dans leurs postures éditoriales et académiques. Comme si la provocation n’était pas, comme disait Berthold Brecht, ‘‘une manière de rétablir la vérité sur ses pieds’’. Comme si l’insolence ne pouvait pas être le cri de l’intelligence qui affirme sa dignité et son authenticité contre les médiocres à succès. Voici un nouvel opus Tipédant.

L’amplification du chaos et les incertitudes, quant à une sortie imminente d’Haïti dans cette impasse abyssale, où elle a été propulsée par des vautours et des charognards déguisés en entrepreneurs, universitaires et autres racailles délinquantes, ont rendu lucides quelques-uns des acteurs médiatiques, académiques et sociopolitiques. Pourtant, pendant ces 12 dernières années, ils ont été dans l’intimité de l’indigence qui a accéléré l’effondrement du pays, tant ils ont joué les coudes, les passerelles pour apporter, consciemment ou inconsciemment, à ce pouvoir ouvertement gangstérisé, leur aura et leur rayonnement. Parmi les prises de position, profondément lucides, sur l’effondrement accéléré du pays, citons celle de l’éditorialiste et rédacteur en chef du Nouvelliste et celle du Président fondateur du Groupe de Réflexion et d'Action pour une Haïti Nouvelle (GRAHN). L’enfumage médiatique Dans son édition du 8 septembre 2023, l’éditorialiste du Nouvelliste, éternel enfumeur, a retrouvé une lucidité fracassante en (...) Lire la suite »

Les grandes impostures occidentales

Erno RENONCOURT

Et si on prenait le temps de remonter le temps, en filigrane, par le montage d'un jeu d'images, pour voir si quelque chose changé entre les rapports de jadis entre esclaves et maîtres, et ceux d'aujourd'hui entre riches et pauvres, Nord et Sud.

En Haïti, comme ailleurs, le déficit de l'apprentissage conduit toujours à des incohérences et des invariances. J'ai voulu rebondir par une image sur la récente déclaration du Roi des Pays-Bas qui présente ses excuses aux peuples noirs en condamnant l'esclavage comme un crime contre l'humanité. Le problème est qu'il y a un bug quand on s'arrête sur l'image qui relie le passé de l'esclavage que le Roi condamne et le présent dans lequel il fait cette condamnation. Et cela n'augure rien de bon pour le futur. Pour cause : le Roi de Belgique se fige dans la même posture confortable que les esclavagistes du passé, pour condamner les postures de l'esclavage. Or quand le présent mime les erreurs du passé, c'est qu'il n'y a pas d'apprentissage. C’est comme en commun paradoxe où l’indigence revient en boucles fractales ! Une image qui contredit l’image de l‘image que l’on veut donner. C'est ainsi que résonnent les grandes impostures séculaires. Et de fait, tant qu'il n'y aura pas d'actes concrets, ces mots de (...) Lire la suite »

Haïti : une insolence de plus pour refuser l’oubli !

Erno RENONCOURT

Dans ce second acte, je reviens contextualiser l'indifférence du collectif haïtien vis-à-vis des sanctions internationales contre ses élites comme un motif du génome de l'indigence qui déshumanise ce pays. Mon raisonnement soutient que : vivre dans l'oubli de ses erreurs et continuer à errer en ne recherchant que des finalités économiques relève d’une profonde médiocrité humaine. Pour soutenir mon insolence, j'ai convoqué à la barre, comme experts, Gaston Bachelard (formation de l'esprit scientifique), Hélène Trocme Fabre (théorie de l'apprenance) et Diego Gambetta (Homo œconomicus et la criminalité) pour donner corps au postulat de l'apprenance comme ultime finalité du vivant.

Dans le premier acte de cette tribune, le contexte a été mis sur l'indifférence de la société haïtienne, dans ses composantes les plus illustres, vis à vis des sanctions internationales contre les personnalités les plus influentes des milieux économiques et politiques du pays. Une telle indifférence interpelle. Pour cause, ceux épinglés et avilis par ces sanctions, à titre puissants manitous financiers et stratèges politiques de la grande criminalité qui déshumanise Haïti, ont été les fers de lance du mouvement socio politique Grenn Nan Bounda (GNB). Mouvement, rappelons-le qui s’était illustré notamment par le boycott des festivités de commémoration du bicentenaire de l’indépendance d’Haïti en 2004. Cette métamorphose, par laquelle les sanctions internationales ont transformé en Zorros du gangstérisme légal les héros du GNB contre Attila (titre d’un documentaire médiatisant ce mouvement), nous semble trop structurante pour ne pas relier l’indifférence collective qui l’accompagne à l’impuissance d’Haïti devant (...) Lire la suite »

La métamorphose des sanctions : quand les Héros improbables deviennent des Zéros infréquentables !

Erno RENONCOURT

Dans une tribune en deux parties, dont celle-ci est la première, j’essaie de voir ce que la société haïtienne aurait pu, sans sa notoire indigence, apprendre des sanctions internationales contre les stratèges et promoteurs du mouvement sociopolitique GNB de 2004. Comment oublier ce large mouvement de 184 secteurs qui s’était lancé à l’assaut du gouvernement de Jean Bertrand Aristide, au nom de la démocratie, de la liberté de la presse et du changement social ?

Le contexte Rarement, on avait vu pareil consensus en Haïti. Ils venaient de tous les horizons : entrepreneurs, universitaires, intellectuels, artistes, patrons de médias, journalistes, leaders politiques, syndicalistes, militants de droits humains, anciens chefs militaires tortionnaires ou dictateurs en retraite forcée, mercenaires armés et simples quidams. Tous pensaient avoir enfin réalisé la grande unité pour le changement en promettant aux damnés d’Haïti un nouveau contrat social. Ils étaient beaux, forts, puissants, et revendiquaient le statut de héros. Même les trafiquants de drogue et les tortionnaires macoutes apparaissaient sous les projecteurs des médias nationaux et internationaux comme des combattants de la liberté. Ils étaient 184 et étaient conscients de leur puissance et, de fait, ils avaient de qui tenir. Puisqu’à la vérité, ils ne faisaient que relayer les injonctions écrites par les vrais tuteurs du mouvement : les ambassadeurs des États-Unis, de la France et du Canada qui (...) Lire la suite »

Les lignes de fuite de l’inespéré ou les gradients de l’intelligence systémique !

Erno RENONCOURT

Dans cette tribune, pour contextualiser l’indigence de la pensée stratégique qui anime l’action de la gouvernance haïtienne, je modélise les lignes de force improbables qui plient la conscience du leadership haïtien vers le cycle bas de la vie et empêchent aux décideurs de trouver l'équilibre entre postures d'esprit et de corps pour guider la barque nationale malgré le chaos.

Tous les observateurs systémiquement outillés ne sauraient manquer d’être frappés par ce constat d’insignifiance de la pensée universitaire et de l’activité professionnelle des réseaux haïtiens du savoir dans leur dénuement face à la crise multidimensionnelle persistante qui déshumanise Haïti. Un constat si troublant qu’il a poussé Ricardo Seitenfus, diplomate et universitaire brésilien, acteur et spectateur de cette déshumanisation, à écrire : « L’on peut broder à l’infini autour des racines conjoncturelles et structurelles de la multiforme crise haïtienne. Comme, par ailleurs, ne manquent pas de le faire acteurs, observateurs, analystes et de simples quidams. De tous bords. Tant étrangers que nationaux. Malgré les différentes perspectives, diagnostiques et conclusions, une impression commune se dégage. On ne sait quoi faire. On est perdus, déboussolés. » Du constat à la problématique Et pour peu que l’on se serait tenté, par nationalisme outrecuidant, de réfuter ce verdict cinglant, on ferait bien de (...) Lire la suite »
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