A la suite des élections présidentielles, il est utile d’esquisser un court bilan du 1er quinquennat sous E. Macron. Et il est sans appel : mauvais, archi-mauvais, pire que ce que l’on pourrait penser, et surtout sur ce que l’équipe en place et ses relais merdiatiques tentent de nous faire avaler pour affirmer le contraire et relancer la machine à l’occasion des législatives
Comme indiqué à plusieurs reprises, l’avantage des moments de crise est qu’ils révèlent le tréfonds des individus. Ainsi, plus une crise est grave, plus ces derniers sont contraints de trouver en eux-mêmes les ressources leur permettant de faire face à ce qu’il leur faut gérer. Cette réalité à titre individuel se vérifie aussi à titre collectif. Nous venons d’en faire l’expérience à deux reprises. Et le constat est alarmant !
Les moments de crise ont ceci d’intéressant : ils dévoilent les individus et ce qui les anime au plus profond d’eux-mêmes. Et l’observation attentive de ce qui se passe dans les hautes sphères de l’Union Européenne devrait vraiment alerter tout citoyen épris de liberté s’imaginant encore vivre dans un espace démocratique.