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A chaque soir son grand soir

La période estivale de notre calendrier social
Laisse en creux, la place à des expressions moins coutumières
Dans le grand débat sur les enjeux de l’histoire
Dans la critique du système capitaliste orienté et dirigé par les forces anglo-sionistes
Les Grandes Plumes ne sont quand même pas légion (en français)
Heureusement qu’il y a foule de traducteurs (j’espère)
A chaque soir, je continue quand même de chercher un Grand Soir quelque part
Avant de repartir vers mon prochain lendemain matin
Mais le lendemain, la gueule de bois continue
En général ça commence par une langue de bois
Bien rigide dans un cerveau psychorigide médiatique
Qui nous sert la mayonnaise convenue dans toutes les cuisines
De notre occidentalisme atlantiste à la sauce néo-libérale
Si le menu médiatique me laisse sur ma faim sur la plupart des sujets
Je dois quand même lui reconnaître une capacité extraordinaire
Pour nous abreuver de tous les exploits sportifs dont sont capables
Tous nos stakhanovistes dans l’exercice de leurs exploits sportifs
Enfin, la narrative sportive nous montre combien nous sommes forts dans l’effort
Pauvres et moindres de nous, au regard de ces idoles des stades
Mais enfin, de quoi nous plaindrons-nous si nos cauchemars sont transformés en rêves
Par le bienfait des médias de masses
Et si la France des Macrons gagne la coupe du monde en Russie

URL de cet article 33589
   
George Corm. Le nouveau gouvernement du monde. Idéologies, structures, contre-pouvoirs.
Bernard GENSANE
La démarche de Georges Corm ne laisse pas d’étonner. Son analyse des structures et des superstructures qui, ces dernières décennies, ont sous-tendu le capitalisme financier tout en étant produites ou profondément modifiées par lui, est très fouillée et radicale. Mais il s’inscrit dans une perspective pragmatique, non socialiste et certainement pas marxiste. Pour lui, le capitalisme est, par essence, performant, mais il ne procède plus du tout à une répartition équitable des profits. Cet (…)
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"Jamais je ne demanderais pardon au nom des Etats-Unis - quelles que soient les raisons."

Président George Bush (père)
après qu’un avion de ligne régulière Iranien ait été abattu par un missile états-unien

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