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"Je suis fan de la politique flexible d’utilisation de l’arme nucléaire en premier (first strike)" Commandant en chef pour l’Europe de l’OTAN

Quand le Commandant en chef de l’OTAN pour l’Europe déclare, jeudi passé et avec jubilation, être « un fan de l’utilisation flexible de l’arme nucléaire en premier (first strike) »,

quand les États-Unis déploient les premières « mini-nukes », sensées rendre l’utilisation de l’arme nucléaire plus « acceptable »,

quand la Russie déploie ses premiers missiles nucléaires hypersoniques, présentés comme « pratiquement invincibles »,

quand après avoir dénoncé l’accord sur le nucléaire Iranien, les USA font de même avecle traité FNI, qui marquait la fin de la course aux armements nucléaires en Europe,

quand la situation et le respect du droit international ne cessent de se dégrader et que plus de la moitié des jeunes de 20 à 35 ans pensent qu’ils vivront un conflit nucléaire dans la décennie...

C’est qu’il est grand temps d’éliminer les armes nucléaires avant qu’elles ne nous éliminent !

C’est ce que demande la majorité des citoyens, tout comme l’écrasante majorité d’États (122) qui ont adoptés le nouveau Traité sur l’Interdiction des Armes Nucléaires (TIAN) ... que la Belgique et la France n’ont toujours pas signé !

Rejoignez la campagne pour le retrait et l’interdiction des armes nucléaires en Belgique, visitez :
www.nonukes.be

...et en France :
Ican France

Merci de diffuser à vos listes et sur vos réseaux sociaux...

»» https://www.youtube.com/watch?v=KUMqQFZNvcY
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L’Affaire Assange, histoire d’une persécution politique
Nils MELZER
L’affaire Assange, c’est l’histoire d’un homme persécuté et maltraité pour avoir révélé les sordides secrets des puissants, notamment les crimes de guerre, la torture et la corruption. C’est l’histoire d’un arbitraire judiciaire délibéré dans des démocraties occidentales qui tiennent par ailleurs à se présenter comme exemplaires en matière de droits de l’homme. C’est l’histoire d’une collusion délibérée des services de renseignement dans le dos des parlements nationaux et du (…)
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« Il y a une idée sur laquelle chacun semble d’accord. « Vaincre Daesh », comme l’a exprimé le secrétaire d’Etat Tillerson. Laissez-moi poser juste une question : Pourquoi ? Il est temps pour Trump d’être Trump : extrêmement cynique et imprévisible. Il lui faut vaincre Daesh en Irak. Mais pourquoi en Syrie ? En Syrie, il devrait laisser Daesh être le cauchemar d’Assad, de l’Iran, de la Russie et du Hezbollah. Exactement comme nous avons encouragé les moudjahidines à saigner la Russie en Afghanistan. »

Thomas Friedman, « In Defense of ISIS », New York Times, 14 avril 2017.

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