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la cote d'ivoire toujours dans l'incertitude !

Le Samedi 03 novembre dernier, a paris, a eu lieu une manifestation devant le siège de l’AFP (agence France presse) et de reporters sans frontières.
Les quelques dizaines de manifestants présent sur les lieux étaient des partisans de l’ancien président de la république de la cote d’ivoire, Laurent Gbagbo.
ces partisans ont dénoncé la censure médiatique, concernant la situation très préoccupante de ce pays.
Les manifestants ont mêmes distribués des tracts qui présenter des «  camps de concentration » existant en Côte-D’ivoire.
Ils ont dénoncé aussi un massacre commis le 20 juillet 2012 a duékoué.
Ce même 20 juillet 2012, un «  camp de déplacer » se situant à nahibly( ouest du pays) Province pro Gbagbo, a été attaquer en faisant six mort, selon l’ONU.
La fidh (fédération internationale des ligues des droits de l’hommes),auraient dénoncé l’existence de ces «  camps de détentions » illégaux.
Dans ces «  camps de détentions » les droits de l’homme seraient violer plus d’une fois !
ceci s’ajoute a des conditions d’existences catastrophiques :
 Les hôpitaux ne fonctionnent quasiment pas, les enfants sont dé scolarisés, la faim tue les ivoiriens.
 Les femmes enceintes n’ont aucun suivie médical, car il faut d’abord payer, pour être suivie médicalement.
Par manque de matérielle ou par manque de compétence professionnelle, ces pauvres femmes voient leurs bébé mourir.
Bébé mort né, mort pendant la grossesse de sous-alimentation, par manque d’hygiène etc.…
Pour les «  chanceuses » qui voient leur bébé naître prématurément, elles ont pour obligation d’avoir quelques franc C FA dans leurs poches !
Car elles doivent payer d’abord pour que leurs bébé puissent partir en couveuse.
Sinon, on laisse leurs bébé mourir !
 Pour manger, ceux qui détiennent quelques franc C FA, peuvent mettre en application la «  mort subite ».
Ce système, dite de «  mort subite » vise les personnes pouvant manger qu’une fois par jour.
C’est-à -dire qu’ils prennent leurs unique repas le soir, pour se coucher ensuite le ventre plein.
 Beaucoup d’enfants sous-alimenter, voient leurs parents décéder relativement jeune, les laissant sans aucun espoir.
Si un membre de la famille a pu rejoindre l’occident, ces enfants auront la «  chances » de percevoir un peu d’argent via des mandats (western union etc.…).
Évidemment les systèmes d’accueil et éducatif pour ces enfants n’existe pas.
 Des maladies comme le paludisme, la tuberculose, le sida déciment la cote d’ivoire.
Le plus inquiétant, c’est l’annonce faite par le directeur exécutif du fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, monsieur kazatchine.
Sur ce contexte très difficile, il prend la décision de geler jusqu’a «  nouvel ordre » les aides financières injecter pour lutter contre ces maladies.
Ceci en raison de «  l’instabilité du pays ».
Alors que des milliers d’ivoiriens meurt du sida un embargo financier est donc mise en place.
Evidemment, dans le même temps les multinationales implanter dans ce pays, se «  gavent » de profit.
Sous le régime de Laurent Gbagbo, les conditions matérielles rester insuffisantes, mais il y avait un «  service minimum ».
Revenons sur ce qui s’est passé en avril 2011.
Le 08 décembre 2010, Laurent Gbagbo est proclamer vainqueur des élections présidentielles.
Il est ensuite investi par le conseil constitutionnel.
L’Angola et l’Afrique du sud soutiennent ces résultats.
Le 16 décembre 2010 va éclater un conflit post électoral entre les partisans pro-Ouattara et les partisans pro-Gbagbo.
Car après l’investiture de Laurent Gbagbo, les résultats des élections sont remise en cause, Alassane Ouattara et alors proclamer a son tour président de la république de la cote d’ivoire.
L’investiture de Ouattara, ancien dirigeant du F Mi et ami de Nicolas Sarkozy, sera soutenu par les pays impérialistes, et notamment la France.
Après une semaine de pilonnages sur la résidence de Laurent Gbagbo, le 11 avril 2011 les forces de l’impérialisme français arrêtèrent Mr Gbagbo.
Actuellement, des milices armées sont toujours présentes dans certaines villes de cote d’ivoire.
Il est déconseillé de se revendiquer pro-Gbagbo sous peine de déportation, de torture…..ou la mort.
Laurent Gbagbo est dans l’attente de son jugement par la cpi ( cour pénale internationale).
Notons que la cote d’ivoire est riche en matière première, café, cacao, coton, or.
les trusts peuvent compter sur le soutiens d’un nouveaux président, économiste de formation.

jimmy dalleedoo

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Donde Estan ? ; Terreurs et disparitions au Pérou (1980-2000)
Daniel Dupuis
La pratique des arrestations illégales, des tortures et des exécutions en dehors de tout procès régulier puis de la dissimulation des dépouilles (d’où le terme de « disparus ») est tristement célèbre en Amérique latine où les dictatures ( l’Argentine de la junte militaire, le Paraguay dirigé par le général Alfredo Stroessner, le Chili tenu par Augusto Pinochet...) y ont eu recours. De 1980 à 2000, sous un régime pourtant démocratique, l’armée du Pérou n’a pas hésité à recourir à la terreur (…)
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« Le fascisme n’est pas le contraire de la démocratie bourgeoise, mais son évolution en temps de crise. »

Bertolt BRECHT

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