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« Les patrons ! » sont derrière les rideaux. Quatre traités inégaux

Quatre Accords de libre-échange

En démocratie bourgeoise les électeurs sont régulièrement invités à élire la clique de sous-fifres politiques qui obtiendra l’honneur d’administrer les affaires de l’État des multinationales. Ainsi, les États-Unis vivent présentement cette mascarade où les médias s’offusquent des propos de Donald Trump à propos des immigrants. Pendant ce temps « les vraies affaires » se négocient dans les suites d’hôtels luxueux avec la complicité des politiciens véreux qui demain seront invités à entériner ces traités inégaux. L’instance économique commande à l’instance politique ainsi qu’au pouvoir médiatique, jamais l’inverse. C’est ce que Donald Trump l’homme d’affaires multimilliardaire est venu expliquer à la gent politique étriquée.

Quatre traités de libre-échange sont en cours de négociation, ou ont été signés ces dernières années. Ces accords ont pour noms : Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement (TTIP) (1) qui, même s’il concerne directement les États-Unis et l’Union européenne, aura des incidences au Canada via l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) en vigueur depuis 1994 (2). Est aussi en négociation l’Accord économique et commercial global entre l’Union européenne et le Canada (AECG). Ont déjà été signés le Trans-Pacifique Partnership (TPP) (3) ainsi que l’Accord de libre-échange Canada-Corée du Sud, le quatrième fils de Belzebuth qui fait déjà sentir ses retombées chez les prolétaires de l’Industrie automobile au Canada (4).

Le Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement

Le TTIP, inspiré de l’Accord multilatéral sur les investissements (AMI), révèle la revue Coup/Rage (5), est en négociation depuis juillet 2013 entre les États-Unis et l’Union européenne. Ce sera un sommet dans le domaine de la dérèglementation ! L’un des objectifs des négociateurs est de contourner les réformes mises en place par les gouvernements américains et européens suite à la crise des subprimes de 2007-2008 (6). On se rappellera que ce montage financier, de type Pyramide de Ponzi, imaginé par les banquiers de la JP Morgan, consistait à mettre sur le marché boursier des « actifs » toxiques, amalgames de prêts hypothécaires sulfureux ; approuvés comme placements sécurisés par les agences de notation américaines (Moody’s, Standard and Poor’s), filiales des mêmes banques étatsuniennes qu’elles sont chargées de surveiller (7). Ce sont ces « actifs » toxiques que la Caisse de dépôt et placement du Québec acheta par milliards et d’où s’« évaporèrent » 40 milliards de dollars des épargnes des salariés québécois (8). L’autre objectif de cet accord est d’accroitre la concurrence entre multinationales et entre gouvernements capitalistes à la solde afin que les uns et les autres réduisent le prix de la force de travail, hausse la productivité et augmente ainsi les dividendes à verser à leurs actionnaires.

Accord économique et commercial global (AECG)

Cet accord (AECG) règlementera plusieurs secteurs économiques, le commerce des biens et des services, les investissements, la protection des investisseurs, l’attribution des contrats publics, la mobilité de la main-d’œuvre, les charges sociales au Canada et en Europe. Selon le gouvernement canadien (sous Harper comme sous Trudeau), cet accord aura plus d’impact sur la vie des Canadiens que l’ALENA en a eu depuis vingt ans (9). L’AECG renferme l’article 11 de l’ALENA, ce qui signifie que les administrations canadiennes des niveaux fédéral, provinciaux et municipaux doivent renoncer à une partie de leur souveraineté et abandonner leur juridiction à une Mission commerciale internationale (10). Cet accord économique inégal, avec la mise sur pied de tribunaux servant à protéger les droits des entreprises multinationales d’origine canadiennes ou européennes, mettra l’ensemble de l’économie canadienne sous le joug des corporations qui ont initié des recours judiciaires pour l’abrogation du salaire minimum obligatoire, ou contre la limitation d’émissions de gaz toxiques (Pérou), sans manquer d’autoriser les exactions de l’industrie minière internationale où le Canada est un joueur majeur (11).

Tous les partis politiques canadiens (et québécois) ont applaudi à cette abrogation de certaines lois fiscales, minières, commerciales, sociales canadiennes, attestant encore une fois que c’est l’économie et les multinationales qui commandent aux instances politiques, jamais l’inversent. Oubliez, je vous prie, la parodie électorale sans importance.

À la lumière de ces accords supra nationaux mondiaux importants et contraignants, tous auront compris que les velléités sécessionnistes, pseudo « indépendantistes » d’une fraction des bouffons politiques sont risibles. Leurs balivernes pseudo « souverainistes » sont ergotées tandis que l’on soumet le prolétariat québécois (et canadien) aux dictats de la concurrence internationale sauvage. Cette bataille sécessionniste rétrograde et réactionnaire voudrait placer la classe ouvrière à la remorque de la section québécoise des capitalistes canadiens. Ces turpitudes sécessionnistes dilapident les énergies ouvrières et détournent la colère étudiante et populaire des luttes de résistance quotidienne contre les politiques d’austérité, et des combats pour la conquête du pouvoir d’État par le prolétariat.

Contrairement à ce que vocifèrent les altermondialistes ainsi que les syndicalistes et la gauche bourgeoise ce n’est pas le fait que ces accords soient négociés en catimini – derrières des portes closes – qui pose problème. Que la dictature économique du grand capital s’étale au grand jour ou qu’elle sévisse en secret ne changera rien aux impératifs de profitabilité des investissements de capitaux « Il faudra que tu meures si tu veux vivre mon ami » dit le capitaine d’industrie et malheureusement la signature de pétitions de protestation, et la succession des manifestations et des sit-in devant les places boursières ne suffiront pas à faire taire les apparatchiks politiques et les sous-fifres du capital.

Trans-Pacifique Partnership

Cet accord est un traité de libre-échange qui vise à intégrer les économies de la zone Asie-Pacifique. Ce traité regroupe Brunei, le Chili, la Nouvelle-Zélande et Singapour, auxquels se sont joints les États-Unis, l’Australie, le Canada, le Mexique, le Japon, le Pérou, la Malaisie et le Vietnam. Les États-Unis étaient anxieux de se joindre à ce regroupement avant que la Chine, sa véritable rivale commerciale, n’y adhère, de façon à négocier férocement les conditions d’adhésion des Chinois. Les États-Unis espèrent ainsi maintenir l’hégémonie du dollar dans le commerce international autour du Pacifique et aussi mieux se positionner pour conserver ses parts de marché dans cette région à la fois développée et en « émergence » comptant 800 millions de consommateurs. Ce dernier avantage ne concerne qu’un certain nombre de produits ciblés (avionnerie, automobile, armement, énergie, technologie des communications), les États-Unis étant incapables de subvenir à leurs besoins domestiques dans de nombreux secteurs de production (12). Donald Trump malgré ses récriminations ne pourra rien changer à cette réalité. La gloire américaine est chose de passé.

Les États-Unis sont les plus grands importateurs de la planète et depuis 1970 leur balance commerciale est lourdement déficitaire. En 50 ans, depuis 1960, l’importance du commerce extérieur étatsunien a chuté de 571 % dans le PIB national, un revers économique important. Sans compter que la balance des paiements courants (incluant les transferts de capitaux) est déficitaire depuis 1982, ce qui signifie que depuis trente ans le rapatriement des profits des multinationales monopolistes a cessé de compenser pour le déficit commercial gargantuesque (13).

Ce déficit commercial récurrent entraine la baisse de la monnaie américaine. Ce ne sont pas les tribulations de la monnaie étatsunienne qui amène la destruction de l’économie de ce pays, mais l’inverse, le déclin de l’économie industrielle et commerciale entraine le déclin du secteur monétaire et financier (14). La monnaie n’est qu’un outil, un instrument économique – si l’économie s’effondre – la monnaie s’effondre – jamais l’inverse.

« Les effets du traité Trans-Pacifique Partnership sont multiples : favorisation de la délocalisation d’emplois, pression pour importer la nourriture et diminuer les normes d’étiquetage, limitation de la liberté sur Internet, prolongation de la durée des brevets des médicaments (donc augmentation des frais, donc plus de risques pour la santé), permission aux entreprises de poursuivre les pays qui entravent l’accumulation des profits et, bien sûr, dérèglementation des marchés financiers » (15).

L’impérialisme canadien est très actif dans cette région du globe comme l’atteste la signature de l’Accord de libre-échange Canada-Corée du sud en mars 2014, éliminant pratiquement tous les tarifs douaniers entre les deux pays. La Corée du Sud s’étant engagée à en effacer 81,9 % dès le premier jour de son application tandis que le Canada a promis d’en retirer 76,4 %. D’autres droits de douane nécessiteront des dizaines d’années avant d’être complètement éliminés (16).

Cependant, il ne faut pas se fourvoyer, ce que les oligarques (et les réformistes gauchistes) appellent « dérèglementation néolibérale » est en réalité la promulgation de nouvelles lois, de nouvelles normes et de nouveaux règlements plus aptes, espèrent-ils, à assurer la valorisation de leurs avoirs de même qu’une reproduction élargie du capital.

Nous l’avons souligné précédemment, ce ne sont pas les capitaux (productifs) qui font l’objet de la spéculation des banquiers et des spéculateurs, puisqu’il y a de moins en moins de marchés à conquérir il semble inutile de chercher à produire davantage sinon pour se disputer les marchés. Ce sont les devises, les monnaies, les écritures comptables et les « actifs spéculatifs » boursiers, volatiles et fragiles, parce que nullement adossés à des marchandises, qui sont l’objet de la convoitise des spéculateurs financiers. Ils savent tous pourtant que la spéculation boursière adossée à du vent engendrera un nouveau krach boursier, mais ils ne peuvent s’en empêcher, car les lois économiques du capitalisme sont impératives. Ils seront déçus ces capitalistes, car même en étendant mondialement leur prévarication et la « tonte des coupons » – et même en élargissant les aires géographiques d’accumulation des devises – ils ne parviendront pas à résoudre le paradoxe de la baisse tendancielle du taux de profit moyen (alors que la masse d’argent augmente) inscrit dans les gènes du système économique capitaliste parvenu à son stade suprême de dégénérescence.

Aux réformistes et aux gauchistes qui suggèrent de contrebalancer la mondialisation néolibérale par la création de structures internationales ou d’alliances multinationales d’États impérialistes qui cogiteraient des lois supranationales de règlementation bancaire et monétaire comme le Glass Steagall Act II (17), nous répondons que de telles agences de gouvernance et de tels organismes internationaux existent déjà, ils ont pour nom ONU, OCDE, CPI, FMI, BM, OMC, OMI, OIT, OACI, SWAPS, Union européenne, et tous ils contribuent au saccage de l’économie mondiale (18).

De plus, selon Le Monde diplomatique : « Cinq ans après l’irruption de la crise des subprimes, les négociateurs américains et européens ont convenu que les velléités de régulation de l’industrie financière (sic) avaient fait leur temps. Le cadre qu’ils veulent mettre en place prévoit de lever tous les garde-fous en matière de placements à risques et d’empêcher les gouvernements de contrôler le volume, la nature ou l’origine des produits financiers mis sur le marché » (19).

L’inévitabilité de la crise économique systémique

Le bon sens financier et l’intérêt commercial commandent que les produits boursiers sulfureux soient prohibés. Mais comme ils sont très lucratifs, du moins temporairement, et comme ils constituent la seule façon de faire tourner l’argent, d’un cycle économique à un autre, les banquiers ne peuvent s’en priver et ils oeuvrent sans relâche à « dérèglementer », en réalité à modifier les règlements des secteurs financiers, afin de réintroduire ces pratiques frauduleuses et à terme suicidaires. Les banquiers, les milliardaires, les politiciens et les oligarques sont impuissants à empêcher le développement spéculatif inéluctable de ce qu’ils appellent l’économie « irréelle », et qui pourtant est bien réel comme le prochain krach boursier va nous le rappeler. Ces capitalistes ne sont que des pions, des apparatchiks de l’appareil financier – des fonctionnaires du capital disait Marx – entrainés par les lois nécessaires du développement économique impérialiste moderne.

Sur ces lois économiques, nul n’a de prise – le mode de production et les rapports de production impérialistes modernes fonctionnent ainsi dans leur course au profit pour assurer la valorisation du « capital monétaire inflationniste » (sic) et ils entrainent le système à sa perte inexorable. En effet, les mécanismes purement monétaires et spéculatifs sont totalement dissociés du cycle de valorisation et de reproduction élargie du capital industriel et marchand. Si bien que la bourse peut engendrer des masses énormes de profits monétaires – d’actifs corporatifs spéculatifs – tout ce numéraire n’est que du papier, des entrées aux livres de comptes corporatifs, sans aucune valeur matérielle réelle, car aucune de ces inscriptions n’est passée par l’étape obligatoire de la production de plus-value industrielle ou marchande – là où se crée toute richesse sous le mode de production capitaliste en phase impérialiste.

Fondamentalement, c’est la compréhension et la conscience de cette nécessité implacable des lois économiques capitalistes qui distinguent un économiste matérialiste dialectique des différentes variantes d’opportunismes et de réformismes de gauche comme de droite. Les lois qui régissent le mode de production capitaliste ne peuvent être transgressées – manipulées – modifiées – elles sont impératives et contraignantes ; qui ne s’y soumet pas s’attire de graves ennuis et qui leur obéit appelle de graves crises systémiques. Il n’y a aucune porte de sortie, et personne ne peut sauver ce bateau ivre lancé contre Prométhée, voilà ce que Marx a voulu signifier à l’humanité. Ce mode de production doit être renversé et remplacé par un nouveau mode de production.

C’est la raison pour laquelle nous certifions que la dérèglementation-règlementation des secteurs boursiers, financiers, bancaires, monétaires, du prêt à la consommation et des emprunts gouvernementaux (dette souveraine) va se poursuivre parallèlement aux mesures d’austérité qui accompagnent ces politiques économiques suicidaires et nécessaires, n’en déplaise aux réformistes gauchistes et droitistes.

La politique de la classe ouvrière dans cette affaire

Contrairement aux allégations de la droite comme de la gauche bourgeoise la classe ouvrière existe toujours, et plus que jamais elle est la source de toute richesse sociale. Il est vrai que cette classe sociale est peu présente sur la scène politique, mais cela va changer au fur et à mesure que ses conditions de vie et de travail vont se détériorer. Les problèmes pour la classe ouvrière et pour l’ensemble des prolétaires salariés ce ne sont pas que ces accords commerciaux soient bilatéraux, plurinationaux ou transnationaux ; ou qu’ils soient négociés secrètement ou publiquement, les problèmes ce sont les objectifs que poursuivent ces accords, traités inégaux et alliances de libres-échanges. Ils visent à créer les conditions juridiques, politiques, diplomatiques et militaires :

– pour une pleine expansion économique et financière impérialiste ; – pour assurer la consolidation de la division internationale du travail entre les différents pays signataires ; – pour faciliter et consolider l’accaparement des ressources naturelles par les corporations multinationales (énergie, minerais, forêts, eau, agriculture, pêches) ; – pour favoriser le contrôle des marchés ; – pour imposer les politiques d’austérité afin de réduire le cout de reproduction de la force de travail ;
– et surtout, ils ont pour but d’assurer la spoliation de la plus-value ouvrière le plus commodément possible par les grandes corporations monopolistes qui ne souffrent d’aucune allégeance nationale.

Le capital n’a ni patrie ni nationalité, il n’a pas d’émotivité et n’a pas d’allégeance de classe. Le capital sert celui qui lui permet de fructifier, de se reproduire et d’accomplir son cycle de reproduction élargie jusqu’à sa disparition inéluctable.

La crise systémique de l’impérialisme moderne découle de cette contradiction. Malgré l’extension sauvage des conditions, des normes, des lois, des traités inégaux et des accords de non-réciprocité, la tendance à la diminution de la valorisation du capital « productif » est inexorable et aucun traité ne peut inverser ce cycle dépressif. Abolir ces accords, déchirer ces traités, rejeter ces alliances d’affaires, commerciales, économiques et militaires ne servirait à rien. Chaque fois, le système économique impérialiste reconstituera ces partenariats nécessaires à l’accaparement de la plus-value ouvrière et à sa concentration monopolistique, car cette concentration est une condition obligée de sa reproduction élargie – finalité ultime de ce mode de production moribond.

« La finalité constante de la production capitaliste est d’engendrer, avec le minimum de capital, un maximum de plus-value (...) Dans cette conception les ouvriers eux-mêmes apparaissent comme ce qu’ils sont dans la production capitaliste : de simples moyens de production, et non une fin en soi, ni la finalité de la production » (20).

Pour les ouvriers et leurs alliés (les autres salariés, les étudiants, les travailleurs immigrants), il est très difficile de s’opposer à la signature de ces accords. Chaque fois que des référendums ont été organisés, visant à faire entériner ces traités par les salariés, ou bien les dés étaient pipés, ou encore les résultats ont été ignorés. Conséquemment, est-il futile de résister de toutes nos forces et par tous nos moyens aux conséquences de ces traités et de ces accords inégaux sur notre quotidien, au foyer, au travail, au bureau, sur le chantier, au supermarché et dans nos quartiers ? NON ! Il est obligatoire, indispensable et nécessaire que chaque ouvrier et ses alliés résistent férocement et opiniâtrement, par tous les moyens aux dispositions de ces traités, aux conséquences néfastes, immédiates et à long terme. Mais il ne faut jamais quémander l’intervention de l’État bourgeois ni croire à son impartialité. Il faut lutter contre leurs effets sur notre pouvoir d’achat, sur nos conditions d’emploi, sur les cadences de travail, contre les mesures d’austérité qui viennent avec la crise et qui servent à faire payer ceux qui en pâtissent déjà. La grève sauvage et prolongée est probablement la meilleure tactique de résistance ouvrière qui soit.

Robert Bibeau

»» http://www.les7duquebec.com/7-au-fr...

Notes

(1) On trouvera une description de ces accords à cette adresse : http://www.international.gc.ca/trade-agreements-accords-commerciaux/agr-acc/nafta-alena/index.aspx?lang=fra
(2) https://www.youtube.com/watch?v=LZIcxyOrRg0&ab_channel=EmissionREGARDS

(3) https://fr.wikipedia.org/wiki/Accord_de_partenariat_transpacifique

(4) http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/402255/libre-echange-le-canada-et-la-coree-du-sud-s-entendent

(5) Nous remercions le journal Coup/Rage de la CLAC de Montréal, de nous avoir permis de nous inspirer de leur article. Coup/Rage. Printemps 2014. Page 11-12. http://www.clac-montreal.net/

(6) http://les7duquebec.org/7-au-front/la-crise-economique-dans-tous-ses-mefaits/. Voir aussi http://www.les7duquebec.com/7-au-front/grece-comment-sortir-de-la-crise/

(7) L’arnaque de type Pyramide de Ponzi est connue depuis les années 1920 et pourtant les grandes banques d’affaires la pratiquent toujours avec quelques modifications cosmétiques comme ici dans la vente de paquets d’hypothèques risquées que chaque spéculateur refilait au suivant. Le drame de la Caisse de Dépôt et de Placement étant de s’être fait prendre avec la patate chaude entre les mains entre deux transactions http://www.captaineconomics.fr/actualite-economique/item/375-pyramide-ponzi-systeme-pyramidale-madoff-albanie

(8) Robert Bibeau (2014) Le déclin de l’impérialisme contemporain. 60 pages. Téléchargez le feuillet gratuit http://www.robertbibeau.ca/VolumeDeclin.html

(9) Cet accord commercial récent est présenté ici : http://fr.wikipedia.org/wiki/Accord_%C3%A9conomique_et_commercial_global. Voir aussi, http://www.les7duquebec.com/7-au-front/le-crash-boursier-est-a-nos-portes-et-les-experts-radotent/

(10) http://www.tradejustice.ca/fr/. Voir aussi http://www.international.gc.ca/trade-agreements-accords-commerciaux/topics-domaines/disp-diff/nafta.aspx?lang=fra

(11) http://www.monde-diplomatique.fr/2013/09/DENEAULT/4959

(12)http://perspective.usherbrooke.ca/bilan/servlet/BMTendanceStatPays?codeTheme=7&codeStat=NE.RSB.GNFS.Z&codePays=USA&codeTheme2=1&codeStat2=x&langue=fr Voir aussi http://data.lesechos.fr/pays-indicateur/etats-unis/balance-des-paiements-courants.html

(13) https://fr.wikipedia.org/wiki/Accord_de_partenariat_transpacifique

(14) Il en est de même pour la zone euro, ce n’est pas la monnaie commune qui pose problème aux pays du marché commun et qui entraine la crise européenne. C’est la dégénérescence de l’économie, l’ouverture des frontières à la concurrence étrangère aux salaires de famine à l’intérieur même de l’Espace de Schengen qui entraine les problèmes monétaires et sociaux dans toute la zone euro.

(15)Coup/Rage. Printemps 2014. Page 11-12. http://www.clac-montreal.net/

(16) http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/402255/libre-echange-le-canada-et-la-coree-du-sud-s-entendent

(17) http://fr.wikipedia.org/wiki/Glass-Steagall_Act

(18)http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_d’organisations_internationales

(19) http://www.monde-diplomatique.fr/

(20) Karl Marx, Le Capital, Théories Sur la Plus-Value II, Éditions Sociales, pages 654.


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Eugenio Balari
in Medea Benjamin, "Soul Searching," NACLA Report on the Americas 24, 2 (August 1990) : 23-31.

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