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Quand les microbes contaminent l’histoire

Ce texte est le premier d’une série : Les armes biochimiques, en passant par les nazis, l’ex-URSS et les États-Unis ; Les armes biochimiques aux États-Unis et au Canada ; Les guerres biochimiques et les armes écoresponsables.

Des biologistes immunisent les envahisseurs

En procédant à des analyses moléculaires, sur des dépouilles d’individus d’Amérique précolombienne, des généticiens découvrirent des corps infectés par la tuberculose. Les sites étant antérieurs à l’arrivée des Espagnols et Portugais, certains minimisent les ravages causés par la transmission de maladies par les conquérants. Peu importe si les populations aient affronté des microbes, avant la venue des Européens : ça ne change rien au fait que des chefs d’expéditions aient distribué des vêtements contaminés, avec l’intention de décimer les habitants. Environ 90 % de la population, présente en 1492, mourut d’infections, mauvais traitements ou faim, dans les années qui suivirent. ¹

Après les conquistadores, les Anglais

En 1713, Terre-Neuve et la Nouvelle-Écosse se trouvaient sous contrôle anglais. En 1755, devant le refus des francophones de prêter allégeance aux nouveaux maîtres, le gouverneur Lawrence mit fin à l’insubordination. Il chargea le colonel Winslow d’exécuter la sale besogne. Les Acadiens subirent plus qu’un « grand dérangement » : la déportation des familles, dans différentes zones de l’Est de ce qui deviendra les États-Unis. On confisqua les maisons, les terres et le bétail, au profit de la couronne. Lawrence proposa de réduire à la famine les Acadiens cachés dans les bois, de tuer les femmes et les enfants des hommes qui ne se constituaient pas prisonniers. Des maisons furent incendiées, mais on prit soin de réquisitionner les récoltes et le bétail auparavant. En 1755, en digne successeur de Lawrence, Robert Monckton sera décoré pour la déportation de milliers d’Acadiens. Des 15 000 habitants francophones des zones maritimes, en 1755, plus du tiers étaient morts en 1762. Quoiqu’on n’ait pas de confirmation d’infestation volontaire de la variole, parmi les Acadiens, il est certain que les rares familles qui échappèrent aux autorités, pour se rendre à Québec, furent contaminées par des soldats malades. Les réfugiés succombèrent par centaines. Entre 1757 et 1758, une épidémie sévit dans la région de Québec. Lors de la Guerre de Sept ans, entre l’Angleterre et la France, la famine, la variole et le typhus régnaient. En 1757, sur les 472 décès, notés dans les registres de la paroisse, 306 correspondaient à des Acadiens. En 1758, selon le maréchal Desandrouins, la petite vérole ravagea un cinquième de la population. Et tout particulièrement les autochtones. ²

L’immunité diplomatique des oppresseurs

Jeffrey Amherst, commandant en chef des troupes anglaises en Amérique du Nord, n’est considéré tolérant que dans les manuels scolaires et les dictionnaires... Il s’opposait aux vues du commissaire aux Affaires Indiennes, William Johnson. Étant marié à une femme Mohawk, celui-ci voulait maintenir les ententes, établies par les Français, avec les autochtones. En vain ! Amherst cessa de distribuer ce que les Français donnait. Il haussa le prix des marchandises venant d’Europe. Pire : il octroya des sites, appartenant aux Sénécas, à des officiers de sa trempe. Dans la vallée de l’Ohio, les autochtones s’attendaient à ce que les colons de Nouvelle-Angleterre franchissent les Appalaches et volent leurs terres. En 1763, cette éventualité décida Pontiac, le chef des Outaouais, à chasser les Anglais. À l’instar d’une dizaine de tribus autochtones, trois cents canadiens suivirent Zachary Chicot et participèrent au soulèvement de Pontiac. Bien que de nombreux Canadiens-Français aient approvisionné les autochtones, les timorés obéissaient au père Potier. Pas question de risquer sa peau : comme d’autres religieux du haut de leur chaire, il menaçait d’excommunier les rebelles qui trahiraient l’allégeance à la royauté anglaise. Ayant rassemblé la majorité des nations voisines, Pontiac et ses alliés prirent d’assaut les places fortes de la région. Ils assiégèrent le fort Détroit, pendant six mois. Amherst demanda au militaire d’origine suisse Henry Bouquet s’il était possible de se débarrasser de cette « exécrable race », en les contaminant. Les sceptiques, qui nient la responsabilité du gouverneur, peuvent consulter les lettres échangées entre les deux hommes. Ce fut effectivement le bouquet, lorsque le subalterne lui répondit : « Je vais essayer d’inoculer les Indiens par le moyen de couvertures pouvant tomber entre leurs mains, de manière à ne pas attraper moi-même la maladie. » ³

On distribua des couvertures infectées par la variole. L’alliance entre différentes nations se désagrégea comme de la peau morte. Le siège prit fin et le lieu que l’on appelait « la pointe de Montréal du détroit » devint... Windsor. La même année, un compatriote de Bouquet, Simon L’Écuyer, répandit la variole à fort Pitt, parmi les tribus Delaware, Shawnee et Mingo qui assiégeaient les lieux.

Entre le typhus et le froid

À Vilnius, en Lituanie, à l’hiver 2001, des ouvriers creusèrent des tranchées pour enfouir des lignes téléphoniques. Il leur fallut démolir de vieux baraquements soviétiques, érigés quelques décennies plus tôt. On imagine leur stupéfaction, lorsqu’ils virent des crânes humains. Deux mille corps furent exhumés. On récupéra des boucles de ceinture, arborant des numéros de régiment, ainsi que de la monnaie datant du début des années 1800. Les vestiges furent identifiés comme étant ceux de la grande armée de Napoléon Bonaparte.

Après avoir analysé la pulpe de 72 dents, prélevées sur les corps de 35 soldats, Didier Raoult, de l’Université de la Méditerranée à Marseille, vit qu’elle contenait de l’ADN de Bartonella quintana, un micro-organisme responsable de « la fièvre des tranchées », une maladie transmise par les poux. À partir de cette découverte, certains journalistes s’empressent de proclamer que ce n’est ni l’hiver ni l’armée russes qui obligèrent Napoléon à rebrousser chemin, en laissant un million de morts de part et d’autres, en toute inutilité. Le vainqueur ne serait nul autre que la fièvre, le typhus et la dysenterie. Quoiqu’on ait prévu qu’une file de 7 848 véhicules approvisionnerait « la grande armée », les dépôts étant situés dans la vallée de la Vistule, en Pologne, cette solution finit dans les choux, étant donné l’état piteux des routes. ⁴

Parmi les 615 000 militaires, on recensait 302 000 Français. Les autres recrues provenaient de zones occupées par la France, souvent contraints à se joindre à l’armée. Soit, 190 000 Allemands, 90 000 Polonais et Lituaniens, auxquels s’ajoutaient 32 000 Néerlandais, Suisses, Italiens, Espagnols et Portugais. Seuls les Polonais avaient intérêt à y adhérer, en espérant mettre fin aux gains de territoires par la Russie tsariste.

Voyons donc si les statistiques de la guerre franco-russe donnent la palme au typhus ou aux combats. Les 23 et 24 juin 1812, Napoléon franchit le Niémen. En juillet, un affrontement d’envergure eut lieu à Saltanovka. En août, vint la première bataille de Krasnoï, puis celle de Smolensk. En septembre, le combat de Borodino ne dura que 12 heures, mais impliqua 300 000 hommes. Le 14 septembre, Napoléon entra dans la ville de Moscou... déserte. On avait évacué les habitants et fait disparaître les dépôts de nourriture en les incendiant. Devenu incontrôlable, le feu détruisit les trois-quarts de la ville. En octobre, le mégalomane français perdit l’espoir d’une entente avec le tsar et ordonna la retraite. Après la bataille de Maloïaroslavets, l’armée prit la route à rebours. En novembre, les températures atteignirent -30 degrés Celsius... De nombreux soldats perdirent leur chemin ou moururent sur place. L’armée arriva à Smolensk le 9 novembre, réduite à 60 000 hommes. Ils durent encore une fois engager la lutte à Krasnoï. La moitié des hommes y furent tués. Il y eut d’autres combats à Borisov en fin novembre. De nombreux civils qui entretenaient le camp périrent. Le 5 décembre, Napoléon rentra à Paris pour y donner sa version tronquée de la défaite, laissant Murat à la tête de l’armée.

En résumé : sur les 615 000 soldats partis en juin 1812, environ 10 000 sont revenus mal en point, souffrant d’infections, d’engelures, affamés ou estropiés. Très tôt, 80 000 soldats moururent de maladies, dysenterie, typhus ou autre infection. Mais si on prend les 120 000 soldats faits prisonniers, les 200 000 décédés au combat, nous comptons 320 000 macchabées. Si on y ajoute 100 000 déserteurs, puis des milliers d’individus morts de froid en novembre, au commencement de la retraite, il est impudent d’écrire que ce n’est ni les canons ni l’hiver russes qui forcèrent l’armée à se retirer. Les négligés de l’histoire, les pauvres chevaux, près de 200 000 en partance d’Europe, n’étaient plus que neuf au retour... Des milliers d’éclopés, un million de morts, du côté russe et des troupes de Bonaparte, voilà le bilan de 175 jours de déboires militaires.

Les responsables microscopiques

En Europe, il fallut plus d’un siècle, après la curée franco-russe, pour que les scientifiques admettent l’existence des micro-organismes, alors que les Chinois connaissaient déjà le principe des vaccins. La variole est causée par l’orthopoxvirus et s’attrape par l’inhalation de gouttes de salive expectorée par un individu contaminé. De la fièvre, le gonflement des ganglions lymphatiques et des éruptions cutanées apparaissent, pendant deux à quatre semaines, laissant parfois des cicatrices. La fièvre des tranchées émerge de la bactérie Bartonella quintana, qui induit des maux de tête et des douleurs aux jambes. Le typhus provient de la bactérie Rickettsia prowazekii, génère de la fièvre, des douleurs aux articulations, au dos, au ventre, des frissons et des céphalées. Une fois les habits et la peau contaminés par les excréments de poux, la plus petite égratignure suffit pour que la bactérie pénètre dans un corps.

Pourquoi évoquer le passé ? Parce qu’il augure l’avenir...

La stupidité humaine surpasse les micro-organismes. Et elle se perpétue et ne s’affaiblit pas avec le temps. Les recrues d’armée continuent de se soumettre aux visées cupides de politiciens idiots. On appelle ça défendre nos valeurs et les nations civilisées ! Malheureusement, on n’est plus au Moyen-Âge : à cette époque, on ne pouvait pas s’anéantir totalement ! À présent on peut tout éradiquer, grâce à une technologie jamais égalée, dont on est si fier. Des milliards de dollars, d’euros, de roubles, qui partent en fumée avec chaque avion bombardé, pendant que des populations manquent d’eau et d’aliments. Avec l’informatique, moins de soldats décèdent et plus de civils meurent.
Si on remet le service militaire obligatoire ou la conscription dans votre pays, dépêchez-vous de vous marier. Il vaut mieux se mettre symboliquement la corde au cou que servir de chair à missiles.

Références :
1. https://fr.wikipedia.org/wiki/Actes_de_génocide_en_Amérique
L’Amérique du Sud englobe tant de pays qu’il s’avérerait complexe d’en relater les évènements. L’ouvrage d’Eduardo Galeano : Las venas abiertas de America latina (Les veines ouvertes de l’Amérique latine) y parviendra mieux que moi.
2.1 Les mémoires de l’Europe, tome III, 1600 à 1763, Rivalités anglo-françaises à travers le monde, Éditions Robert Laffont, 1971.
2.2 https://www.histoirecanada.ca/consulter/colonisation-et-immigration/les-refugies-acadiens-au-canada-1755-1763
par André-Carl Vachon. Cet article parut dans la revue Traces, volume 61 numéro 3, été 2023, p. 22-27, publiée par la Société des professeurs d’histoire. Mis en ligne le 8 janvier 2024.
3.1 Le livre noir du Canada anglais, de Normand Lester, tome I, chapitre Pay back time, Éditions les Intouchables, 2001. Notez que dans son livre, l’auteur confond virus et bactérie.
Lettre du 13 juillet 1763 d’Henry Bouquet à Jeffrey Amherst : «  I will try to inoculate the Indians by means of blankets that may fall in their hands taking care however not to get the disease myself. »
3.2 Les lettres sont disponibles sur le site de l’avocat en droit autochtone Peter d’Errico, à l’Université de Pennsylvanie : www.nativeweborg/pages/legal/amherst/lord-jeff.html
3.3. Vivre la conquête, tome I, sous la direction de Gaston Deschênes et Denis Vaugeois, Éditions du Septentrion, 2013.
4.1 https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-22111/campagne-de-russie/
4.2 https://www.slate.fr/story/66541/napoleon-defaite-typhus-pous-hiver-russe

COMMENTAIRES  

05/11/2024 10:47 par CAZA

HéHé toujours aussi foutraque la ligne politique de Mme Lewis .
Je savais pas qu’ elle avait fait médecine .

C’ est quoi un écocide ? :
Facile .Tu crée une famine en tuant l’ animal qui sert de nourriture et le tour est joué .
Plus près de nous tu buldorizes avec caterpilar les oliveraies et tu empoisonnes les points d’ eau .
<<<< en 1875, le général Philip Sheridan plaida devant le Congrès en faveur de l’abattage des troupeaux, pour priver les Indiens de leur source de nourriture8. """"

https://www.humanite.fr/medias/amerindiens/bison-une-histoire-de-lamerique-comment-lhomme-blanc-a-tue-lindien

https://resistance71.wordpress.com/2024/11/03/usa-entite-sioniste-meme-combat-colonial-assassin-le-genocide-qui-a-construit-les-etats-unis-eric-zuesse/
Et 150 ans après les assassins génocidaires sont des héros .

05/11/2024 11:33 par Georges Rodi

C’est Francis Boyle, professeur de droit international à l’Université de l’Illinois à Champaign, qui a révélé de nombreux secrets de l’armée américaine sur les laboratoires biologiques.
Comme Boyle l’a noté, « Nous avons maintenant dans ce pays une industrie des armes biologiques qui viole la Convention sur les armes biologiques et la loi antiterroriste de 1989 sur les armes biologiques ».

05/11/2024 11:55 par Georges Rodi

L’agence de "Defense Threat Reduction" (DTRA) a externalisé une grande partie du programme de guerre biologique militaire à des entreprises privées qui ne sont pas responsables devant le Congrès et peuvent donc fonctionner plus librement en évitant les contraintes légales. Ces civils américains qui travaillent dans ces laboratoires bénéficient également de l’immunité diplomatique, bien qu’ils ne soient pas admissibles à cette distinction.
Par conséquent, ces entreprises privées peuvent effectuer des travaux de guerre biologique sous couverture diplomatique, hors du contrôle du pays hôte.

Ces entreprises privées mènent des recherches dans de nombreux pays, notamment en Ukraine, en Géorgie, en Ouganda, en Tanzanie, en Irak et en Afghanistan, en Allemagne, en Azerbaïdjan, au Cameroun, en Thaïlande, en Éthiopie, au Vietnam, en Arménie, en République démocratique du Congo, en Sierra Leone, en Afrique du Sud, etc.
Quelques noms de sociétés engagées dans ces travaux :
Southern Institute,
CH2M Hill,
Battelle,
Metabiota,
Black&Veatch,
et l’ONG américaine Eco Health Alliance qui est directement impliquée dans la recherche militaire sur les maladies transmises par les chauves-souris.

Pour ceux qui sont trop heureux sur terre et souhaitent avoir une dose déprimante, il y a aussi les reportages de la journaliste bulgare d’investigation Dilyana Gaytandzhieva.

07/11/2024 09:34 par guillaume rampon

“La preuve du pudding, c’est qu’on le mange.”
― Friedrich Engels

L’idée de contagion est aussi vielle que la médecine occidentale.
Repose t’elle sur des expériences ?
Non car les expériences sur la contagion ont pour la plupart échouées.
Mais la contagion est vitale pour big pharma (le profit) et certains politiques (le contrôle par la peur).

Voilà quelques liens pour soutenir mes assertions :
https://le-pont.le-pic.org/spip.php...

https://odysee.com/@Divers:58/Les-«-microbes-»-peuvent-ils-vous-rendre-malade:7

https://odysee.com/@ObjetsPerdus:2/arme-biologique_fr_bailey-2024:d

07/11/2024 20:05 par guillaume rampon

Le deuxième lien ne fonctionne pas, pourtant l’adresse est bonne.
Il semble que des caractères invisibles s’ajoute à l’adresse.

Pour atteindre l’article aller à la page :

https://odysee.com/@Divers:58/

C’est le premier article

08/11/2024 06:36 par Georges Rodi

> G.Rampon

Le professeur Joseph Needham, biochimiste britannique, historien des sciences à l’Université de Cambridge à consacré le plus clair de sa vie à mettre en lumière l’histoire des découvertes scientifiques chinoises. Résultat, des dizaines de livres absolument passionnants.

Il y a 1000 ans, les Chinois ont conçu et développé un vaccin contre la variole.
Un vaccin, c’est à dire un traitement préventif.
Ils ont aussi découvert les rythmes circadiens du corps humain, la circulation sanguine, l’endocrinologie.
Il y a 2000 ans, l’urine des femmes enceintes était utilisée pour fabriquer des hormones sexuelles,
Les Chinois en ont décrit les effets sur le corps et comment les utiliser.
Vers 1550, il existant en Chine une Encyclopédie en 52 volumes récapitulant description et usage des herbes médicinales décrivant environ 2000 plantes et 10 000 prescriptions possibles. Dont une contre la lèpre.

Tout ceci pour dire que Big Pharma a d’avantage pillé et détruit toute concurrence que réellement inventé vaccinations et médications.
En matière d’activités criminelles par contre, il ne semble pas y avoir de limites dans ce business.
Comment Rockefeller a su détruire l’homéopathie et les médecines traditionnelles en brevetant de mauvaises copies de molécules naturelles reste encore un des plus grands scandales du capitalisme étasunien.

C’est un problème jusqu’en Chine, où tous les labos occidentaux sont présents.
Beijing a un travail énorme à mener pour nettoyer cette corruption généralisée.

Pour le reste. je considère que le corps humain est encore un vaste mystère, je suis très réservé sur toute théorie qui prétends en décrire ou connaître le fonctionnement.
Il y a aussi que j’ai vu passer un peu trop d’affirmations infondées du genre : si les virus existaient, pourquoi n’y a-t-il pas de photos prises au microscope...
En fait, les images, elles existent.
Et les virus sont classés en fonction de leur taille, leur forme, etc.
A l’IHU de Marseille, il y a une équipe de chercheurs qui ne fait même que cela. Aucun d’eux ne prends part au débat (jugé "philosophique") de savoir si les virus sont des organismes vivants,

08/11/2024 10:48 par guillaume rampon

« “Peu importe combien votre théorie est belle, peu importe votre intelligence, peu importe si vous êtes célèbre… Si votre théorie n’est pas en accord avec l’expérience, elle est fausse. C’est tout.”
Richard Feynman prix Nobel de physique

 »

« Tout ceci pour dire que Big Pharma a d’avantage pillé et détruit toute concurrence que réellement inventé vaccinations et médications. »

Tout à fait d’accord avec ce constat.

Très réserver avec cette affirmation :
« Il y a aussi que j’ai vu passer un peu trop d’affirmations infondées du genre : si les virus existaient, pourquoi n’y a-t-il pas de photos prises au microscope... »

Les choses sont un peu plus complexe que cela.
Effectivement les images du sarcov2 sont des dessins fait avec des ordinateurs.
Mais il y a des photos de point noirs dont les virologues affirment que ce sont des virus.
Mais après les (7) manipulations faites pour le microscope électronique les images ont elles une réalité ou sont elles des artefacts ?
Ces points noirs sont ils des virus ?
Pour le vérifier selon les postulats de Koch, il faudrait l’injecter dans un être vivant et reproduire la même maladie.
Malheureusement c’est impossible à vérifier puisque le virus est "mort".
Poormina Wagh a essayé d’isoler le virus avec filtration et ultracentrifugation et malgré 3 essais elle n’y est pas parvenue.
https://odysee.com/@TheAmir:5/Poorn...

Pour prétendre découvrir un virus les virologues font de multiples manipulations qui aboutissent à l’apotose ou la mort cellulaire. Ils en déduisent que cette mort cellulaire est du à un méchant virus, mais apparemment ils n’ont jamais fait d’expériences de contrôle.
Stefan Lanka a fait ces expériences de contrôle et il abouti à la mort des cellules sans "virus".
https://odysee.com/@creagrif:0/les-...

09/11/2024 09:53 par Georges Rodi

> g rampon

Oui, je comprends. Vous parlez des images de synthèse qui schématisent en 3D et en couleur les structures biologiques.
De mon côté, je parle des images prises avec un microscope .
A l’IHU, ce sont les équipes du Professeur Bernard La Scola qui s’occupent de ce travail de mise à jour permanente de la bibliothèque des organismes que certains appellent virus par habitude.
Des images sont prises avant culture avec un microscope électronique, parce qu’à ce niveau de petite taille, il faut faire appel à ce type d’équipement.
Et les virus peuvent être classés par taille (entre 80 et 100 nanomètres pour les coronavirus), forme, aspect extérieur (lisse, "poilu", ...)

Une image de 4 coronavirus sarscov

09/11/2024 09:56 par Georges Rodi

> g rampon

Après mise en culture, des images peuvent être prises avec un microscope à balayage électronique, à la surface des cellules infectées.

09/11/2024 09:57 par Georges Rodi

En zoomant, on voit les points blancs, les virus.

09/11/2024 09:59 par Georges Rodi

A l’intérieur des cellules, c’est possible aussi...
Toujours les ronds blancs

09/11/2024 10:07 par Georges Rodi

Un autre modèle, un adénovirus qui se développe en formant ce qui ressemble à une structure cristalline...

09/11/2024 10:12 par Georges Rodi

> G rampon

(J’ai quelques problèmes de connexion, dans le doute je renvoie le premier)

Je comprends que vous me parlez des images de synthèse qui schématisent en 3D et en couleur les structures biologiques.
De mon côté, je parle des images prises avec un microscope .
A l’IHU, ce sont les équipes du Professeur Bernard La Scola qui s’occupent de ce travail de mise à jour permanente de la bibliothèque des organismes que certains appellent virus par habitude.
Des images sont prises avant culture avec un microscope électronique, parce qu’à ce niveau de petite taille, il faut faire appel à ce type d’équipement.
Et les virus peuvent être classés par taille (entre 80 et 100 nanomètres pour les coronavirus), forme, aspect extérieur (lisse, "poilu", ...)

4 sarscov en image.

09/11/2024 10:21 par Georges Rodi

... Cela dit, je me suis intéressé au débat Pasteur/Béchamp, je comprends parfaitement que les méthodes employées par Pasteur puissent amener à douter de ses travaux.
Mais Béchamp n’avait pas les moyens techniques d’aujourd’hui.

Je suis convaincu que la politique vaccinale est pour le moins irréfléchie, et devrait être remise à plat.
Je sais que les adjuvants employés sont des poisons, qu’il est stupide de vacciner des bébés car leur système immunitaire est quasi inexistant, donc je ne vois donc pas comment il pourrait être boosté...
Les toubibs qui déconseillent de donner du miel aux nourrissons, et conseillent de leur faire une piquouze manquent totalement d’esprit logique.

Je sais aussi qu’il n’y a rien de mieux que le lait maternel, une vie au contact de la terre, de la nature, des animaux, une alimentation et un environnement sains pour avoir un système immunitaire TipTop...

De là à douter en bloc de la science...

10/11/2024 11:44 par guillaume rampon

Sans doute ai je été trop rapide dans mes explications.
Dans le première partie de mon message je parle effectivement de « Vous parlez des images de synthèse qui schématisent en 3D et en couleur les structures biologiques. »

Dans le seconde partie de mon message la plus importante je parle de photos : "des images prises avec un microscope".
A microscope il faut ajouter électronique.

Comment les chercheurs peuvent ils affirmer que ce sont des virus ?
De la même façon que la réalité du pouding c’est qu’on le mange, la réalité d’un virus c’est qu’il est censé rentrer dans une cellule s’y répliquer et la faire mourir.
C’est là où nous avons un problème.
Nous n’avons pas de preuve directe (pas d’isolement de virus à partir des flux d’un patient)
Étonnant quand le concept de virus implique la reproduction de celui ci en grande quantité, et ensuite se diffuser dans l’air pour infecter d’autres être vivants.
Donc nous avons que des preuves indirectes (une culture de cellules dans une boîte de petri.)
Pourquoi pas ! mais il faut au moins faire une expérience de contrôle (la même culture de cellule sans "virus".)
Apparemment ces expériences de contrôle ne sont jamais effectuées car les virologues savent d’instinct quelles échoueraient.
Je viens de résumer ici les critiques de la virologie.
Les virologues pourraient facilement clouer le bec à leurs détracteurs en :
Isolant les virus à partir des flux corporel d’un patient, ou en faisant une expérience de contrôle.
Pourquoi ne le font ils pas ?

J’ai donné 2 liens où ces 2 approches ont été tentées, elles ont échoué.

https://odysee.com/@TheAmir:5/Poorn...
https://odysee.com/@creagrif:0/les-...

10/11/2024 23:59 par Georges Rodi

L’image des 4 sarscov est faite avant culture, à partir d’un prélèvement. Petri n’a rien à voir là dedans.

Et d’où vient cette affirmation que les virus soient là pour tuer les cellules en s’y multipliant ?
Ils peuvent aussi venir en nous, en grande quantité et variété, se développer en symbiose et se montrer utiles pour apporter et/ou passer des informations génétiques d’une cellule à l’autre.
Et Ils pourraient être ou devenir gênants, mortels parfois, que sous certaines conditions.

Je prends aussi le sujet par un autre bout.
L’interview de Jeffrey Sachs du 6 oct. par T.Carlson permet de le résumer.
J. Sachs y parle du Whistleblower du ministère de la défense américaine (DEA) qui a dénoncé les activités de Fauci. Il décrit le programme (diffuse) pour manipuler quelques pièces du génome d’un coronavirus et le rendre plus contagieux.
Et dans la nature, parmi les milliers de souches du coronavirus connues, aucune n’a cette caractéristique génétique concernée.
Il nous parle du génial Ralph Baric et son Reverse Genetic System.
Etc. Etc.
Je vous laisse découvrir la chose si ce n’est pas déjà fait.

Une de mes problèmes, c’est que je ne suis pas encore arrivé à appréhender comment je pourrais ne pas croire aux virus (quel que soit leur nom), et accepter le fait qu’il existe des programmes pour les manipuler, et des labos de Bio-Defense pour le faire à travers le monde.
Cela me permettrait pourtant de vivre plus sereinement, je considère en effet que ce risque là est bien plus important que le risque nucléaire.

11/11/2024 07:52 par Francine lo

Jeffrey Amherst, commandant en chef des troupes anglaises en Amérique du Nord, n’est considéré tolérant que dans les manuels scolaires et les dictionnaires... Il s’opposait aux vues du commissaire aux Affaires Indiennes, William Johnson. Étant marié à une femme Mohawk, celui-ci voulait maintenir les ententes, établies par les Français, avec les autochtones. En vain ! Amherst cessa de distribuer ce que les Français donnait. Il haussa le prix des marchandises venant d’Europe.

Faut-il entendre que les Anglais étaient plus gourmands et intolérants que les Francais, qui eux respectaient leurs engagements envers les natifs du Québec ?

Des couvertures infectées à la variole à la grippe faussement appelée espagnole, au SARS-CoV-2, virus ayant miraculeusement "gagné des fonctions" mortelles en laboratoire, les stratèges étasuniens ont manipulé sans vergogne les maladies comme des armes à leur profit, avec quelques dégats colatéraux chez eux.

M. Rodi, est-ce cet interview de J. Sachs par T. Carlson dont voici un extrait ?

https://www.instagram.com/tuckercarlson/reel/C7h5g12P52N/

11/11/2024 07:53 par Francine lo

Concernant Fauci, Il a été le conseiller scientifique et médical de six présidents américains avant Joe Biden. Il fut particulièrement actif pendant les premières années Sida. Ses quatre années auprès de Donald Trump ont été très douloureuses, il y a des chances pour qu’il soit enfin officiellement inculpé maintenant que Trump est repassé, avec Robert Kennedy Jr. à ses côtés.

Cet essai dénonce la mainmise de l’industrie pharmaceutique sur la recherche scientifique aux Etats-Unis et la toute-puissance du docteur Anthony Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), accusé d’utiliser les ressources financières dont il dispose pour exercer une influence sur les hôpitaux, les universités, les médias et les scientifiques. ©Electre 2024

Les médias grand public financés par l’industrie pharmaceutique ont convaincu des millions d’Américains que le Dr Anthony Fauci est un héros. Or, il est tout sauf un héros. (,,,)

https://www.mollat.com/livres/2616793/robert-francis-kennedy-jr-anthony-fauci-bill-gates-big-pharma-leur-guerre-mondiale-contre-la-democratie-et-la-sante-publique

Des demandes de renvoi criminel contre Anthony Fauci et d’autres responsables de la santé publique ont d’ailleurs été soumises aux procureurs de district de Louisiane cet été.
"Les renvois criminels accusent le Dr Fauci, les officiers fédéraux actuels et anciens, ainsi que les systèmes hospitaliers fournissant des soins en Louisiane, d’avoir commis des crimes conformément au code pénal de la Louisiane, notamment : Terrorisme – en causant un meurtre intentionnel ou en infligeant des blessures corporelles graves, La. RS 14. :128.1 (A) Meurtre au premier degré, La. RS 14:30 Meurtre au deuxième degré, La. RS 14:30.1 Homicide involontaire, La. RS 14:31 (A)(3) Traite des êtres humains, La. RS 14 :46.2 2 Actes de racket interdits, La. RS 15:1353 Cruauté envers les personnes souffrant d’infirmités, La. RS 14:93.3 Faux emprisonnement, La. RS 14:46 Enlèvement au deuxième degré, La. RS 14:44.1"

11/11/2024 11:49 par guillaume rampon

« Et d’où vient cette affirmation que les virus soient là pour tuer les cellules en s’y multipliant ? »
Pour cela je vais citer le mètre étalon de la pensée mainstream : wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Virus
Un virus est un agent infectieux nécessitant un hôte, souvent une cellule, dont les constituants et le métabolisme déclenchent la réplication.
J’ai lu en son temps une interview faite à la revue NEXUS par le professeur la Scola. Il montre dans une culture cellulaire des parties blanches qui pour lui indiquent la mort de la cellule.
De là il en conclu que si la cellule est morte c’est à cause d’un méchant virus,
Conformément au concept.
C’est ce que contexte Stephan Lanka (ancien virologue), c’est ainsi qu’il se défini.

11/11/2024 13:46 par guillaume rampon

J’ai répondu rapidement à la première partie de votre message.
Je vais répondre à
« "Une de mes problèmes, c’est que je ne suis pas encore arrivé à appréhender comment je pourrais ne pas croire aux virus (quel que soit leur nom), et accepter le fait qu’il existe des programmes pour les manipuler, et des labos de Bio-Defense pour le faire à travers le monde." »

https://odysee.com/@ObjetsPerdus:2/...
Dans cette vidéo à la minute :
4 mn 10 : il est affirmé que les russes ont complètement abandonné le développement d’armes biologiques dans les années 1970.
J’ai fait des recherches je n’ai pas trouvé de confirmation.
17 mn 30 il est question de Jeffrey Sachs.

Un article paru sur le site de l’AMSIB de Michael Palmer et Sucharit Bhakdi défenseurs de l’existence des virus :
https://www.aimsib.org/2024/05/26/l...

Ils citent un mémoramdum de 20 médecins :
point 5
« « La première preuve que la théorie des virus pathogènes est problématique est peut-être le fait qu’aucun article scientifique publié n’a jamais montré que des particules répondant à la définition des virus ont été directement isolées et purifiées à partir de tissus ou de fluides corporels d’un homme ou d’un animal malade. Si l’on utilise la définition communément admise du terme « isolement », qui consiste à séparer une chose de toutes les autres, tout le monde s’accorde à dire que cela n’a jamais été fait dans l’histoire de la virologie. Les particules qui ont été isolées avec succès par purification n’ont pas démontré qu’elles étaient capables de se répliquer, qu’elles étaient infectieuses et qu’elles provoquaient des maladies ». »

Plus loin, les auteurs précisent qu’ils ne sont pas d’accord avec l’utilisation de cultures cellulaires dans le cadre de la procédure d’isolement. Selon eux, les cultures cellulaires peuvent à elles seules donner lieu à des débris qui pourraient être confondus avec des particules virales, et ils insistent donc sur le fait qu’un virus doit être directement isolé à partir de tissus ou de fluides corporels d’êtres humains ou d’animaux infectés.

Ce à à quoi ils répondent :
Si l’isolement direct est souvent utilisé pour la caractérisation initiale d’un nouveau virus, l’utilisation de cultures cellulaires facilite grandement la détection de routine, sensible et rapide, de virus déjà connus. Il n’est pas réaliste de s’attendre à ce que les virologues praticiens renoncent à l’utilisation de cet expédient simplement pour satisfaire les sceptiques radicaux en fauteuil.

De nouveau pourquoi pas ! mais il faut au minimum une véritable expérience de contrôle ou on fait tout pareil mais on ne met pas de crachat du patient ou bien de la levure de bière pour simuler le crachat.
J’ai mis véritable car parfois de pseudo expériences de contrôles sont effectuées mais ce n’est pas respecté.

« Si l’isolement direct est souvent utilisé pour la caractérisation initiale d’un nouveau virus. ».
Si un tel exploit a été fait un jour quelque part dans le monde, pourquoi ne citent ils pas une revue scientifique où cela est décrit dans la section méthode ?

Pour finir je mets le lien
Urmie Ray / DR VALENTINA KISELEVA

https://frontmediatique.fr/%F0%9F%9...

A la 20 mn 30s de la vidéo le DR VALENTINA KISELEVA (Saint Petersburg) dit :
"...Beaucoup d’expériences ont été menées dans les années 1950 en URSS, il y a eu une expérience faite sur les détenus avec la promesse qu’ils seraient libérés si ils acceptaient de servir de cobayes à une expérience de contamination par la grippe."
Résultat : pas de transmission de la grippe.
Là encore j’ai fait des recherches je n’ai trouvé de confirmation.
J’espère que cet échange vous aura amené de la sérénité et je souhaite qu’il ait aussi amené de la sérénité à ceux qui l’auront suivi.
Car la peur c’est la destruction de la politique.
Voir la lettre au député :
https://le-pont.le-pic.org/spip.php?article114

11/11/2024 18:38 par Maryse

Merci à tous les gens qui ont mis des informations, à propos des entreprises impliquées dans la recherche d’armes biochimiques, entre autres. J’en prends note !

Les virus existent... ils ont besoin d’entrer dans les cellules d’un organisme, pour utiliser ses ribosomes qui leur permettent de se répliquer et dont eux sont dépourvus. Sinon, ils sont fait de protéines et d’ADN. Les rétrovirus, eux, sont enveloppés d’ARN, comme la famille des coronavirus, connue depuis le XXe siècle et considérée peu offensive pendant des années...

Dans notre siècle, en utilisant des filtres différents, on s’est aperçu qu’il existait des virus beaucoup plus volumineux, ayant davantage de gènes, que ce que les filtres trop petits n’avaient pas permis d’observer auparavant, même s’ils ne sont pas aussi gros que les bactéries. Il s’agit de la famille des mimivirus... Le nom est amusant, mais ces faits sont avérés.

11/11/2024 21:50 par Georges Rodi

G. Rampon

La citation du mètre étalon de la pensée mainstream (wikipédia) ne dit pas que les virus tuent nécessairement les cellules hôtes, mais qu’ils s’y multiplient...

Qu’il y ait des débats, des oppositions sur la définition d’un virus ne me dérange pas le moins du monde. C’est la vie normale pour toute approche scientifique. Prendre parti dans ces débats ne serait rien d’autre qu’un "à priori" de ma part.

Je trouve le memorandum des 20 médecins (pas des chercheurs donc), comment dire... Hors sol.
Si la technique actuelle ne permet pas d’isoler un machin de quelques nanomètres, mais seulement de l’observer... Il n’y a pas d’autre choix que de l’accepter pour l’instant.

Plus on observe l’infiniment petit, plus il faut immobiliser ce que l’on observe (logique).
On peut quasiment observer des atomes en les gelant.
Ce n’est pas compatible avec l’observation d’organismes vivants qui sont détruits par le gel.

C’est aussi le débat pour le génome des virus qui est reconstitué.
Il existerait une solution technique pour extraire un génome complet d’un machin si petit ? Non !
Ce n’est qu’une des limites technologiques du moment...
En attendant, on ne sait que multiplier les virus, filtrer, lire les morceaux et reconstituer le génome.

Cela revient à avoir 1000 livres identiques dans une boîte. Tous sont déchirés. Vous trouvez les pages 28 à 36, puis les pages 17 à 31, et vous en déduisez que vous avez les pages 17 à 36. Et ainsi de suite...
C’est logique, et c’est ce que l’on sait faire de mieux avec la technologie du moment...
Eh bien vous trouverez plein de gens pour affirmer qu’il s’agit d’une escroquerie intellectuelle.
OK... Chacun est libre de le penser.
Je le suis tout autant de ne pas avaler leur critique sans réfléchir.

C’est quand même une maladie de l’époque d’avoir des points de vues tranchés sur tout.
Probablement dû aux réseaux sociaux

Le DR VALENTINA KISELEVA peut bien citer une étude des années 50.
Chaque année, la grippe me laissait indifférent.
Chaque année, elle touchait mon fils.
J’ai senti passer le covid 3 fois. Mon gamin ne l’a pas senti passer, ce qui ne veut pas dire qu’il ne l’a pas eu.

... Et je reste soucieux des bio-labs.

11/11/2024 21:54 par Georges Rodi

> Maryse

Actualité oblige, je me suis intéressé au sujet.
C’est un voyage déprimant au possible.
Bon courage :)

11/11/2024 22:03 par Georges Rodi

> G Rampon

Je ne l’ai pas expliqué, mais Google refuse de suivre la loi chinoise, et censure totalement ses services sur la Chine.
Beaucoup de Chinois utilisent un VPN. Pas moi. J’ai une vie professionnelle et familiale agréable ici, je suis invité dans un pays, je ne vois pas l’intërêt de jouer avec les limites légales.

Bref, vos liens, Odyssée, Wikipedia... je ne peux rien en faire.
Mais continuez à les citer pour tous les lecteurs du GS.

12/11/2024 10:35 par guillaume rampon

J’ai des difficultés à comprendre : comment faites vous pour accéder au site du Grand soir compte tenu de :
« Je ne l’ai pas expliqué, mais Google refuse de suivre la loi chinoise, et censure totalement ses services sur la Chine. »

12/11/2024 14:26 par legrandsoir

On n’est pas obligé de passer par Google pour accéder au site LGS...

13/11/2024 16:07 par Maryse

Parfois, les scientifiques ont des idées préconçues qui induisent des biais dans la recherche. Lorsque les équipes publiques, et celle privée de Craig Venter, utilisaient des algorithmes pour détecter des portions du génome humain correspondant aux parties codantes, ils n’ont pas pensé à la possibilité que des gènes puissent avoir moins d’une centaine de nucléotides... D’autres chercheurs, après 2003, ont donc découvert des milliers d’autres gènes, non détectés auparavant !

Quant à Anthony Faucy, dans la revue Québec Science de l’automne 2019, il affirmait que l’hydroxychloroquine était efficace ! Ce qui est vrai si on l’utilise dans les premiers jours d’une infection. Et dès février 2020, elle disparaissait des tablettes des pharmacies... Faucy prévoyait aussi que la prochaine épidémie serait du type "à syndrome respiratoire sévère". La revue portait en page principale "Prêts pour la prochaine pandémie ?" Et en juillet 2020, Klaus Schwab publiait déjà un livre intitulé "Covid-19, la grande réinitialisation".

Le fait est que le plus grand danger réside dans les laboratoires de niveau 4. J’en parlerai dans un prochain article, mais quelle coïncidence ! Au laboratoire de la ville de Wuhan on étudie les coronavirus, comme à Fort Detrick aux États-Unis. Et dans ce dernier pays, des chauves-souris servent de cobayes.

13/11/2024 23:15 par Georges Rodi

> Maryse

Je ne connaissais pas ce détail sur le curseur placé sur la centaine de nucléotides.
Intéressant.
Cela dit, mon truc à moi, ce sont les axes, les roulements, les usinages 3D, les collages, les outillages d’injection, les capteurs, les vérins et leurs commandes informatiques. Je comprends bien ce que me disent les chirurgiens, les biologistes, beaucoup moins.
Pour tout ce qui touche les virus ou les vaccins, mon point de vue est superficiel.

19/11/2024 09:46 par Geb.

@Maryse...

"mais quelle coïncidence ! Au laboratoire de la ville de Wuhan on étudie les coronavirus, comme à Fort Detrick aux États-Unis. Et dans ce dernier pays, des chauves-souris servent de cobayes."

En effet.

"Mais quelle coïncidence", au Laboratoire P4 de Wuhan il existait une équipe de biologistes du DARPA US financés par des fonds américains qui travaillaient très officiellement sur les les coronavirus.

https://www.google.com/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=&ved=2ahUKEwiQupnD--eJAxXTdaQEHR0aKTkQFnoECBoQAQ&url=https%3A%2F%2Fwww.liberation.fr%2Fchecknews%2Flaboratoire-de-wuhan-des-experiences-controversees-sur-les-coronavirus-ont-elles-ete-financees-par-les-etats-unis-20210917_II2T5HCV6FD3PN6VI4XKLIEJZQ%2F&usg=AOvVaw37kC-3ohRQJpm0LvDAoiL2&opi=89978449

Evidement qu’ils n’étaient pas officiellement là pour "inventer" un virus augmenté afin de planter des banderilles à la Chine leur hôte, mais dans le "cadre d’une coopération de recherche sanitaire conjointe" entre deux nations qui au moment de la mise en oeuvre du Programme conjoint n’étaient pas officiellement en conflit direct.

Cependant tout le monde est en mesure de comprendre que des scientifiques bossant dans ce domaine peuvent à volonté passer de l’ombre à la lumière pour des raisons diverses, y compris sur injonction de leurs commanditaires.

Tous les pays du Monde ont des programmes conjoints dans des domaines sensibles comme la Recherche biologique fondamentale, l’Espace, le Nucléaire. (Stations spatiales, CERN, Biolabs, aéronautique), Et ce sont des domaines où on peut facilement basculer du positif au négatif sans même le déclarer aux hébergeurs ou financeurs de ces programmes.

Le "chercheur" quand il quitte son labo le soir ils laisse son matos sur place... mais il n’y laisse ni son cerveau, ni ses convictions, ni ses compétences. Et pas plus ses relations connues ou pas avec des services spéciaux de son pays, ni celles douteuses avec des brebis galeuses issues du pays hôte...

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