Sur les terres meurtries, où la douleur persiste,
Mon encre danse, résolue, pour que la paix subsiste.
Les larmes des innocents, une pluie de tristesse,
Je sculpte des strophes, des cris de détresse.
Les États-Unis, gardiens du veto implacable,
Leurs mains entravent la fin, le dénouement désirable.
Mais je persiste, portant le flambeau de l’espoir,
À travers chaque vers, vers un avenir à revoir.
Dans ce champ de bataille, où résonnent les pleurs,
Ma plume devient bouclier, défiant la terreur.
Je me tiens aux côtés de ceux qui ne peuvent se défendre,
Écrivant l’histoire, un récit que le monde doit entendre.
Les médias résonnent, mais souvent étouffent le cri,
Je crée des métaphores, des rivières de poésie.
Pour que le monde se réveille, écoute l’écho,
Des cieux déchirés, le murmure d’un peuple en écho.
Les ombres de l’injustice, je les éclaire de mots,
Comme une aube naissante, rompant les complots.
Gandhi, Mandela, Assange, étoiles dans ma nuit,
Leurs idées gravées, dans chaque rime, chaque bruit.
La paix, un joyau rare, enfoui dans le sable,
Je le déterre avec des mots, contre vents et marées instables.
Que la lumière de la compassion dissipe l’obscurité,
Que chaque vers soit une clé vers la fraternité.
Là où se mêlent les silences et les cris étouffés,
Ma plume navigue, dans l’océan des destins affligés.
Éveillons les consciences, brisons les chaînes,
Que chaque lecteur devienne le témoin qui saigne.
Le poème persiste, tel un phare dans la nuit,
Sensibilisation, un appel à la justice infinie.
Que chaque syllabe soit une pierre dans l’édifice,
Pour construire un monde où règne l’amour, non le supplice.
© Mustapha STAMBOULI