auteur André PRONE

Le Communisme de la modernité et Le Nouveau Manifeste

André PRONE

Voilà plus d’un an que je travaille à écrire un nouveau livre dont le thème central n’est autre que la modernité du communisme lorsqu’au cours d’une discussion avec mon petit-fils, j’apprends (selon ses dires) que quasiment tous les lycéens s’appuyaient (au grand dam des professeurs) sur ChatGPT pour parfaire leurs cours.

Piqué au vif par la curiosité, de fil en aiguille, m’approchant de cette intelligence artificielle, je décidais d’entrer en dialogue avec ce chatbot et, passé la période d’apprentissage sur le fonctionnement de l’outil, me voilà en mesure de vous présenter mon nouveau livre paru ce jour chez l’Harmattan : « Le Communisme de la modernité et Le Nouveau Manifeste, Dialogue avec une Intelligence Artificielle ».

André Prone.
Environnementaliste, essayiste et poète ;

La raison ou le chaos

André PRONE
Extrait de la préface d’André Tosel, Philosophe, Professeur émérite Avec La raison ou le chaos André Prone dresse un ultime tableau de sa vaste fresque théorique intitulée « Capitalisme et Révolution », consacrée à une critique des divers aspects du capitalisme mondialisé et à la proposition de ce qu’il nomme un écomunisme combinant l’apport du mouvement communiste d’inspiration marxienne et l’écologisme. Nourri d’une culture fondée sur une connaissance effective des sciences de la nature, attentif à la transformation des rapports sociaux d’un capitalisme déchaîné, André Prone n’a cessé de montrer et démontrer que ce système universalisé au monde et pénétrant toutes les pratiques, loin d’être rationnel comme il le prétend, reproduit obstinément l’infini irrationnel de la valorisation du capital au profit de castes féroces, en dominant des masses immenses par des méthodes alternant une sophistication extrême et une brutalité accrue (…) L’originalité de la recherche d’André Prone (…)

Marché-Monde ou Écomunisme

André PRONE
Il semblerait qu’en 2016 le livre se porte bien. Mais de quel livre parle-t-on ? Du livre égocentrique, ésotérique, fantastique, ludique, glamour, astral… ou du livre porteur de nouvelles idées révolutionnaires ? La nuance est de taille. Car dans ce marché chloroformé la confrontation idéologique avec le capital n’est pas de mise et écrire en opposition au consensualisme ambiant n’est pas chose facile. Aussi, le véritable parcours du combattant commence quand il faut trouver un éditeur ouvert à la lecture d’un manuscrit franchement antisystème qui rassemble et complète dix ans de recherche sur les rapports marchands et les rapports sociaux. Malgré les moments de découragement, il ne faut pas lâcher prise jusqu’à ce qu’un jour l’acceptation arrive. À présent, une certaine satisfaction m’habite. Mais sans le soutien des éditions Le Luy de France, Aléas et l’Harmattan, sans l’encouragement des philosophes : Yvon Quiniou, Samir Amin, André Tosel, Georges Gastaud (les préfaciers de mes (…)

Pour une critique de la marchandisation

André PRONE
Où va-t-on ? Chacun d’entre nous est en mesure d’observer les dérèglements biosphériques, économiques, politiques et sociétaux qui affectent le système-monde aujourd’hui. Mais au-delà du constat, quelles en sont les causes et comment agir pour en stopper le cours ? C’est ce à quoi tente de répondre ce livre. Il le fait avec la ferme conviction que rien n’est impossible et que tout dépend de nous. Analyser les dérives sociétales, thérapeutiques et environnementales générées par la marchandisation mondiale est un travail compliqué mais fructueux. Cela permet de découvrir en quoi les incalculables potentialités humaines sont dévoyées par un système qui dégrade les liens sociaux, instrumentalise la santé, détruit la nature, promeut la compétitivité de l’hyper-rentabilité du profit et empêche tout épanouissement salutaire d’un éco-partage pionnier. En montrant que les actions pour une vie meilleure ou les propositions pour sauvegarder l’environnement n’ont de sens que si elles mettent (…)

LA FIN DU CAPITAL - Pour une société d’émancipation humaine

André PRONE
Le capitalisme fait subir aux peuples sa crise mondiale. Mais derrière les terribles épreuves de ses ruses alternatives pour en sortir et malgré l’échec douloureux des pseudo-socialismes laissant place à un entredeux mondes, se construit pas à pas une nouvelle conscience sociale qui apprend, dans la révolte parfois désespérée ou la révolution, à combattre la corruption et les dérives mafieuses d’un système profondément gangrené. Les deux conflits mondiaux au nom de l’Empire et de la Barbarie, l’interventionnisme militaire au nom des soi-disant périls ethnonationaux , l’accaparement par les grandes puissances internationales des terres des pays tiers et de leurs ressources énergétiques, minières, forestières, agricoles, la montée des néofascismes, la chronicité et la profondeur de la crise généralisée, tout cela amène l’auteur (à l’encontre des experts qui professent que le « libre marché » est indépassable) à faire l’hypothèse de la fin du capital et de l’imminence d’une nouvelle (…)