Un document interne du gouvernement fédéral a été transmis en exclusivité à NachDenkSeiten. Nous avons pu vérifier le document et nous connaissons également l'identité du lanceur d'alerte. Le document donne un aperçu éclairant de l'ampleur des structures horizontales et verticales de ce que l'on ne peut pas appeler autrement que propagande d'État, notamment en ce qui concerne l'implication des autorités dans les médias (par exemple le Spiegel et le Stern), les groupes de médias sociaux occidentaux, les établissements d'enseignement et les soi-disant "fact-checkers". Même les enfants des écoles primaires sont ciblés. Il en résulte une tentative concertée de mise au pas de l'information par le gouvernement fédéral.
Le 26 septembre 2022, dans une émission de Conspiracy watch (observatoire du conspirationnisme) Tristan Mendès France et Rudy Reichstadt ont diffamé avec gourmandise Viktor Dedaj, Maxime Vivas et Le Grand Soir. Ils l’ont fait en présence de leur invité, Romain Badouard, maître de conférences en sciences de l’information et de la communication à l’université Paris II Panthéon-Assas, chercheur au laboratoire CARISM de l’Institut français de presse. Il n’a pipé mot et il a découvert les noms, comme il découvrit les mots « Révolution colorée » (!).
LGS.
Exploitant les moindres recoins de l’espace habité, le colonialisme européen a longtemps plié la majorité de l’humanité aux exigences de conquérants sans scrupules qui ont arrosé d’eau bénite leurs violences et leurs rapines.
Beaucoup ont du certainement le remarquer, le système d'information occidental, lorsqu'il s'agit de la guerre en Ukraine, devient atypique ; il n'obéit plus à aucune norme traditionnelle de l'information.
Dans le concert des médias alertant sur le prétendu « génocide » ouïghour, on n'a guère vu de génocide, mais au moins, en France, un véritable passage à tabac. Celui de Maxime Vivas, écrivain français qui s’est rendu par deux fois au Xinjiang, a publié en décembre 2020, un livre (« Ouïghours, pour en finir avec les fake news », éditions « la Route de la soie ») et a depuis codirigé avec Jean-Pierre Page l’ouvrage « La Chine sans œillères » (juillet 2021, éditions Delga) écrit par 17 intellectuels venus des 5 continents.