À la suite de la destruction en Ukraine de munitions à l’uranium appauvri de fabrication occidentale, un nuage radioactif s’est formé. Celui-ci s’est déjà dirigé vers l’Europe et a suscité une augmentation de la radioactivité en Pologne, a déclaré ce vendredi le secrétaire du Conseil de sécurité de Russie.
Une labellisation du nucléaire et du gaz comme des secteurs durables par la Commission européenne leur ouvrira de nouveaux financements, et risque de freiner le développement des énergies renouvelables et de la rénovation des bâtiments.
Voilà que maintenant ils font la gueule. Comme si la sainte apocalypse, TMI-Tchernobyl-Fukushima, s’était dégonflée comme une vulgaire baudruche. Et que, brusquement, pour le peuple des réseaux sociaux, ces catastrophes n’étaient plus que des accidents avec des bilans, certes lourds, mais limités.
Victime d’un cancer de la thyroïde alors qu’il travaillait dans l’industrie nucléaire, Patrice Girardier dénonce depuis les conditions de travail dangereuses des petites mains de l’atome. « Nous, les sous-traitants d’EDF, sommes de la chair à canon. »
Ce n’est pas du Covid, donc l’information est passée quasiment inaperçue : le Japon va décharger en mer plus d’un million de tonnes d’eau radioactive provenant de la centrale nucléaire de Fukushima.
Plus de 900 essais nucléaires ont été effectués dans le territoire Shoshone, dans le Nevada, aux Etats-Unis. Les habitants en subissent encore les conséquences.
La révocation illégitime de l’accord sur le nucléaire iranien a déçu les Iraniens.
De très dures sanctions sont imposées hors du cadre de la loi Onusienne sur le peuple iranien parce que Donald Trump a rejeté l’accord pour faire plaisir à Netanyahou mais aussi par une noire rancune à l’égard de son prédécesseur Obama.