Parce qu’il existe des civilisations millénaires qui ont pour règle de faire porter aux parents la responsabilité des actes de leurs enfants ou leurs ados... Et parce que Attali nous a « fait » Macron... Il est plutôt normal de le tenir pour responsable, du moins jusqu’à ce que quelqu’un me démontre que son golem soit sorti de l’adolescence.
En mars 2007, Jacques Attali , un penseur particulièrement préoccupé par le destin de la communauté juive, s'interrogeait avec franchise et audace sur "L'avenir des juifs au 21ème siècle" (1).
Le monde diplomatique a rendu publique une information, un événement mineur pour certains, mais pour d’autres, un changement significatif dans l’ère du temps des crises morales, financières, économiques, sociales, environnementales, etc. La 17e chambre correctionnelle a reconnu Bernard-Henri Lévy (BHL) « auteur du délit de diffamation publique envers un particulier » et a condamné Franz-Olivier Giesbert, pour complicité en sa qualité de responsable de la publication du texte diffamatoire.
Il s’est passé hier soir quelque chose de gravissime, à la télévision, sur une chaîne publique. On sait, certes, que cette chaîne, la 2, n’est plus publique depuis longtemps, désormais vouée à la propagande du néo-libéralisme, mais on attend, tout de même, d’eux qu’ils ne se comportent pas comme des voyous. Et pourtant, c’est le spectacle qu’ils nous ont offert.
Jeudi 25 avril, l’émission "Des Paroles et des Actes" recevait Jean-Luc Mélenchon. Cette émission est un exploit physique et intellectuel. L’invité doit répondre, deux heures durant, sans jamais faiblir, à un feu roulant de questions posées par des interlocuteurs successifs. Il va de soi que Mélenchon est reçu sur ce plateau de manière moins urbaine que d’autres politiques.