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Auteur : Khider MESLOUB
Où la lutte des classes est remplacée par la guerre des sexes

À bas le féminisme petit bourgeois vindicatif, punitif, déviant et castrateur

Khider MESLOUB

Paradoxalement, dans la société capitaliste occidentale surprotégée, où la gent féminine semble émancipée, quand les féministes et les instances politiques et médiatiques parlent de la femme, c’est toujours comme un être singulier, une personne infériorisée, aliénée, fondamentalement différente de l’homme (toute ressemblance avec le monde musulman, pourtant fustigé pour sa misogynie, serait une pure et fortuite coïncidence).

Paradoxalement, dans la société capitaliste occidentale surprotégée, où la gent féminine semble émancipée, quand les féministes et les instances politiques et médiatiques parlent de la femme, c’est toujours comme un être singulier, une personne infériorisée, aliénée, fondamentalement différente de l’homme (toute ressemblance avec le monde musulman, pourtant fustigé pour sa misogynie, serait une pure et fortuite coïncidence). Ironie de l’histoire, le meilleur allié du patriarcat, c’est le néo-féminisme, qui perpétue les mêmes stéréotypes phallocratiques (encore prégnants dans les pays islamiques) et prônent les mêmes traitements différentialistes sexués, réservés exclusivement à la femme, au plan social et judiciaire, tels qu’ils ont cours dans les pays musulmans. En effet, par leur action d’essentialiser les violences commises contre les femmes, leurs mobilisations exhortant les pouvoirs publics à protéger les femmes, à voter des lois spécifiques pour les femmes, elles perpétuent le schéma patriarcal qui infériorise (...) Lire la suite »
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Une énième vague de coups d’État sanitaires déferle sur le camp atlantiste

Khider MESLOUB

Comment entretenir la pandémie, pour justifier et légitimer le coup d’État sanitaire moderne accompli avec des moyens de conditionnement psychologique hautement technologique, sinon par la fabrication hystérique du péril viral mythologique agrémenté de maquillages statistiques délibérément amplifiés. Comment justifier et légitimer l’accélération de la destruction des infrastructures économiques considérées comme obsolètes du point de vue du grand Capital, sinon par une énième vague de propagandes sanitaires virales, appuyées sur un traitement de l’information anxiogène propre à susciter un état de sidération sur fond de psychose collective.

Comme le disait le nazi Hermann Göring : « Et si vous pouvez trouver quelque chose pour les effrayer, vous pouvez leur faire tout ce que vous voulez ». Pour la énième fois, alors que le Covid-19 était, depuis le mois d’avril 2021, en voie de résorption, les États atlantistes viennent de réactiver la fabrique de la peur par la diffusion de l’invariant scénario catastrophe porté par le terrifiant variant delta, ce serial killer menaçant, selon les metteurs en scène gouvernementaux jamais à court d’imagination, l’humanité de disparition. Or, selon les experts, certes le variant delta est plus contagieux, mais incontestablement moins létal que le précédent. À écouter les gouvernants atlantistes, le variant delta s’apprêterait à décimer des millions de personnes, particulièrement les non-vaccinées. À la vérité, selon les médecins, l’actuel variant delta ne provoquerait qu’un gros rhume. La preuve : en Grande Bretagne, premier foyer européen du variant delta, certes le nombre de contaminations a considérablement (...) Lire la suite »
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Deuxième vague de coups d’État sanitaires

Khider MESLOUB

Comment entretenir l’épidémie, pour justifier et légitimer le coup d’État sanitaire moderne accompli avec des moyens de manipulation mentale hautement technologique, sinon par une politique médicale moyenâgeuse.

Car la crise sanitaire actuelle est avant tout une crise du système de santé, incapable de gérer une simple épidémie grippale faute de moyens médicaux et d’équipements sanitaires. Comment justifier et légitimer l’accélération de la destruction des infrastructures économiques considérées comme obsolètes du point de vue du grand capital, sinon par une deuxième vague de propagandes sanitaires virales, appuyées sur un traitement de l’information anxiogène propre à susciter une psychose collective. Aujourd’hui, après le couvre-feu, qui a embrasé toutes les libertés individuelles, sur fond de bruits de bottes, se profile le rétablissement du confinement pénitentiaire, cette politique d’assignation à résidence forcée que n’aurait jamais imaginé le pire des dictateurs. La politique de confinement est l’ultime tentative désespérée d'un système capitaliste en déclin pour freiner sa chute, accélérée par l’irruption du coronavirus, qu’il rend mensongèrement responsable de l’effondrement de l’économie. Déjà au début de (...) Lire la suite »
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