Le 11 décembre 2023, Raphaël Glucksmann a écrit une lettre comminatoire à Fabien Derville, le Président de Decathlon, entreprise Picarde de grande distribution de sport et de loisirs.
J’étais donc au Xinjiang du 16 au 23 août 2023 avec Aymeric Monville et d’autres curieux, adeptes de Saint-Thomas (et non pas de Saint-Média) pour voir (revoir) de mes yeux ce que les Chinois disent être la réalité et dont leurs ennemis nient l’existence.
C’était mon troisième voyage dans cette région chinoise aux huit frontières, dont l’une, de 76 kilomètres, avec l’Afghanistan.
J’étais à Lescar-Pau, chez les compagnons d’Emmaüs où Jean Ortiz faisait un peu partie de la famille. Vers midi, il me dit : « Viens, on va manger au réfectoire ». Il pousse la porte d’une pièce où quelques dizaines de compagnons déjeunaient. J’ai remarqué qu’il y avait de la soupe et pas de vin. La grande silhouette noire (habits, cheveux) d’Ortiz s’inscrit dans la clarté de l’ouverture. Il dit un truc, très fort, pour qu’on le remarque (il aimait ça). Les compagnons tournent la tête vers nous. Il me désigne d’un geste large en disant : « Je vous présente Maxime Vivas ».
La cheville ouvrière de la destitution de Nancy Morejón de la présidence du Marché de la poésie pour sa quarantième édition consacrée à la poésie caribéenne s’appelle Jacobo Machover.
Un jour de juin 1922, le Président Poincaré arpentait un cimetière militaire et il eut un sourire capté par un photographe. Le quotidien l’Humanité diffusa la photo à 100 000 exemplaires. Elle fut transformée en carte-postale. Elle façonna l’image de « l’homme qui rit dans les cimetières ». Il ne resta plus aux médias éhontés qu’à reprendre les « éléments de langage » : il s’agissait d’un « rictus dû au soleil » (qu’il n’avait pas en face).
Le 5 février 2023 à 20 h, dans l’émission « C politique » la 5 nous donna à admirer sept Poincaré probablement éblouis par les projecteurs, sept pauvres jouets de rires purement nerveux.
Blast, j’y ai cru.
Jusqu’au bout, j’ai essayé de tenir Denis Robert en dehors de la querelle entre un de ses journalistes et nous.
Mais Blast n’accepte pas le dialogue entre camarades.
Blast frappe à l’improviste derrière la nuque et ne tolère pas d’entendre « aïe ! ».
Bref, Blast est solidaire d’un de ses auteurs qui, par allégeance aux Etats-Unis, me diffame.
Finalement, la vigueur de l’attaque de Blast contre moi tient à une divergence fondamentale qui porte sur « la nation nécessaire » et sur la conservation de son leadership qui a semé, sème et sèmera des morts par centaines de milliers à travers le monde.
Pour Blast, il y a les gentils (les Etats-Unis), les méchants (la Chine) et les membres français du Parti communiste chinois (!).
Hélas ! sur le sujet qui dresse Blast contre moi, on trouve des médias états-uniens moins manichéens que Blast. Blast veut ignorer qu’aux Etats-Unis, des médias, des journalistes, des intellectuels, des avocats conseillers de Biden réfutent les bobards sur « le sort des Ouïghours ».
Dans mon livre « Ouïghours, pour en finir avec les fake news » (1), je citais quelques infaux célèbres et quelques exemples de parti pris et manipulations de nos médias.
On se souvient (ou pas) de la volée de bois vert, des calomnies, injures, que j’ai alors reçues de nos médias parmi lesquels : Libération, Arrêt sur Images, France Inter, le Canard enchaîné, le Monde, Télérama, Quotidien, Charlie-Hebdo (qui me traita de « dingo), etc.
Parmi les exemples, de manipulation, je citais le traitement (je veux dire : la condamnation, l’exécution médiatique) de Lula.
Orphelin d’une famille modeste, Pierre Soulages, natif des hauts plateaux de l’Aveyron, est mort le 25 octobre à 102 ans à Sète où il s’était installé.
On dit qu’il est le plus grand peintre français de sa génération. Il était exposé dans le monde entier. Une de ses toiles s’est vendue 20,2 millions de dollars aux enchères à New York. Mais il en reste à voir, au remarquable musée de Rodez qui porte son nom.
Le 26 septembre 2022, dans une émission de Conspiracy watch (observatoire du conspirationnisme) Tristan Mendès France et Rudy Reichstadt ont diffamé avec gourmandise Viktor Dedaj, Maxime Vivas et Le Grand Soir. Ils l’ont fait en présence de leur invité, Romain Badouard, maître de conférences en sciences de l’information et de la communication à l’université Paris II Panthéon-Assas, chercheur au laboratoire CARISM de l’Institut français de presse. Il n’a pipé mot et il a découvert les noms, comme il découvrit les mots « Révolution colorée » (!).
LGS.