RSS SyndicationTwitterFacebookFeedBurnerNetVibes
Rechercher

Manifeste pour une autre campagne

Aujourd’hui plus que jamais le politicien vu par le peuple fait partie d’une classe à part « la classe politique ». Tous les partis sans distinction sont classés dans cette catégorie. En témoignent les résultats des dernières élections donnant l’abstention gagnante dès le premier tour à 50 % des voix selon les cas. Sans compter les non inscrits qui ne se reconnaissent plus dans rien.

Le lien de confiance qui pouvait unir le citoyen au politique a été sérieusement entamé en 1983 et n’a cessé de se détruire depuis servant les intérêts du capital qui ne voyait pas de mobilisation suffisamment forte permettant de s’opposer à ce qu’il se serve dans les caisses de la protection sociale au moyen des réductions de charges, mais aussi dans les poches des salariés en ne liant plus du tout l’augmentation du coût de la vie à celle du salaire.

Et voilà que 2012 arrive, et voilà que tous le monde s’active pour préparer une campagne basée sur des affiches et des slogans espérant que les outils du capitalisme financier nous permettront de remporter une victoire... Comme d’habitude on finit par se réveiller avec une « gueule de bois » et quelques pourcents des voix qui nous condamnent lentement à disparaître du paysage politique faute de pouvoir rembourser notre couteuse campagne d’un (ou à la) mode capitaliste.

Où se situe l’erreur si ce n’est dans notre volonté d’imiter les riches, nous ne vaincrons jamais de cette manière !!! Il est temps d’initier d’autres modes de communications permettant de restaurer le lien entre politiques et peuples, et de faire émerger une prise de conscience collective que la misère n’est pas une destinée liée à la mondialisation mais qu’un combat de l’ensemble des citoyens alliés au front de gauche fera que notre destin sera celui d’une utopie devenue réalité.

Ainsi le projet doit devenir contrat et être signé par les représentants des principales organisations du front de gauche qui s’engageront devant les signataires à mettre en oeuvre ce qui est écrit en cas d’élections de ces derniers.

« Une autre campagne », c’est faire cosigner ce contrat par les citoyens dès le mois de Septembre et d’en garder un exemplaire en prenant le soin de laisser l’autre au signataire.

« Une autre campagne » c’est faire de l’éducation populaire en expliquant le moindre détail de « ce que nous voulons ».

C’est aussi compter le nombre de contrats signés et faire abstraction des sondages.

Front International de Libération de l’Education Populaire
Mouvement à but non lucratif au capital humain

URL de cet article 13789
  

Le Climat otage de la finance
Aurélien BERNIER
Pour la première fois dans son histoire, le système économique est confronté à une crise environnementale qui, par son ampleur, pourrait menacer sa survie. Le changement climatique, présent dans presque tous les médias, est maintenant à l’ordre du jour de la plupart des rencontres internationales, des Nations unies au G8 en passant par les sommets européens. Mais l’alerte lancée par les scientifiques ne suffit pas à transformer les financiers en écologistes. Dès l’élaboration du Protocole de Kyoto en (...)
Agrandir | voir bibliographie

 

"Au Salvador, les escadrons de la mort ne tuent pas simplement les gens. On les décapite, on place leurs têtes sur des piques et on garnit ainsi le paysage. La police salvadorienne ne tuait pas seulement les hommes, elle coupait leurs parties génitales et les fourrait dans leurs bouches. Non seulement la Garde nationale violait les femmes salvadoriennes, mais elle arrachait leur utérus et leur en recouvrait le visage. Il ne suffisait pas d’assassiner leurs enfants, on les accrochait à des barbelés jusqu’à ce que la chair se sépare des os, et les parents étaient forcés de garder."

Daniel Santiago,prêtre salvadorien
cité dans "What Uncle Sam Really Wants", Noam Chomsky, 1993

Commandos supervisés par Steve Casteel, ancien fonctionnaire de la DEA qui fut ensuite envoyé en Irak pour recommencer le travail.

Comment Cuba révèle toute la médiocrité de l’Occident
Il y a des sujets qui sont aux journalistes ce que les récifs sont aux marins : à éviter. Une fois repérés et cartographiés, les routes de l’information les contourneront systématiquement et sans se poser de questions. Et si d’aventure un voyageur imprudent se décidait à entrer dans une de ces zones en ignorant les panneaux avec des têtes de mort, et en revenait indemne, on dira qu’il a simplement eu de la chance ou qu’il est fou - ou les deux à la fois. Pour ce voyageur-là, il n’y aura pas de défilé (...)
43 
Ces villes gérées par l’extrême-droite.
(L’article est suivi d’un « Complément » : « Le FN et les droits des travailleurs » avec une belle photo du beau château des Le Pen). LGS Des électeurs : « On va voter Front National. Ce sont les seuls qu’on n’a jamais essayés ». Faux ! Sans aller chercher dans un passé lointain, voyons comment le FN a géré les villes que les électeurs français lui ont confiées ces dernières années pour en faire ce qu’il appelait fièrement « des laboratoires du FN ». Arrêtons-nous à ce qu’il advint à Vitrolles, (...)
40 
Médias et Information : il est temps de tourner la page.
« La réalité est ce que nous prenons pour être vrai. Ce que nous prenons pour être vrai est ce que nous croyons. Ce que nous croyons est fondé sur nos perceptions. Ce que nous percevons dépend de ce que nous recherchons. Ce que nous recherchons dépend de ce que nous pensons. Ce que nous pensons dépend de ce que nous percevons. Ce que nous percevons détermine ce que nous croyons. Ce que nous croyons détermine ce que nous prenons pour être vrai. Ce que nous prenons pour être vrai est notre réalité. » (...)
55 
Vos dons sont vitaux pour soutenir notre combat contre cette attaque ainsi que les autres formes de censures, pour les projets de Wikileaks, l'équipe, les serveurs, et les infrastructures de protection. Nous sommes entièrement soutenus par le grand public.
CLIQUEZ ICI
© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.