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A quand le pass de soumission au "Bon Maître" ?

Voilà des mois que dure le cirque gouvernemental justifié au nom de la pandémie avec graduellement des crans supplémentaires enclenchés pour mettre en cause les libertés individuelles et collectives en effaçant avec le renfort des grands médias les étapes précédentes.

Souvenons-nous : Les masques n’étaient pas utiles (il n’y en avait plus) pour arriver à en faire venir des pays extérieurs et les rendre obligatoires en milieux intérieurs et puis à l’extérieur. Confinement, couvre-feux, pass sanitaire, des interdictions multiples pour les non vaccinés.

Un vaccin, deux, trois, à l’ordre du jour, la vaccination facultatives des enfants qui hier ne devaient pas être touchés et concernés pour demain devenir obligatoire. Demain il faudra sans doute 5 ou 6 doses voir plus pour pouvoir circuler, travailler, faire ses courses avoir accès au sport et à la culture ! Par contre tous devront continuer à payer leurs impôts pendant qu’une minorité de friqués continueront à détourner les règles fiscales à s’exonérer de régler les cotisations du travail salarié pour financer la Sécu, le régime d’indemnisation du chômage, les retraites.

Et mois après mois, toujours la même pétaudière avec une présentation truquée des chiffres sur les personnes touchées par le Covid, sur les touchées, vaccinées et les non vaccinés.

Il faut quand même ne pas oublier que des milliers de décès dans les hôpitaux ont été comptabilisé en Covid alors qu’ils ne relevaient pas de ce virus, là encore les faits sont les faits, la famille de VGE décédé il y à quelques mois a dû intervenir (et ce ne sont pas des amis du peuple) pour faire reclasser le décès de cet ancien Président et promoteur acharné de l’UE.

Hier les soignants étaient glorifiés ; aujourd’hui celles et ceux qui refusent de se soumettre à cette vaccination qui n’empêche pas de contracter ce virus et pas plus de le propager sont suspendus et privés de leur droit au travail. Combien dans la population qui applaudissaient les soignants ont rejoints le dictat de Macron et de ses ministres pour aujourd’hui se retrouver aux prises de contradictions extrêmes !

Macron et son conseil de défense dictent et décident seuls, entourés d’une quantité d’individus liés à tous les tripatouillages financiers, au monde des affaires et chaque jour, ils prennent des décisions pour vider les caisses de la Sécurité Sociale, ils poursuivent la destruction des services publics, de l’hôpital public, ils éloignent par leurs mesures, les patients de l’accès aux soins et de la gratuité des actes, des traitements et des médicaments.

Avec cette vaccination de plus en plus mise en cause aux quatre coins du monde par quantité de d’épidémiologistes, virologues, les firmes étasuniennes qui produisent, leurs actionnaires et dirigeants accumulent des milliards de dollars sur le dos des populations.

Pendant ce temps les cubains et les Chinois qui ont démontré leur avance en matière de santé dans de nombreux domaines sont confrontés aux interdictions des pays occidentaux de mettre à disposition des peuples les produits qu’ils ont mis au point !

A présent une nouvelle étape dans cette escalade vient d’être franchie sous les applaudissements des grandes firmes pharmaceutiques et de leurs actionnaires, l’obligation vaccinale.

Viendra rapidement la mise en place de dispositifs style numéro vert pour dénoncer les non vaccinés et pourquoi pas demain leur incarcération dans des camps ?

Tout cela ne sent pas bon, dans des relents de ce que d’autres générations ont vécus dans les années trente avant nous que nombre à cette époque ne voulaient déjà pas voir !

Macron et les siens veulent nous enfermer dans la peur pour nous soumettre et nous imposer leur projet de société dictée par la finance.

Peur du covid, peur, de contracter ce virus, de le propager, peur de l’hôpital dépourvu de moyens, peur de mourir, peur des contrôles, peur de la police, de l’armée dans un univers qu’ils veulent nous présenter comme un enfer sans avenir ni perspective.
Un univers dans lequel ils seraient les seuls à pouvoir gérer nos vies !

Il est temps d’ouvrir les yeux, tout cela relève d’une orchestration politique, d’une psychologie de masse dans laquelle tout est organisé pour opposer et diviser les citoyens, pour les empêcher de réfléchir, de se mêler de la politique des riches et de prendre le contrôle de notre devenir.

Des virus il y en a eu hier qui ont terrassés des millions d’êtres humains dans le monde, virus combattus par les autorités publiques grâce à des mesures d’hygiène, de la recherche, de l’expérimentation, des vaccinations efficaces et le développement de l’immunité des humains.

La Sécurité Sociale, les hôpitaux et l’école ont joué un rôle essentiel pour combattre les maladies.

Des virus, il y en aura encore d’autres demain, encore inconnus qui nécessitent dès maintenant un renforcement des moyens pour la recherche, la santé la prévention et détection des maladies. Des moyens pour la formation de chercheurs, de professionnels de santé, une obligation d’installation des médecins formés grâce au fonds de la Sécurité Sociale pour sortir de la désertification médicale, un plan d’investissement et de formations massives pour sortir l’hôpital des cures d’austérité qui l’ont affaibli.

Cela exige aussi la maîtrise publique et le contrôle de la production des médicaments et des vaccins, une plus grande cohérence dans les échanges et les études en matière de recherches et d’expériences médicales au plan international nécessitant de sortir la santé, le médicament des griffes des assoiffés du profit.

Il faut à présent individuellement et collectivement faire des choix pour continuer à vivre en société. Choisir l’intérêt général ou continuer à se soumettre aux intérêts particuliers d’une minorité qui nous impose la loi de la jungle.

Nous rassembler pour sortir de cette logique mortifère ou continuer à nous diviser et accumuler les défaites.

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Point de non-retour
Andre VLTCHEK
LE LIVRE : Karel est correspondant de guerre. Il va là où nous ne sommes pas, pour être nos yeux et nos oreilles. Témoin privilégié des soubresauts de notre époque, à la fois engagé et désinvolte, amateur de femmes et assoiffé d’ivresses, le narrateur nous entraîne des salles de rédaction de New York aux poussières de Gaza, en passant par Lima, Le Caire, Bali et la Pampa. Toujours en équilibre précaire, jusqu’au basculement final. Il devra choisir entre l’ironie de celui qui a tout vu et (…)
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L’une des choses les plus étonnantes dans le coup monté contre Assange, c’est son audace. Ils savent qu’ils peuvent s’en tirer parce que les grands médias refusent d’en parler.

Matt Kennard

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