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Entrée "historique" du Yuan aux DTS du FMI : Ou le bal des diables boiteux...

C’était au joyeux temps où les dernières éclaboussures du Plan Marshall arrosaient encore une croissance économique que l’on croyait devenue sans limite réelle ...

Le Dollar faisait encore mine de s’accrocher à l’or, et l’on commençait à manquer de Dollars...

"Paradoxe de Triffin" :

_Pour continuer à développer le business il faut plus de Dollars...

_Oui, mais alors, il n’y avait plus assez d’or pour le "couvrir"...

Émettre du Dollar pour répondre apparemment aux besoins de l’économie, c’était déjà risquer d’en faire une monnaie de singe. Tel était donc déjà le problème, au cours des années 60...

De sous la table du festin mondial, il fallait tirer des rallonges...

Et le FMI créa les DTS... "Droits de Tirage Spéciaux" ...C’était en 1969.

Le FMI, ce démiurge surgit des décombres de la guerre et des accords financiers de Bretton Woods, en 1944...

Dès la fin des années 60, donc, en réalité, ces accords étaient sur le point de s’effondrer...

Le FMI, lui, a très bien survécu, et les DTS, "Droits de Tirage Spéciaux", après une sorte d’"éclipse" financière, ont ressurgi, ...en 2009, à la suite de la crise dite des "subprimes", et de ses conséquences, encore, et même plus que jamais, actives aujourd’hui.

"Le 9 septembre 2009, les DTS sont passés de 21,4 milliards à 204 milliards (soit l’équivalent de quelque 308 milliards de dollars EU) ! Dans le panier de monnaies sous-jacentes, la part du Dollar baissait sensiblement contre l’Euro et la Livre."

http://archives.lesechos.fr/archives/cercle/2011/02/07/cercle_33236.htm

Pour la Chine, Samedi dernier, le 1er Octobre 2016, c’était un jour historique : le Yuan est officiellement entré en compte dans les DTS...

Bon, mais les DTS, quézaco ?

Un dinosaure financier rescapé du temps de la splendeur de Bretton Woods ?

Ou bien la première tentative d’éviter un crash mondial de l’économie financière ?

Difficile à dire...

"Les Droits de Tirage Spéciaux du Fonds monétaire international ne sont pas une monnaie, ni internationale, ni de réserve, ni de compte.... Les Droits de tirage spéciaux sont une catégorie un peu spéciale de l’imagination financière et une des nombreuses preuves qu’elle ne connaît pas de limites quand elle se déchaîne."

http://archives.lesechos.fr/archives/cercle/2011/02/07/cercle_33236.htm

A l’origine, le DTS, comme le Dollar, était adossé à l’or, et pour la même valeur...

1 DTS = 1$ = 0,888671 gramme d’or fin

C’était donc une "rallonge" de monnaie de réserve accordée à tel ou tel pays en manque de liquidités en Dollars...

Le système n’a pratiquement pas fonctionné en l’état, vu la crise naissante, qui aboutit à l’effondrement définitif du système "Bretton Woods" en 1973.

Par la suite, cessant d’être adossé à l’or, le système DTS tombe en désuétude...

Il se trouve transformé en une sorte de mutualisation du risque de défaut, adossé à un "panier" de monnaies de réserves, où le Dollar reste dominant... Les autres étant en part restreinte, jusqu’à l’apparition de l’Euro, qui en remplace donc une partie. Restent, encore en moindre part, la Livre anglaise et le Yen japonais.

Échappant aux contraintes de cette mutualisation, les États préférèrent détenir librement de la monnaie de réserve internationale, c’est à dire, principalement, ...du Dollar !

Mais, comme on l’a vu, la crise actuelle change la donne, et c’est l’"allocation" massive de DTS, en 2009, qui a permis le "sauvetage" du système monétaire international.

En fait, le système ressemble fort à une "planche à billets", mais dont les billets sont remboursables mutuellement par les allocataires.

L’"allocataire" en difficultés "vend" ses DTS aux autres membres, soit volontaires pour les racheter, soit, à défaut, contraints par le FMI...

Il ne s’agit pas, ici, de rentrer dans le détail et les conditions complexes de ce mécanisme, mais de comprendre sa limite :

Si la crise prend trop d’ampleur, se généralise à un trop grand nombre de pays, il est évident que la "mutualisation", même forcée, aboutit à un fiasco de l’ensemble...

Si personne n’en veut plus, de ces DTS, ou bien, tout simplement, ne peut plus les payer, en ce qui est supposé être de la "monnaie de réserve", définie par le fameux "panier", le système s’effondre, révélant ce que sont vraiment les DTS... une autre monnaie de singe !

Et le Yuan, là dedans...?

A priori, n’est-il pas tout simplement naturel que la monnaie de la seconde puissance économique du globe intègre le "panier" des monnaies de référence pour les paiements internationaux, au titre de "monnaie de réserve", également utilisable par les autres Etats membres du FMI ?

Ce qui pose une autre question :

En quoi le Yuan serait-il devenu une "monnaie de réserve", aujourd’hui, s’il ne l’était pas déjà avant son entrée aux DTS ?

Formellement, ce sujet parait plus ancien et mieux connu. Le processus d’"internationalisation" du Yuan est déjà un vieux serpent de mer qui refait surface dans l’actu au moindre symptôme de crise, à chaque soubresaut monétaire.

Et à chaque fois, on a le même message de la "bonne volonté" des autorités chinoises, que c’est "en bonne voie", et que, demain, on va encore "libéraliser" davantage...

Car pour répondre aux critères internationaux définissant ce qu’est une monnaie de réserve il leur faudrait précisément "libéraliser" l’essentiel de leur économie financière...

Et bien évidemment, ces critères ne sont pas, officiellement et réglementairement, différents au FMI de ce qu’ils sont ailleurs...

Une monnaie de réserve doit être "librement utilisable", c’est à dire s’acheter et se vendre au taux de change convenu entre les acteurs, en fonction du marché des changes, où s’établissent les cours, selon l’offre et la demande.

C’est la fiabilité d’une monnaie sur ce marché qui en détermine la première qualité comme monnaie de réserve. Mais ce n’est pas la seule. Pour constituer des réserves, il faut également une disponibilité en abondance.

Il faut donc que cette monnaie circule déjà largement lors de transactions commerciales, et surtout financières, sur les marchés internationaux.

Or, malgré le développement exponentiel de l’économie chinoise ces dernières années, sa monnaie, même si elle a pu sembler faire une belle percée, tout est relatif, et elle bataille encore avec le Yen japonais, autour de 2,75% du total des transaction financières, lui disputant ainsi au mieux la quatrième place, mais loin derrière le Dollar, l’Euro,et même la Livre...

Quant à sa "libre" convertibilité, elle est autoritairement bornée, par l’État chinois, à plus ou moins 2% autour d’un cours pivot fixé arbitrairement en rapport du Dollar...

C’est donc l’État chinois qui imprime la tendance, à la baisse ou à la hausse,en réajustant ce "cours pivot"...

C’est pourquoi,s’il est légitime d’admettre la Chine, vu l’importance de son économie, dans une institution telle que les DTS, cela semble moins flagrant au vu des conditions dans lesquelles s’opère cette "mutation", quelque peu forcée...

Du reste, cette forfaiture n’a pas échappé à tous les observateurs, et le FMI a du se "défendre", formellement, d’avoir cédé à des "pressions", assez peu mystérieuses, en réalité.

"- Accusations de manipulation -

Le FMI a, lui, toujours réfuté avoir cédé à la moindre pression en donnant ses lettre de noblesse au renminbi. "Il n’y a eu aucun maquillage des indicateurs", a récemment déclaré un des cadres du Fonds, Siddharth Tiwari. "C’est un processus incroyablement transparent", a-t-il soutenu.

L’évolution du yuan reste toutefois strictement encadrée par les autorités chinoises et l’idée qu’il soit reconnu "librement utilisable" ne fait pas l’unanimité.

En effet, contrairement aux autres monnaies parties prenantes des DTS, le yuan n’est pas pleinement convertible, et le rapatriement de capitaux investis en Chine par des étrangers reste difficile."

http://www.romandie.com/news/FMI-le-yuan-chinois-entre-dans-la-cour-des-grandes-monnaies/741013.rom

Comme on l’a vu, le décalage est énorme, entre la puissance de l’économie chinoise et la faible part de circulation de sa monnaie sur le marché "mondialisé"...

La plupart des acteurs financiers et économiques en Chine, et les chinois eux-même, dès qu’ils en ont la possibilité, préfèrent, et pour cause, le Dollar au Yuan, comme moyen de transaction.

De plus, l’économie chinoise, essentiellement dépendante de ses exportations industrielles et commerciales, génère une réserve énorme de liquidités en Dollars.

Et historiquement, bien que ce fait soit resté "étrangement" méconnu en France, le premier arrimage de la bureaucratie chinoise au capitalisme financier international, et surtout US, s’est fait, dès 1972, à la suite de la pourtant célèbre "diplomatie du ping-pong", via la bourse de Hong Kong, et bien évidemment, en Dollars...(*)

Encore aujourd’hui, à travers le "cours pivot" du Yuan, arbitrairement fixé par la bureaucratie chinoise, se manifeste ce lien ancien et toujours actif.

En effet, c’est bien le cours relatif du Yuan et du Dollar qui influe à la fois sur la capacité d’exportation de l’économie chinoise et sur la valeur des capitaux étrangers investis en Chine.

Plus le cours du Yuan est bas, plus la valeur relative de la production chinoise baisse et plus la capacité d’exportation chinoise est grande...

Mais la rentabilité des capitaux étrangers investis diminue avec la valeur des marchandises exportées, et donc la valeur de ces capitaux, principalement US, aussi...

Ils ont donc tendance, dans ce cas, à se retirer de Chine...

Et la production US elle-même se trouve dévaluée, face à cette concurrence "débridée"...

La bureaucratie chinoise, habituée à tirer sa part de profit de l’investissement étranger, et surtout US, en Chine, reste majoritairement soucieuse de maintenir le statu quo, et c’est pourquoi le "cours pivot", même s’il est arbitrairement fixé, représente en réalité un "compromis" permanent entre toutes ces tendances, et y compris avec celle, plus "moderniste", sinon "libérale", qui voudrait une véritable internationalisation du Yuan, ce qui impliquerait une dévaluation drastique.

C’est aussi pourquoi le candidat Trump fait la preuve de son ultra-conservatisme lorsqu’il accuse démagogiquement les chinois de "manipuler" leur monnaie à la baisse pour favoriser les exportations...

En réalité, le Yuan est chroniquement surévalué, tout comme la valeur des marchés financiers chinois, fonctionnant avec un système complexe d’"écluses" à sens unique pour contrôler les flux de capitaux circulant et entrant dans les places financières chinoises.(***) (*)

L’entrée du Yuan aux DTS, tout à la fois incontournable dans son principe et carrément "forcée" dans sa forme actuelle, traduit bien l’évolution du rapport de force nouveau qui s’est établi au lendemain de la crise de 2007-2008, entre ces deux géants du capitalisme financier que sont désormais, seuls sur la planète à ce niveau, les USA et la Chine.(**)

Gorgé de Dollars et actuellement incapable de valoriser sa propre monnaie de façon indépendante, le capitalisme chinois, à terme, tend inévitablement à se libérer de cette tutelle.

Dans un contexte de crise nouveau pour ce qui le concerne, il ne peut laisser hypothéquer son développement par celui, de plus en plus vacillant, de son faux-frère US.

C’est pourquoi, dès le lendemain des derniers soubresauts des "subprimes", il a mis la pression sur le G20 pour une résurrection... des DTS !! C’était il y a donc déjà 7 ans, en 2009, comme on l’a vu en début d’article...

En réalité, c’est la Chine qui a essentiellement plaidé, à l’époque, pour cette résurrection, même si ses chances d’intégrer ce processus en tant qu’acteur monétaire majeur semblaient minces à l’époque.


( Les droits de tirage spéciaux : décryptage d’une mesure inattendue du G20.

https://www.cairn.info/revue-l-economie-politique-2010-1-page-26.htm )

Le fait d’avoir déjà été entendue sur le principe même de cette résurrection, et le fait qu’il ait été mis en œuvre aussitôt comme bouée de sauvetage inattendue du système monétaire international, cela traduisait déjà un relatif affaiblissement du capital financier US par rapport au chinois.

Le fait que le Yuan intègre aujourd’hui le "panier" des DTS, et cela en dépit du manque de "libéralisme" total de son économie financière, cela traduit une nouvelle escalade, dans ce rapport de force, en faveur de la Chine capitaliste.

En ce qui concerne l’effet de cette "intégration" nouvelle sur la crise mondiale du capitalisme, et en fonction du principe même des DTS comme "planche à billets" fabriquant "ex-nihilo" une prétendue rallonge de "monnaie de réserve", on voit bien que c’est, en réalité, un emplâtre sur une jambe de bois, elle-même fêlée et vermoulue, et qui soutient à grand peine un ensemble vacillant sur cette base putride.

Luniterre

*****************************

Notes :

( * https://tribunemlreypa.wordpress.com/2015/09/01/de-la-structuration-maoiste-de-la-bulle-chinoise/ )

( ** Il est clair que si les USA restent largement devant, en termes de capitalisation financière, avec 25 935 Milliards de Dollars (NYSE + Nasdaq, Nov 2015), c’est désormais la Chine qui arrive nettement en second, avec 11 050 MD, ( Shanghai + Shenzhen + Hong Kong, Nov 2015 ), loin devant la première place européenne, Londres, qui, peu avant le « Brexit » et la dévaluation de fait de la Livre, pesait encore 6187 MD, incluant Milan, rachetée en 2007. (A noter que le rachat prévu de Francfort ( 1738 MD en Nov 2015) se trouve désormais remis en cause.).

Derrière, Tokyo, avec 4910 MD (Nov 2015), devance encore Euronext (Paris + Amsterdam + Bruxelles + Lisbonne, 3379 MD, Nov 2015)

A noter également que Moscou, qui pesait encore près de 950 M D en 2010, est passé de 770 à 385 entre 2013 et 2014 ( pas de chiffre plus récent).

Après les sanctions relatives au conflit ukrainien, la capitalisation boursière de la Russie doit donc tourner autour de 300 MD, tout au plus... Ce qui relativise, et à vrai dire anéanti, l’argumentation des pseudos »marxistes révolutionnaires » qui y voient une « nouvelle puissance impérialiste » !)

( *** Surévaluation déjà décryptée sur TML , dès 2014,

https://tribunemlreypa.wordpress.com/2014/07/29/1385_chine_yuan_dollar_/

alors que tout lemonde affirmait encore que le Yuan était « sous-évalué » !!

Extrait :

...les actions chinoises, prisonnières d’un marché fermé, sont probablement très largement surévaluées par les chinois eux-mêmes, car ils n’ont, pour la plupart des épargnants et investisseurs locaux, pas le choix d’aller voir ailleurs...

A savoir que contrairement à la France, par exemple, l’épargne, même populaire, joue un rôle de base dans les flux financiers intérieurs.

L’ouverture des marchés provoquera vraisemblablement une baisse des cours des valeurs chinoises, un appauvrissement des épargnants, et une ruée sur les valeurs étrangères. En somme, tous les ingrédients d’une crise sévère...

On comprend donc la prudence des réformateurs « libéraux », qui voudraient faire du Yuan une monnaie de réserve...

Officiellement, ils ont plutôt le soutien de leurs homologues américains et européens, mais je pense que c’est, de la part de ces hypocrites, un moyen de faire pression sur les « conservateurs » pour qu’ils réévaluent autoritairement le yuan à la hausse...

Le yuan convertible, lié à l’ouverture des marchés financiers chinois, et à leur « réajustement » brutal conséquent, aura plutôt tendance à dévisser carrément, dans un premier temps, qui peut être assez long, et en réalité, causer du tort à la finance US.

C’est pourquoi je pense qu’il y a une complicité objective entre les « conservateurs » chinois, protectionnistes, et les financiers US importants.

Le statu quo est leur intérêt commun :

_Pouvoir prolongé du dollar côté impérialistes US.

_Superprofits du « shadow-banking » côté bureaucrates chinois.

Bon, et la « voie chinoise au socialisme » là-dedans ?

...pour ceux qui veulent bien y croire !

(Dont je ne suis pas... !)

********************************

Source de l’article :

https://tribunemlreypa.wordpress.com/2016/10/03/entree-historique-du-yuan-aux-dts-du-fmi-ou-le-bal-des-diables-boiteux/

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»» http://https://tribunemlreypa.wordpress.com/
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