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Le parti des Samva et la tragédie du "un petit peu"

Le parti des Samva est le plus grand parti politique de la planète. Il est donc terriblement important par son extension et, malheureusement aussi par sa qualité. Ou plutôt, disons-le franchement, par son manque de qualité. Car le parti des Samva est le parti politique le plus médiocre du monde et, par conséquent, le plus déprimant et le plus atterrant qui soit.

Le parti des Samva a ceci de particulier qu’il regroupe des personnes de tous horizons politiques. On trouve des membres du Samva à l’extrême droite, à l’extrême gauche et bien évidemment dans tout ce qui se trouve entre les deux.

Quand on fait parti du Samva, on est avaleur professionnel de couleuvre. Ça n’est pas bon, c’est même franchement indigeste, mais on se dit que ça vaut peut-être la peine quand même et on se bouche le nez, comme quand on était enfant, on dit "samva" et on avale tout rond.

Quand on est Samva, on a accepté de s’envoyer 3 ou 4 doses de vaccin expérimental et de se faire pister 24h/24 pour continuer à aller au resto et mener une vie normale, c’est-à-dire une vie normale selon les critères de la normalité normative actuelle (ce qui, déjà, devrait normalement être une source de réflexion). On se dit dans le fond du fond du fond que c’était peut-être une grosse bêtise, mais comme le plat du jour était bon et que le voisin l’avait fait, on a tendu le bras au vaccinateur et le portable au vigile comme si on avait fait ça toute sa vie. Mais j’exagère. Beaucoup ont reçu la piqûre parce qu’ils ne pouvaient pas faire autrement (vraiment ?), pour travailler par exemple et pouvoir continuer à faire vivre sa famille et ses enfants. Les courageux, ou ceux qui pouvaient, qui ont tendu le bras d’honneur furent (ou sont encore) rares et la grande majorité a pesé rapidement le pour et le contre sur la balance ultra-trafiquée et a plongé dans l’abîme du Samva.

Vous l’avez compris, le parti des Samva c’est le parti des aveugles et sourds consentants (mais pas muets Hélas ! Pardon pour les vrais aveugles et sourds). Je sais, c’est du réchauffé. La Boétie a déjà très bien décrit tout ça.

Mais quand même, le Samva, ça énerve.

Dans la plupart des pays, je l’ai dit, le parti des Samva est très consistant, souvent par pur intérêt. Au moins c’est clair. Au Brésil, par exemple, aux dernières présidentielles, Bolsonaro a fait une campagne d’enfer, avec mensonges à tous les étages, on a pensé qu’on aurait peut-être intérêt à voter pour lui, alors il a été élu (avec de grosses fraudes pour aider quand même). Et puis on s’est rendu compte qu’on s’était trompé, qu’il n’y avait aucun intérêt à voter pour lui, alors on votera en masse pour Lula en octobre prochain. Extrême droite ou social-démocratie, on s’en tape, c’est l’intérêt qui compte.

En Europe c’est plus compliqué, parce qu’il y a l’idéologie. Qu’elle soit de droite ou de gauche, on veut faire réfléchi, profond. C’est la plupart du temps une foire d’empoigne où l’on brandit des arguments tirés de livres non lus (ou très mal), de racines qui n’existent pas, de témoignages foireux ou de batailles sanglantes d’il y a mille ans, ou même d’histoires de contes de fées, tout ça la main sur le coeur et la larme à l’oeil.

Et si on discute, on peut se faire casser la gueule.

Au Brésil encore, par exemple, l’idéologie est assez peu répandue. À l’extrême droite, il y a bien quelques imbéciles qui vocifèrent sur internet et qui s’entassent le week-end dans des clubs de tir, mais beaucoup sont partis en courant jouer à la guerre en Ukraine, pour se faire dézinguer par le premier missile (autant de petits cons en moins, pourvu que ça dure). Dans ce pays, la plupart du temps, si vous démontrez à quelqu’un qu’il dit une bêtise, vous verrez un éclair intéressé dans son regard et il changera de sujet (à moins que ce soit un bolsonariste benêt et surarmé, heureusement en voie de disparition pour la raison citée plus haut). Quelques jours plus tard, vous pourrez rencontrer cette même personne qui vous débitera vos propres arguments comme s’il pensait ça depuis des lustres. Parce que quand on a intérêt à être moins con, et bien on est moins con.

En France, il ne semble pas que l’on ait intérêt à être moins con.

Car en plus du Samva et de l’idéologie, il y a le "un petit peu" bien français. Le "un petit peu" est un vice de langage qui modifie la perception des choses et des événements. C’est aussi la bouche en cul de poule dont se moquent tant les étrangers. Vous pensiez que ce n’était que Giscard ? Et non, ce sont tous les français qui ont cette réputation. Allez-y, mettez-vous devant un miroir et dites "un petit peu", vous verrez, c’est saisissant.

Je vous mets au défi de trouver dans une autre langue l’équivalent de l’usage systématique du "un petit peu" en français. Il y a bien "a little bit" en anglais, "un poquito" en espagnol ou "um pouquinho" en portugais (une faute de grammaire, soit dit en passant, il n’y a pas de flexion d’adverbe), mais dont l’usage n’aura jamais cette caractéristique d’arme de destruction massive de la perception de la réalité. En fait, le "un petit peu", c’est un truc de fou, une véritable tragédie. Déjà le "un peu" c’est limite, mais le "un PETIT peu", c’est un cauchemar ; quant au "un TOUT PETIT peu", c’est à se jeter par la fenêtre.

Prenons un exemple concret. Objectivement, Macron est un fils de p. Mais vous verrez que peu à peu, la vision s’effiloche et qu’il devient "un peu" fils de p., puis "un petit peu", et que finalement, Macron n’est qu’"un tout petit peu" fils de sa mère. C’est comme les CRSSSs, qui sont éborgneurs et nazis, mais seulement un petit peu. Les flics français sont les plus violents d’Europe, mais c’est parce qu’ils exagèrent "un petit peu". Sauf que les éborgnés, eux, n’ont pas perdu "un tout petit peu" leur oeil, et que la dame à sa fenêtre n’est pas "un tout petit peu" morte. Le CRS qui l’a visée, lui, a "un petit peu" outrepassé ses prérogatives. Vu comme ça, on en arrive à être triste pour lui.

Le "un petit peu", c’est pousser discrètement du pied la vérité dans le caniveau quand elle nous dérange. Et ça arrive de plus en plus souvent car comme le disait Victor Hugo "Si tu veux savoir le vrai, cherche le juste". Et comme il n’y a que de l’injustice partout, forcément, il n’y a de vérité nulle part. C’est faux bien sûr, mais elle nous est vraiment bien cachée, en particulier quand les idéologies tordues, le Samva et le "un petit peu" s’en mèlent.

Le "un petit peu" rend tout extrêmement volatile, mais cela ne l’empêche pas d’être particulièrement destructeur pour la pensée. Prenez l’Ukraine par exemple. Comme on ne peut pas dire qu’il n’y a pas de nazis en Ukraine (il faut dire qu’ils n’aident pas), c’est qu’ils sont seulement "un tout petit peu" nazis (comme si on pouvait être "un petit peu" nazi). Peu importe les 50 russophones de la Maison des Syndicats brûlés vifs et la centaine de personnes disparues à Odessa en 2015, les récits d’enlèvements, de torture et d’assassinats, les vidéos insoutenables de gens attachés à des arbres ou à des poteaux, battus et laissés là pour mourir de faim ou de soif, et la dernière en date d’une lente décapitation "à la daech". Tout ça, c’est "un petit peu". À la télé on voit des reportages et des interviews de gens posés qui tiennent des propos mesurés devant des murs couverts de symboles nazis, mais comme on nous prend tous pour des cons, ça passe. Et le président de l’Ukraine de nier aussi qu’il y ait des nazis en Ukraine, ce n’est pas possible, puisqu’il est juif (comme BHL, Glucksmann, Cohn-Bendit etc.)

Retenons-nous de fondre en larmes, et continuons.

Le "un petit peu", outre le ridicule de sa grimace, l’est aussi par les comportements qu’ils induit, surtout quand on y rajoute la bêtise crasse, ce qui arrive souvent. Il y a quelques jours, par exemple, le compte twitter de l’ambassade de Russie en France a publié un dessin satirique de l’Europe en train de lécher le cul de l’Oncle Sam. Aussitôt, montant sur ses grands chevaux (avec un très grand escabeau), le Quai d’Orsay a fait tout un pataquès (et une belle publicité pour le fait qui, sinon, serait passé à la trappe rapidement) en convoquant l’ambassadeur de Russie. Parions que l’admonestation fut si violente que l’ambassadeur a dû se pencher pour l’entendre.

C’est ça le "un petit peu". Je ne vais pas ici tenter d’en chercher les causes. Paresse ? Peur ? Lâcheté ? On savait déjà que le monde occidental (et anglo-saxon en particulier) n’avait pas de limite. Mais la France, elle, qui n’assume rien du tout, tente de mettre des limites à son "illimitude", avec le "un petit peu". C’est pathétique, c’est suicidaire, c’est à chialer.

Avec une aberration pareille, notre monde est devenu le terrain de jeu de tous les excès puisque si tout est "un petit peu", c’est que rien n’est trop, rien n’est excessif, ni le nazisme, ni la bêtise, ni la mauvaise foi, ni les comportements. D’où la russophobie délirante actuelle.

On va droit dans le mur. Et n’en déplaise à la plupart, ce ne sont pas les élections et les candidats qui jouent du râteau XXL pour ratisser les électeurs et qui ensuite se transformeront en danseuse étoile pour nous infliger le spectacle de leur grands écarts qui vont nous sauver.

Ça va plus loin.

Je l’ai déjà écrit, le communisme (ou si c’est un gros mot pour vous, la société du partage – mais il ne faut jamais avoir peur des mots, surtout quand ils sont gros et beaux), plus qu’une volonté, doit être une évidence, une conséquence.

L’évidence qu’il est absurde que 1% des riches possèdent 90% des richesses, que l’on privatise tout (y compris l’eau, l’eau !), que l’on brevète les plantes, que l’agriculture soit transformée en commodities, que l’on ferme des usines et mette des gens au chômage pour gagner de l’argent, que l’on fabrique des guerres pour maintenir l’industrie d’armement, que l’on crée de fausses pénuries pour augmenter les prix, et surtout qu’avec tout ça on détruise la planète...

Bref que l’unique repère de notre bien-être serait l’argent.

Il me revient toujours à l’esprit que tout ce que nous tentons d’inculquer à nos enfants est démenti par la société. Réfléchissez-y : TOUT. Et après on s’étonne d’avoir une société de décérébrés volontaires qui se réfugient dans les réseaux sociaux et le "un petit peu". Aux États-Unis, ils n’ont pas le "un petit peu" (c’est le moins que l’on puisse dire), mais ils ont des Columbine à répétition. En France, bientôt, on aura ET le "un petit peu" ET les Columbine.

Il est temps de faire quelque chose, et pas QU’UN PETIT PEU.

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COMMENTAIRES  

06/04/2022 22:08 par Geb

"Petroninochka", comme on le chantait dans une vieille comptine française "ты пахнешь мятой", tu sens la menthe.

Et j’adooooore la menthe pour ses vertus médicinales. ((- :

Surtout quand tu décris si bien l’environnement toxique des "un petit peu" que nous subissons ici depuis quelques années...

07/04/2022 11:02 par Maitre Kha

En voila un bien bel article...et pas "qu’un petit peu"...
Psss : Les "Samvas" ! Vu les dégâts petit peu petit pas ! C’est pas le nom d’un nouveau missile furtif aux portées cosmologique et infinie ?

07/04/2022 14:06 par CAZA

Bonjour
C’est intéressant mais ça ne répond pas aux questions fondamentales :
Comment devient on Samva ?
Est ce génétique ?
ou acquis ?
ou en lien avec le QI , la culture , le niveau d’étude ?
ou avoir un intérêt direct personnel avec la direction pour en tirer avantage ?
Les Samva sont ils à gauche ou à droite des Mougeons ?
L’article parle de Tintin Lévy . C’est intéressant également . Il était annoncé en Ukraine . Pas encore arrivé à destination ?
La réconciliation judéo-nazie sous les auspices de Lévy ça aurait une certaine gueule enfin franche du collier .
Et pour finir la farce tranquille au jadot qui se bat pour que les européens achètent du gaz de schiste .
Lui il est con , samva , mougeon ou mange merde ? Perso j’opte pour un mix avec % dominant pour mange .
Yannick Jadot
@yjadot
✅ Victoire au Parlement Européen grâce aux écologistes !
Les membres du Parlement se sont prononcés pour l’embargo immédiat du gaz, du charbon, du pétrole et du nucléaire Russe.
Pour la paix, pour le climat, l’Europe doit arrêter de financer les crimes de guerre en Russie.

07/04/2022 15:52 par Autrement

Je constate que pris d’un beau zèle, les deux premiers commentaires au texte de Petroninochka relèvent (bizarrement) du Samva.
Moi non : je trouve un tout petit peu arrogant et ridicule - posture pourtant à la mode - de mettre dans le même panier (aux crabes)

les élections et les candidats qui jouent du râteau XXL pour ratisser les électeurs et qui ensuite se transformeront en danseuse étoile pour nous infliger le spectacle de leur grands écarts qui vont nous sauver,

en se contentant de leur opposer, dans l’abstrait, le "beau gros mot" de communisme, sans dire si peu que ce soit comment on parvient à la chose, et en traitant par le mépris tous ceux qui, dans cette campagne, luttent effectivement, et pas qu’un peu, pour l’émancipation populaire hors du carcan Macron-Le Pen.

Mépriser ainsi les militants de terrain et les porte-parole-difficile-et-méritoire qui se prennent tous les coups-bas (les coups-bas, vous savez ce que c’est ?) face aux médias déchaînés, - écrire tout ça pour ça, pour l’air de ne pas en avoir l’air, je ne trouve pas cela vraiment spirituel ni porteur de volonté d’agir... pour le communisme.
Surtout quand il y a tant de Mougeons, comme dit justement l’autre (CAZA, et c’est bien le terme consacré), à convaincre énergiquement de se bouger énergiquement, car c’est seulement de la volonté du grand nombre que dépendra la suite.

Mon commentaire lui-même n’est pas grand’chose, mais il se trouve que j’apprécie les nuances et les détails plus que les fourre-tout, et que je suis adepte du grand philosophe et résistant Vladimir Jankélévitch, dont je vous recommande avec sympathie (tout de même !) l’ouvrage très instructif intitulé "Le je-ne-sais-quoi et le presque-rien".

07/04/2022 18:14 par Geb

@ autement...

car c’est seulement de la volonté du grand nombre que dépendra la suite.

C’est exactement ce que pensait Hitler quand il a été élu par le "plus grand nombre" Chancelier du Reich.

Quand "le plus grand nombre" est constitué de canailles décervelées et toxiques l’Avenir est à l’aune de ces canailles et pour ces canailles.

Une "démocratie" à la mode de ce que vous décrivez c’est à vous faire regretter les dictatures.

Et pour mon compte , "celle du Prolétariat", en particulier.

07/04/2022 18:29 par CAZA

Et ho Autrement .
Je n’ai pas l’impression que les militants soient méprisés ici .On est entre nous .
En ce qui me concerne LGS est mon église où je retrouve des concepts fondamentaux salvateurs .
Les oppositions d’opinions enrichissent les consciences des anti-samva .
Faut quand même pas oublier .
Hollande élu sur " La finance est mon ennemi "
Et fait un quinquennat de droite .
Bon JL si il est élu par des électeurs atlantiste il fera quoi ?
Il est permis d’en parler ?
Je ne pense pas que ça va "désespérer Billancourt " Sartre
Et justement lecteur qui perd ton temps ici au lieu de bosser .
Teste tes connaissances avec le Diplo
https://www.monde-diplomatique.fr/2003/08/HONGRE/10387

07/04/2022 19:03 par Xiao Pignouf

Quand on est Samva, on a accepté de s’envoyer 3 ou 4 doses de vaccin expérimental

Ouf ! Seulement 2 pour moi... j’ai eu chaud au cul.

07/04/2022 19:39 par CAZA

Bonsoir Geb
En 1932 aux élections Hitler n’a eu que 3o % des voix .
Le plébiscite de 34 reste un mystère quant à ses 90% . Enfin il est permis de dire que l’Allemagne était déjà sous dictature.

<<< Wikipedia
Décision de consulter le peuple allemand
Le jour de la mort de Hindenburg, le 2 août 1934, Hitler adresse une lettre au ministre de l’Intérieur, Frick, indiquant que : « la grandeur du président décédé a donné une valeur incomparable au titre de président du Reich. Ce titre, d’après les sentiments de nous tous, est inséparablement attaché au nom du grand mort. Ainsi je vous prie de prendre soin que je sois appelé, comme jusqu’ici, Führer et chancelier du Reich. Cette réglementation est valable pour l’avenir. [...] Le cabinet a décidé, d’une façon valable d’après le droit constitutionnel, de confier à ma personne, donc à la fonction de chancelier du Reich, les fonctions de l’ancien président du Reich ; mais je veux que ce fait soit expressément sanctionné par le peuple allemand. Fermement convaincu que chaque pouvoir d’État doit émaner du peuple et doit être confirmé par lui moyennant une élection libre et secrète, je vous prie de soumettre, sans retard, la décision du cabinet et les compléments qui pourraient s’imposer au libre vote du peuple allemand. »

Résultats

Banderoles incitant à voter « Oui au Führer », suspendues au fronton d’une école de Fürth en Bavière.
Plébiscite du 19 août 19341
Choix Votes %
Pour 38 394 848 89,93
Contre 4 300 370 10,07
Votes valides 42 695 218 98,00
Votes blancs et invalides 873 668 2,00
Total 43 568 886 100
Abstention 1 953 173 4,35
Inscrits/Participation 45 552 059 95,65
« Allemands et Allemandes, approuvez vous les dispositions prévues par cette loi ? »2

Oui :
38 394 848
(89,93 %) Non :
4 300 370
(10,07 %)

Analyse
À noter : au-delà d’un score impressionnant qui semble suggérer une certaine adhésion au régime nazi, les chiffres de ce plébiscite sont particulièrement difficiles à interpréter, étant donné le fait que les nazis ont dès 1933 instauré un climat de terreur et imposé par la force une dictature politique sans partage (on peut citer, entre autres, la « loi d’autorisation » du 23 mars 1933 qui donne à Hitler les pleins pouvoirs, la dissolution des syndicats et partis politiques opposés au nazisme dès mai 1933, la proclamation du NSDAP comme parti unique en juillet 1933, la pratique d’autodafés dès 1933, ou encore la nuit des Longs Couteaux du 29 juin au 2 juillet 1934). Les chiffres de ce plébiscite ne peuvent donc être interprétés immédiatement, et ne sauraient être considérés comme le reflet d’une élection valable, ni permettre des conclusions hâtives sur l’adhésion du peuple allemand au régime nazi.[réf. souhaitée]
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