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Le taux de pauvreté en Argentine passe de 19,82 à 34% en moins de 6 mois

La Havane, 16 août, (RHC/PL).- Le taux de pauvreté en Argentine est passé en moins de six mois de gouvernement Macri de 19,82 % à 34%.

Ces chiffres sont révélés par le Centre d’Économie Politique Argentine au terme d’une recherche dans les régions les plus peuplées du pays. Il s’agit du Grand Buenos Aires et de la zone des Pampas qui englobe le reste de la province de Buenos Aires, ainsi que celles de Cordoba, de Santa Fe, d’Entre Rios et de La Pampa. Quelque 20 millions d’Argentins, la moitié de la population du pays, vivent dans ces deux grandes régions.

Le Centre d’Économie Politique Argentine conclut que l’inflation, la dévaluation, la dégradation du salaire réel et les licenciements massifs décrétés sous le gouvernement Macri provoquent la détérioration ostensible de la situation sociale dans ce pays sud-américain.

Radio Havane Cuba

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DEPUIS LA NUIT ET LE BROUILLARD - FEMMES DANS LES PRISONS FRANQUISTES - de Juana Doña
traduit par à ngeles Muñoz avec la collaboration de Sara Albert Madrid, février 1939. La Guerre d’Espagne touche à sa fin. Leonor va connaître l’exode, la torture, la condamnation à mort, et les longues années de prison... L’horreur quotidienne de l’univers carcéral franquiste tel que l’ont vécu des milliers de femmes et d’enfants est décrite ici par Juana Doña avec un réalisme sans concession et sans complaisance. Ce livre est son témoignage. Écrit en 1967, publié seulement après la (…)
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Que ce soit bien clair : nous avons commis des erreurs, évidemment. Et nous en commettrons d’autres. Mais je peux te dire une chose : jamais nous n’abandonnerons le combat pour un monde meilleur, jamais nous ne baisserons la garde devant l’Empire, jamais nous ne sacrifierons le peuple au profit d’une minorité. Tout ce que nous avons fait, nous l’avons fait non seulement pour nous, mais aussi pour l’Amérique latine, l’Afrique, l’Asie, les générations futures. Nous avons fait tout ce que nous avons pu, et parfois plus, sans rien demander en échange. Rien. Jamais. Alors tu peux dire à tes amis "de gauche" en Europe que leurs critiques ne nous concernent pas, ne nous touchent pas, ne nous impressionnent pas. Nous, nous avons fait une révolution. C’est quoi leur légitimité à ces gens-là, tu peux me le dire ? Qu’ils fassent une révolution chez eux pour commencer. Oh, pas forcément une grande, tout le monde n’a pas les mêmes capacités. Disons une petite, juste assez pour pouvoir prétendre qu’ils savent de quoi ils parlent. Et là, lorsque l’ennemi se déchaînera, lorsque le toit leur tombera sur la tête, ils viendront me voir. Je les attendrai avec une bouteille de rhum.

Ibrahim
Cuba, un soir lors d’une conversation inoubliable.

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