L’ambassade des États-Unis a ordonné une perquisition au domicile de Jesús Santrich à Bogotá.
Le document émis par l’ambassade des États-Unis a ordonné la saisie de dispositifs électroniques comme des ordinateurs, des informations sur les transactions financières, des livres et des cahiers avec des notes et autres.
L’Accord de Paix signé par le gouvernement de la Colombie et par le nouveau parti Force Alternative Révolutionnaire Commune issu de l’ancienne guérilla FARC-AP en 2016 stipule que les mandats d’arrêt et les demandes d’extradition étaient suspendus.
Cette suspension est prévue par l’article 71 de l’Accord Final de Paix.
La présidente de la Juridiction Spéciale pour la Paix, Patricia Linares, a assuré que l’on étudiera si les faits présumés imputés à Jesús Santrich ont été commis avant ou après les accords de paix.