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Les Gilets Jaunes sont imparables : "Maintenant, les élites ont peur" (Spiked-Online)

En hommage à Jérôme Rodrigues, Gilet jaune, victime d’un tir policier (balle) lors de l’acte 11

Pour un RIC européen élaboré par une Assemblée Constituante européenne, ultime carte du réformisme radical ?

Compilation de textes du net, qui éclairent le télescopage en cours de la crise en France et de la crise européenne, les élites ont choisi la guerre de classe, sans respect des masses, dans une course de vitesse pour reprendre le contrôle de la conjoncture qui leur à échappé totalement depuis le 17 novembre 2018.

Ce n’est pas le formulaire en ligne de la demande de prime d’activité, véritable casse-tête technocratique, avec 10 % de réussite, qui peut renverser le cours des choses. La colère sociale s’étend dans le pays et au de-la des frontières, comme la dégradation des économies européennes...

Le gigantesque projet du Grand Paris tout automobile (200 km de tunnels de contournement pour 37 milliards €, financé par ?), montre que le fuite en avant vient de loin.

Citations : Christophe Guilluy (traduction) : « Le respect culturel est fondamental »

desobeissant


Les Gilets Jaunes sont imparables : "Maintenant, les élites ont peur"

Lundi 21/01/2019

https://www.spiked-online.com/2019/01/11/the-gilets-jaunes-are-unstoppable/

Le mouvement des gilets jaunes a secoué l’establishment français. Depuis plusieurs mois, des dizaines de milliers à des centaines de milliers de personnes se rassemblent dans les rues tous les week-ends dans toute la France. Ils ont eu un énorme succès, obtenant des concessions majeures du gouvernement. Ils continuent à marcher.

En 2014, l’étude du géographe Christopher Guilluy sur le périphérique France a fait sensation. Elle a attiré l’attention sur l’exclusion économique, culturelle et politique des classes populaires, dont la plupart vivent maintenant en dehors des grandes villes. Il a mis en évidence les conditions qui donneraient lieu ultérieurement au phénomène de la jaquette jaune. Guilluy a développé ces thèmes dans ses livres récents, No Society et Le crépuscule de la France d’en haut. Guillot a eu l’occasion de prendre connaissance des causes et des conséquences du mouvement du gilet jaune.

Qu’entendez-vous exactement par « France périphérique » ?

Christophe Guilluy : ’France périphérique’ concerne la répartition géographique de la classe ouvrière en France. Il y a quinze ans, j’ai remarqué que la majorité de la classe ouvrière vivait en réalité très loin des grandes villes mondialisées - loin de Paris, Lyon et Toulouse, mais aussi très loin de Londres et de New York.

Techniquement, notre modèle économique mondialisé fonctionne bien. Cela produit beaucoup de richesse. Mais il n’a pas besoin de la majorité de la population pour fonctionner. Il n’a pas réellement besoin de travailleurs manuels, d’ouvriers et même de propriétaires de petites entreprises en dehors des grandes villes. Paris crée assez de richesse pour la France entière et Londres fait de même en Grande-Bretagne. Mais vous ne pouvez pas construire une société autour de cela. Les gilets jaunes sont une révolte des classes ouvrières qui vivent dans ces lieux.

Ce sont généralement des personnes qui travaillent mais qui ne gagnent pas beaucoup, entre 1000 € et 2000 € par mois. Certains d’entre eux sont très pauvres s’ils sont au chômage.D’autres étaient autrefois des classes moyennes. Ce qu’ils ont tous en commun, c’est qu’ils habitent dans des régions où il ne reste presque plus de travail. Ils savent que même s’ils ont un emploi aujourd’hui, ils pourraient le perdre demain et qu’ils ne trouveront rien d’autre.

Quel est le rôle de la culture dans le mouvement de la veste jaune ?

Guilluy : Non seulement la périphérie française réussit mal dans l’économie moderne, mais elle est également mal comprise par les élites sur le plan culturel. Le mouvement de la jaquette jaune est un véritable mouvement du 21ème siècle dans la mesure où il est à la fois culturel et politique. La validation culturelle est extrêmement importante à notre époque.

Une illustration de cette fracture culturelle est que la plupart des mouvements et manifestations sociaux modernes et progressistes sont rapidement endossés par les célébrités, les acteurs, les médias et les intellectuels. Mais aucun d’eux n’approuve les gilets jaunes . Leur émergence a provoqué une sorte de choc psychologique dans l’establishment culturel. C’est exactement le même choc que les élites britanniques ont vécu avec le vote sur le Brexit et qu’ils subissent encore, trois ans plus tard.

Le vote sur le Brexit a également beaucoup à voir avec la culture, je pense. C’était plus que la question de quitter l’UE. De nombreux électeurs ont voulu rappeler à la classe politique qu’ils existaient. C’est pour cela que les Français utilisent les gilets jaunes pour dire que nous existons . Nous assistons au même phénomène dans les révoltes populistes à travers le monde.

Comment les classes ouvrières en sont-elles venues à être exclues ?

Guilluy : Toute la croissance et le dynamisme sont concentrés dans les grandes villes, mais les gens ne peuvent pas simplement y aller. Les villes sont inaccessibles, notamment en raison de la hausse des coûts du logement. Les grandes villes ressemblent aujourd’hui à des citadelles médiévales. C’est comme si nous retournions dans les cités-états du moyen âge. Curieusement, Paris va commencer à faire payer des entrées, tout comme les droits d’accise que vous deviez payer pour entrer dans une ville du Moyen Âge.

Les villes elles-mêmes sont également devenues très inégales. L’économie parisienne a besoin de cadres et de professionnels qualifiés. Il a également besoin de travailleurs, principalement des immigrants, pour le secteur de la construction, la restauration, etc. Les entreprises s’appuient sur ce mix démographique très spécifique. Le problème est que « les gens » en dehors de cela existent toujours. En fait, la « France périphérique » englobe la majorité des Français.

Point fort : quel rôle l’élite métropolitaine libérale a-t-elle joué ?

Guilluy : Nous avons une nouvelle bourgeoisie, mais parce qu’ils sont très cool et progressistes, cela donne l’impression qu’il n’y a plus de conflit de classe. Il est vraiment difficile de s’opposer aux hipsters quand ils disent qu’ils se soucient des pauvres et des minorités.

Mais en réalité, ils sont très complices de la relégation de la classe ouvrière. Non seulement bénéficient-ils énormément de l’économie mondialisée, mais ils ont également engendré un discours culturel dominant qui exclut les personnes de la classe ouvrière. Pensez aux "déplorables" évoqués par Hillary Clinton. Il existe une vision similaire de la classe ouvrière en France et en Grande-Bretagne. Ils sont considérés comme une sorte de tribu amazonienne. Le problème pour les élites est que c’est une très grande tribu.

La réaction de la classe moyenne aux vestes jaunes a été révélatrice. Immédiatement, les manifestants ont été dénoncés comme étant xénophobes, antisémites et homophobes. Les élites se présentent comme antifascistes et antiracistes, mais ce n’est qu’un moyen de défendre leurs intérêts de classe. C’est le seul argument dont ils disposent pour défendre leur statut, mais cela ne fonctionne plus.

Maintenant, les élites ont peur. Pour la première fois, il existe un mouvement qui ne peut être contrôlé par les mécanismes politiques normaux. Les gilets jaunes ne sont pas sortis des syndicats ou des partis politiques. Il ne peut pas être arrêté. Il n’y a pas de bouton "off". Soit l’intelligentsia sera forcée de reconnaître convenablement l’existence de ces personnes, soit elle devra opter pour une sorte de totalitarisme doux.

On a beaucoup parlé du fait que les exigences des gilets jaunes varient beaucoup. Mais avant tout, c’est une demande de démocratie. Fondamentalement, ce sont des démocrates - ils veulent être pris au sérieux et ils veulent être intégrés à l’ordre économique.

Comment pouvons-nous commencer à répondre à ces demandes ?

Guilluy : Tout d’abord, la bourgeoisie a besoin d’une révolution culturelle, notamment dans les universités et les médias. Ils doivent cesser d’insulter la classe ouvrière, de ne plus penser à tous les gilets jaunes comme des imbéciles.

Le respect culturel est fondamental : il n’y aura pas d’intégration économique ou politique avant l’intégration culturelle. Ensuite, bien sûr, nous devons penser différemment à l’économie. Cela signifie se passer de dogme néolibéral. Nous devons penser au-delà de Paris, Londres et New York.

Christophe Guilluy interviewé par Fraser Myers.


La guerre au peuple : https://www.les-crises.fr/urgent-texte-integral-et-analyse-du-traite-f...


Alors que le « débat national » débute, les gilets jaunes toujours aussi mobilisés
Par Anthony Torres
22 janvier 2019
https://www.wsws.org/fr/articles/2019/01/22/gile-j22.html


Appel de « Gilets Jaunes » de l’Est Parisien
https://proletariatuniversel.blogspot.com/2019/01/appel-de-gilets-jaun...

gilets-jaunes-revolutionnaires@protonmail.com


20 janvier 2019
Les gilets jaunes comme produit social d’un réformisme à rebours
http://spartacus1918.canalblog.com/archives/2019/01/20/37031966.html


26 janvier 2019

Les révoltés se trompent de cible, ce sont les banques centrales qu’il faut attaquer !

https://brunobertez.com/2019/01/26/billet-les-revoltes-se-trompent-de-...

Comme prévu, la volte face de Powell a été suivie de celle de Draghi.

Nous vous disions que la crise boursière de décembre avait effrayé tous les régulateurs et qu’elle allait, qu’elle devait, déclencher une réponse sinon coordonnée du moins convergente de la part de toutes les banques centrales : la stabilité globale est en jeu.

Draghi a donc fit son numéro habituel, il a parlé pour quasi ne rien dire sauf ceci :
« les risques sont maintenant plutôt vers le bas, le downside ; « l’échec à accélérer l’inflation conduit à prévoir que la politique stimulante de la BCE pourrait durer plus longtemps que prévu« .

Plus longtemps que prévu par la BCE bien sur, car moi j’ai toujours prévu qu’elle ne pourrait jamais s ‘arrêter !

Un incroyable échec qui a coûté des trillions et dont personne ne parle : si la politique avait été bien choisie, nous aurions eu une croissance plus élevée entre 2013 et 2017 ! Nous ne serions pas en train de rechuter lamentablement. l’amélioration médiocre de 2013 à 2017 n’a rien à voir avec l’action de Draghi, pas plus que celle de 2018, elle tient a des facteurs extérieures comme la reflation chinoise. Et encore une fois notre Draghi espère qu’une nième reflation chinoise viendra sauver les apparences.

La ligne de Draghi ne change pas et peu importe si l’échec est de plus en plus patent :
«  je persiste à ne pas réfléchir, à ne pas remettre en cause mon erreur de diagnostic initiale et je compte sur le temps ! Entre deux je nie les conséquences non voulues de mon action et en particulier la situation fragile des banques, la destruction des retraites et la montée du populisme. »

Ce qui me parait extraordinaire, c’est la soumission des gouvernements face à Draghi. Et cette soumission corrobore ce que l’on peut penser, ces gouvernements ne défendent pas les intérêts des peuples, non ils défendent ceux des ploutocrates. Car il n’y a qu’eux, les ploutos et kleptos pour bénéficier de la politique de la BCE. C’est cette politique qui produit les inégalités, elle qui est responsable du malaise politique avec ses actions scandaleusement favorables au capital financier , voire même à certains types de rentiers. 

Les politiciens n’osent pas le critiquer. Seule Merkel a hypocritement fait semblant de le faire la semaine dernière, mais c’était purement superficiel car au fond elle a choisi : elle accepte de détruire le consensus politique en Allemagne pour sauver l’euro.

La politique de Draghi n’est pas une politique monétaire, c’est une politique quasi budgétaire, fiscale, strictement politicienne dont le but est de financer les pays déficitaires tout en enserrant dans un carcan l’entité européenne afin que les divergences ne se manifestent pas.

Le carcan vise à faire tenir ensemble tout ce qui autrement, exploserait.
Et Draghi en est réduit piteusement à invoquer pour faire passer son échec face a des journalistes qui n’y connaissent rien :

- le ralentissement de l’industrie automobile allemande
- les incertitudes sur le commerce mondial avec les « tariffs » de Trump
- le ralentissement chinois
- le Brexit

et si les prix du pétrole n’avaient pas remonté récemment il aurait ajouté pour faire bonne mesure la tarte à la crème des prix du pétrole.

Bref selon lui la BCE mène une bonne politique, mais elle est toujours dérangées, perturbée par les évolutions du monde réel. Il est vraiment terrible ce monde qui se permet de gêner la BCE ! Draghi pense qu’il est un génie, un peu comme Macron et que c’est le monde, les autres qui sont cons !

Vous ne trouverez chez Draghi aucune tentative d’analyse de la situation de rechute actuelle ; les indicateurs avancés, les PMI Composite européens sont au plus bas depuis 2013, à peine au dessus des 50 vous croyez que cela le conduit à se remettre en question ? Non !

Parlant à un auditoire qui n’y comprend rien, Draghi a terminé en assurant que la BCE avait encore une boite à outils pleine de gadgets pour créer des liquidités ; ce qui est bien entendu faux, car pour aller plus loin que l’on ne va maintenant il faudra autre chose que des outils il faudra mobiliser l’armée pour maintenir le calme dans les rues. Imagine t-on la BCE subventionner directement le capital klepto en achetant des actions, en imposant les taux négatifs aux particuliers ?

Comme ses pairs , Draghi est prisonnier de l’idéologie dominante et il en est réduit à croire, à espèrer un miracle. Bien sur un miracle chinois car il n’a pas compris que ce qui se passe en Chine n’est pas conjoncturel, non c’est du structurel de long terme.

Les dirigeants chinois l’ont compris eux, ils savent qu’il ne faut plus esperer une croissance réelle supérieure aux 6% fatidiques, qu’il ne faut plus rêver de pouvoir assurer la promotion des 500 millions de chinois paysans qui attendent , les dirigeants chinois avec le dernier Congrès ont choisi le retour à l’autorité. Ils ne veulent pas se retrouver dans la situation des élites de l’URSS !

Mais notre Draghi lui, il y croit au miracle chinois.
Regardez les graphiques ci dessous : vous y croyez vous ?







BCE : banques, banksters et €-crash

25 janvier 2019

https://chevallier.biz/bce-banques-banksters-et-e-crash/

L’analyse fondamentale portant sur l’évolution des bilans hebdomadaires de la BCE permet de diagnostiquer les causes de la faible croissance de la zone euro et de prédire objectivement l’effondrement de son système bancaire...

En effet, la BCE comme toute banque centrale devrait avoir normalement une situation financière particulièrement confortable car les banques ordinaires, dites commerciales de son ressort (banques de dépôts et banques d’affaires) sont amenées à y déposer leurs liquidités excédentaires.

C’est ainsi que la Fed bénéficie de dépôts se montant à... 2 000 milliards de dollars émanant de banques qui ont des disponibilités largement excédentaires, la BNS dispose de... 475 milliards de francs suisses provenant pour l’essentiel de capitaux de la zone euro qui se sont réfugiés dans les banques helvétiques.

Ces banques centrales les investissent dans des titres réputés sûrs, ce qui ne les empêche pas d’enregistrer des pertes importantes sur ces placements car tout produit financier est en réalité un placement à rentabilité incertaine à terme.

La Fed a placé 3 600 milliards de dollars dans des bons du Trésor et des titres hypothécaires, la BNS a investi 775 milliards de francs suisses en titres divers en devises étrangères (les banques centrales financent leurs actifs en complément par l’émission de billets).

Seule la BCE se trouve dans une situation totalement en dehors des normes car elle a été obligée de prêter jusqu’à... 1 450 milliards d’euros en 2012 à des banques de son ressort de façon à ce qu’elles ne fassent pas faillite !

Document 1 :

La BCE a encore... 765 milliards d’euros de prêts octroyés quasiment gratuitement à des banques qui ne les ont pas encore remboursés et elle a été obligée de racheter à des banques pour... 2 900 milliards de titres (dans le cadre de sa politique monétaire dite du QE) constitués en particulier de bons de Trésors de façon à leur fournir des liquidités qui leur manquent cruellement pour pouvoir survivre !

Document 2 :

La question essentielle qui se pose alors mais... que personne ne pose (!), est la suivante : comment la BCE finance-telle ces actifs ?

La réponse est simple : par des dépôts en retour des banques d’une partie de ces liquidités (rubrique 2 du passif), ce qui constitue en fait une gigantesque opération de cavalerie !

Document 3 :

Le problème est que ces acrobaties comptables ne suffisent pas à la BCE pour pouvoir boucler son bilan hebdomadaire : il reste un trou à boucher pour un total de l’ordre de... 700 milliards d’euros !

Ce trou est comblé par les apports des Etats pourtant déjà surendettés (rubrique 5 du passif) et par ceux de mystérieux et anonymes non-résidents (rubrique 6) !

Document 4 :

Le système bancaire de la zone euro est donc globalement hors normes à cause des dirigeants des banques qui se trouvent en grandes difficultés car elles manquent cruellement de liquidités.

Cette situation est provoquée par le fait que ces dirigeants des banques ne respectent pas les règles prudentielles d’endettement : ils ont octroyé trop de prêts par rapport à leurs capitaux propres tangibles.

Ces dirigeants des banques sont de véritables banksters dont les agissements sont sur le point de provoquer un effondrement du système bancaire, un €-crash au niveau de la zone euro, pire que ce que les Grecs et Chypriotes ont subi.

 

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Point de non-retour
Andre VLTCHEK
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