17 commentaires

Pétition pour le respect des libertés démocratiques en Algérie

je vous adresse cette pétition pour les libertés démocratiques en Algérie il est important de soutenir cette initiative et de signer cordialement

Tarek BEN HIBA

SOS LIBERTES

Pétition pour le respect des libertés démocratiques en Algérie

17 mars, 2008, 16:06

Des journalistes condamnés à des peines de prison ferme et menacés d’incarcération.

Des syndicalistes licenciés pour avoir revendiqué des salaires décents.

Des chrétiens harcelés pour délit de prière.

Les signataires, vivement inquiets de cette escalade contre les libertés démocratiques expriment leur solidarité avec les journalistes libres, les syndicats autonomes et la communauté chrétienne d’Algérie, cibles de mesures aussi brutales qu’injustifiées ; réaffirment leur attachement à la liberté d’expression, au pluralisme syndical et à la liberté de conscience, synonyme du droit de chacun de pratiquer la religion de son choix, ou de ne pas pratiquer ; appellent à la tolérance et au respect des libertés et de la diversité, valeurs cardinales de toute société démocratique.

Alger, le 17 mars 2008

Pour signer la pétition : contacter l’un des premiers signataires ou envoyer un mail à  : sos.libertes@yahoo.fr

Premiers signataires (par ordre alphabétique)

Abdennour Ali Yahia (président d’honneur LADDH), Rabah Abdellah (journaliste), Hakim Addad (responsable associatif), Abdeslem Mehenna (maître de conférences), Farida Aït Ferroukh (universitaire), Louisa Aït Hamou (universitaire), Arezki Aït Larbi (journaliste), Sanhadja Akrouf (éducatrice, responsable d’association), Tewfik Allal (militant syndical et responsable associatif), Zoubir Allouche (avocat), Dalila Alloula (médecin), Soltane Ameur (chirurgien hospitalo-universitaire), Sakina Ammar-Khodja (avocate), Djamila Amzal (comédienne), Malika Baraka (cardiologue) - Yahia Belaskri (journaliste), Hocine Bellaloufi (journaliste), Ben Mohamed (poète), Chérif Benbouriche (responsable associatif), Djilali Bencheïkh (écrivain), Hocine Benhamza (écrivain), Malika Benidir (avocate), Djamel Benmerad (journaliste écrivain), Djamel Benramdane (journaliste), Ali Bensaâd (universitaire), Nacéra Benseddik (archéologue), Fouad Boughanem (journaliste-éditeur), Yvonne Bounif-Lagadec (retraitée), Smaïl Boussalah (avocat), Bouhadef Mustapha (universitaire, ancien député), Chemakh Saïd (enseignant de linguistique berbère), Jeanine Caraguel (universitaire), Salem Chaker (professeur des universités), Farid Cherbal (universitaire, syndicaliste), Hamid Chikdène (avocat), Ahmed Chikaoui (avocat), Fanny Colonna (directrice de recherche émérite au CNRS), Vincent Colonna (écrivain), Dahmani Ahmed (universitaire), Mohand Dahmous (ingénieur), Ali Dilem (caricaturiste), Daho Djerbal (universitaire), Malika Domrane (artiste), Saïd Doumane (universitaire), Ihsen El Kadi (journaliste), Abdelkrim Elaïdi (universitaire), Barkahoum Ferhati (chercheur), Amel Feve (employée),Tewfik Guerroudj (architecte), Mohammed Hachemaoui (universitaire), Haddad Nacer (juriste), Smaïl Hadj Ali (enseignant chercheur), Leïla Hadj Arab (avocate), Bachir Hadjadj (écrivain), Sofiane Hadjadj (éditeur), Saïd Hamdani (docteur en médecine), Mohamed Harbi (historien), Selma Hellal (éditeur), Hichem (le Hic caricaturiste), Hirèche Hacène (universitaire), Mohammed Iouanoughène (journaliste), Boudjemâa Karèche (ancien directeur cinémathèque d’Alger), Ali Kati (expert comptable), Khelloudja Khalfoun (avocate), Saïd Khellil (pharmacien biologiste) Liazid Khodja (cinéaste), Slimane Laouari (journaliste), Jean-Pierre Lledo (cinéaste), Lasheb Ramdane (archéologue), Lalami Feriel (politologue), Mahmoud Mamart (journaliste), Mohamed-Larbi Marhoum (architecte), Dahmane Marouf (médecin réanimateur), Malika Matoub (présidente Fondation Matoub Lounès), Adlène Meddi (journaliste, auteur), Faïka Medjahed (chirurgien dentiste), Ferhat Mehenni (artiste), Sahra Mekboul (universitaire), M’barek Menad (cinéaste, comédien), Farida Mesbahi Aïche (avocate), Rachid Messaoudi (médecin allergologue), Fayçal Métaoui (journaliste), Arezki Metref (journaliste, écrivain), Ali Mouzaoui (cinéaste), Amrane Naït Ali (avocat), Mouhoub Naït Maouche (ex-membre de l’ALN), Kamel Naït Zerrad (universitaire), Boussad Ouadi (éditeur, libraire), Aomar Ouali (journaliste), Hacen Ouali (journaliste), Hadjira Oubachir (poétesse, comédienne), Ali Oubouzar (ex-officier de l’ALN), Lila Oubouzar (universitaire, architecte), Idir Ounoughen (chirurgien dentiste), Arezki Ounoughene, (médecin urologue), Méziane Ourad (journaliste), Fatima Oussedik (sociologue), Nouredine Saâdi (universitaire, écrivain), Nadjib Sadek (avocat), Boualem Sansal (écrivain), Sid Ahmed Semiane (SAS, journaliste), Hamid Skif (écrivain), Rezika Slimani (avocate), Remaoun Hassan (universitaire), Wassila Tamzali (ex-directrice à l’Unesco, essayiste), Belkacem Tatem (metteur en scène et comédien), Yassine Temlali (journaliste), Kamel Yahiaoui (artiste plasticien), Hassina Yahiatène (avocate), Dalika Zekal (présidente d’association), Hassane Zerrouki (journaliste), Ghania Zidane Rezzouk (secrétaire). Pour signer la pétition, contacter l’un des premiers signataires ou envoyer un mail à  : sos.libertes Nm4 yahoo.fr Signatures : Abdelkrim Amar (rédacteur en chef), Agawa Aksil (journaliste, formateur), Aït Aïder Aomar (universitaire, écrivain), Aït Mohamed Madjid (cadre retraité), Aït Saïdi Ahcène (journaliste, écrivain), Akkar Nadia (conseiller communautaire), Amarouche Nassima (biologiste), Ambes Ali (enseignant), Amir Nabila (journaliste), Amirouche Nacer (universitaire), Ayyoub Habib (écrivain), Azamoum Saïd (enseignant universitaire), Azem Hocine (vice-président CMA/Algérie), Bekkat Amina (universitaire), Bekkat Nadir (avocat), Belhimeur Mahmoud (journaliste), Bellahsène Amar (étudiant), Bouaricha Nadjia (journaliste), Bouchek Saliha (correctrice), Boudraâ Chahrazade (PES correspondante de presse), Boufroura Smaïl (maître de conférences), Boumendil Arezki (journaliste, ancien député), Bourslya Ferhat (chimiste), Boussaïd Fatima (chargée de programme), Boutadjine Mustapaha (artiste peintre), Bouzeghrane Nadjia (journaliste), Chentouf Moulay (militant MDS), Djebar Fouad (étudiant au Canada), Djermoune Nadir (architecte, universitaire), Faïssal Aziz (photographe), Ferrah Md Arezki (architecte à Montréal), Fouila Yasmine (ingénieur), Gacemi Baya (journaliste), Gasmi Hamid (ingénieur), Ghris Mohamed (auteur, journaliste indépendant), Graïne Larbi (journaliste), Gribi Mustapha (retraité), Guerfi Azeddine (éditeur), Hachid Mourad (journaliste), Hachoud Kaci (citoyen, militant politique), Haddar Yazid (psychologue), Hadjadji Tayeb, Hadjarab Mustapha (journaliste en France), Hakkar Abderahmane (journaliste à Paris), Hamel Tewfik (doctorant en sciences politiques université), Robert Schuman, Hannoun Salah (avocat), Kacer Saïd (journaliste, écrivain), Kahla Chebal Anissa (libraire, enseignante), Kahla Saïd (médecin, artiste peintre), Kebaïli Akli (universitaire), Kenzari Touhami (journaliste à Lyon), Lahdir Chérif (journaliste), Lebkiri Moussa (auteur, comédien), Mahdid Brahim (étudiant), Makedi Madjid (journaliste), Medani Moussa (cadre d’entreprise), Medjahed Fayçal (journaliste), Medjamia Miloud (consultant), Mekfouldji Abdelkrim (enseignant à la retraite, journaliste), Missoum Boumediene (membre du Comité de soutien pour la liberté de la presse en Algérie), Oussadi Salem (architecte à Montréal), Ramdani Abdelkader (chef d’entreprise), Remi Yacine (journaliste), Rezagui Rachid (poète), Saâdallah Abdelkader (Dr en géologie, consultant), Sahki Abdellah (enseignant), Slimani Samia (architecte), Tlemçani Salima (journaliste), Yefsah Karima (universitaire), Yessad Mustapha (citoyen), Zobiri Oussama (agent commercial), Nadir Hammou (étudiant).

19 mars 2008

Aïn Séba Nagette (universitaire), Aissani Laaziz (enseignant, PES), Aït Abdelmalek Baya (étudiante), Aït Ali Belkacem Salem (comédien), Aït Hammouda Tahar (psychiatre), Aït Mohamed Madjid (cadre retraité), Aït-Larbi Ahmed (directeur d’école retraité), Allalou Mohamed Ali (animateur radio), Alloul Bélaid (universitaire), Amalou Ahcène (universitaire), Amari Kamel (enseignant, syndicaliste Cnapest) ; Améziane Amar (étudiant chercheur, Paris), Amri Sofiane (étudiant, France), Amzal Tassadit (représentante commerciale, Paris), Aouar Samir (ingénieur), Aoues Younès (enseignant chercheur, Polytechnique Clermont Ferrand, France), Assam Yahia (journaliste), At Brahim Nora (artiste, chanteuse), Baba-Ahmed Rafik (chercheur), Bachir-Chérif Amar (éducateur spécialisé), Bénali Taleb (retraité éducation nationale), Bengraïne Karim (coordinateur programmes humanitaires, Chicago, USA), Benmesbah Djaffar (journaliste, artiste peintre), Berrichi Boussad (universitaire et journaliste Québec/Paris), Bessaou Hamid (ingénieur), Bouaddou Youcef (professeur d’anglais), Bouaïch Boussad (étudiant chercheur, Inalco, Paris), Boukir Salma (adjointe DRH, Paris), Boulaloua Sid-Ali (écrivain, journaliste), Chalal Mohand (universitaire), Cherat Sami (militant associatif), Chérifi Karma (financière), Chiboune Lyes (médecin), Djadoun Amar (universitaire, syndicaliste), Fettache Saïd (économiste), Gouali Aziz (traducteur, interprète), Guerfi Mazigh (réalisateur), Gueritli Boualem (réalisateur), Hachelaf Azzouz (architecte-artiste, Lyon), Hamadouche Ouarda (doctorante, Paris VI), Hamat Salim (étudiant), Hareb Moussa (commerçant), Hihi Abdelhamid (médecin), Hihi-Rueff Evelyne (médecin), Houssin Mourad Salim (psychologue), Ifticen Saadedine (directeur général), Khaled Amine (universitaire), Lakher Foudil (universitaire), Laldji Saïd (universitaire, Canada), Maâzouzi Djemaâ (universitaire), Mansouri Farouk (consultant, militant associatif, Paris), Meksem Ahcène (promoteur), Messaoudène Chérif (animateur culturel), Mezaache Anissa, Ouferhat Mourad (encadrant technique), Rahal-Sidhoum Saïda (économiste, anthropologue), Sadeg Sad (médecin), Sadki Slim (journaliste), Saïdani Smail (expert, ancien député), Sayad Ali (anthropologue), Sebbar Leïla (écrivaine), Silem Ali (artiste peintre), Tahar Youcef (journaliste), Talbi Chérifa (médecin), Talbi Salah (PES), Tibourtine Omar (médecin, Paris), Yessad Lyazid (citoyen), Zizi Redouane (journaliste), Zobiri Rym (étudiante). Abdellahoui Mohamed (maître de conférences), Abderezzak Adel (universitaire), Achab Ramdane (enseignant), Agharmiw Mohand (artiste, informaticien), Aissat Chérif (informaticien), Aissat Kamel (universitaire), Aït Abdelmalek Naïma (journaliste, étudiante), Aït Abdelmalek Tahar (étudiant), Aït Hamou Arezki (ex DG d’entreprise en retraite), Aït Hamouda Ali, Aït Khira Mouloud (commerçant), Aït Mokrane Mourad (chômeur), Akli Halim (membre Bureau laïque international), Ali-Rachedi Abdeslam (professeur de médecine à la retraite), Amara Fatiha (cadre en informatique), Aouli Boudjema (médecin ORL), Arab Omar (cadre supérieur transport aérien), Atmani Fazia (assistante commerciale), Azma Jugurtha, Baba Md Tahar (TS agronome), Belhimeur Mouloud (DESS Polytechnique Montréal), Benabi Hamid(universitaire), Benamara Kader (économiste), Bendjelid Abed (universitaire), Benredouane Rachid (consultant), Benseba Djamel (économiste, ancien secrétaire international du FFS), Blidia Ahmed (économiste), Bouakkaz Farid (docteur en médecine), Bouchama Farid (universitaire, sciences politiques et théologie), Bouchebah Mustapaha (ingénieur), Bouheraoua Ali (universitaire), Chami Sandra (étudiante), Cherkit Idir (chômeur), Dahmane Ali (consultant), Dahmani Saïd (historien, muséologue), Dali Kamel (chirurgien), Debboub Mouloud (militant associatif), Derais Bachir (cinéaste), Djaffar Salim (journaliste), Djahnine Habiba (réalisatrice), Djaïder Bachir (universitaire), Djouab Amar (chirurgien orthopédiste), Djouder Idir (chef d’entreprise, militant associatif), Dourari Abderrazak (universitaire), Godard Leïla (enseignante), Guermouche Belkacem (étudiant), Habitouche Mekki (cadre), Hachache Mouloud (salarié), Hadj Slimane Brahim (journaliste), Hadjam Chahrazed (correspondante de presse), Hamdad Ahmed (universitaire), Hammadou Ghania (journaliste, écrivain), Hannoun Arezki (cadre retraité), Ifticène Mohamed (cinéaste), Irid Nacer (ingénieur), Izarouken Md Arab (consultant), Kaced Said (écrivain et journaliste), Kadri Youcef (directeur d’école), Kali Mohamed (journaliste, écrivain), Kechidi Nouredine (médecin allergologue), Kechidi Zohra (médecin radiologue), Kesri Rachid (enseignant), Khalfalah Abdelaziz (ancien député), Kouidri Saadeddine (militant MDS), Lachichi Md Chérif (journaliste), Lallali (Yahia-Cherif) Nadia (universitaire et écrivaine), Lamriben Hocine (journaliste), Lamriben Mourad (médecin anesthésiste), Lebkiri Moussa (auteur, comédien), Luste Boulbina Seloua (philosophe), Maazouzi Djemaa (enseignante), Madi Karim (employé de bureau), Mammeri Ryad (journaliste), Matallah Saliha (éducatrice), Mazari Abderrahamne (commissaire aux comptes), Médjani Ahmed (lycéen) Medjkouh Méziane (opérateur économique), Médjoubi Brahim (contrôleur de gestion), Mezhoud Nacer (écrivain dramatique, chômeur), Mokhtari Amine (doctorant en informatique), Mokhtari Mohand (ingénieur), Nacer Lynda journaliste), Ogba Abdelkader (retraité),Ouali Djaffar (militant LADDH), Ouferhat Mahieddine (formateur), Oulladj Ahmed (docteur en médecine), Pagès Alexis (professeur de psychologie), Pagès Delalou Ouarda (assistante sociale), Pagès Naïma (économiste), Rabah Rabah (universitaire), Rabahi Mabrouk (universitaire), Rahmoun Aïssa (avocat), Rahmouni Agharmiw Naima (universitaire), Rebah Lamia (étudiante en architecture), Rédaoui Mohand (journaliste), Rezki Rabah (retraité, ancien syndicaliste), Sadek Fodil (universitaire), Sadi Brahim (romancier, universitaire), Saibi Mohamed (enseignant), Seddik Yacine (informaticien, chargé de communication), Sitouah Ali (ingénieur consultant), Souami Kamel (journaliste), Taleb Ahcène (enseignant), Taleb el Ibrahimi Khawla (universitaire), Teffah Mustapaha (responsable syndical), Tiab Djamel (chef d’entreprise), Tilikète Kandil Malika (avocate), Touati Mohand (étudiant), Yacoub Boussad (universitaire), Yahiaoui Dahmane (ingénieur), Zighem Abdelkader (journaliste), Zouaghi Abbas (enseignant), Zouaoui Nassim (universitaire). Abassen Massi (peintre en bâtiment, France), Abchiche Anissa (assistante de direction, Luxembourg), Abderrazak Larbi Chérif (journaliste BRTV), Abed Karim, Adouane Abdenour (TS en bâtiment), Ahnoudj Ali, Aïbi Chafika (assistante sociale), Aimène Abderrahmane (informaticien), Aït Arab Abderrahmane (chômeur), Aït Mekourta Ahcène (ingénieur, Montréal), Ait Ramdane Luiza (fonctionnaire), Alimi Noureddine (technicien organisations et process, la Poste), Allouche Lynda (étudiante, Sorbonne Paris), Ameyar Hafida (journaliste), Amzal Rachid (fellah), Aourane Boualem (informaticien),Arhab Ahmed (technicien), Arhab Ali (directeur), Arhab Arezki (écologiste), Arhab Hassen (artiste), Arhab Massinissa (étudiant), Arhab Toufik (plombier), Azzouz Lotfi (défenseur des droits humains), Babadji Messaoud (universitaire), Bachtarzi Md Améziane (SG Fondation Matoub Lounès), Belhouari Karim (commerçant), Belmadi Mohamed (PES), Benbernou Dalila, Benhamza Karima (universitaire), Benkhellat Hocine (agent immobilier), Bennai Siham (journaliste), Benslama Malek (universitaire), Benyahia Abdennour, (militant), Benzohra Azeddine, Blidi Maachou (journaliste), Bouagache Massi, Bouaich Abderrahim, Boualili Ahmed (universitaire), Boudiaf El Hadja (universitaire retraitée), Bougarche Ahmed (universitaire, Californie), Bouhammam Arezki (juriste), Boukhelifa Zahir (journaliste), Boukhtouche Salah (Fondation Matoub Lounès), Boulahia Ali (fellah), Boulahia Mohamed (journaliser), Boulaich Mohamed (professeur, secrétaire général du syndicat indépendant des professions de l’enseignement S.I.P.E), Boumali Nacer (fonctionnaire), Bourouiba Boualem (cadre SNTF à la retraite), Bourouiba Kenza (collégienne), Bourouiba Nabil (chef d’entreprise), Bouzid Boualem (universitaire), Chaambi Abdelaziz (travailleur social, Lyon, France), Chekchak Naïma (journaliste), Chikhi Djamila (politologue), Chiki Atra (travailleur social), Chilali Karim (architecte), Chouikhi Brahim (chômeur), Chouiki Aissa (fellah), Chouiki Mohamed (chômeur), Chouiki Youcef (commerçant), Collectif pour l’action et la solidarité sociale de Messaâdane ( C.A.S.S), Dehl Mouloud (employé), DjemaIi Amédee (universitaire, enseignant chercheur), El Baz Ali (coordinateur ATMF), Farès Rachid (comédien), Ferroudj Abdelfatah (universitaire), Firad Laïd (directeur de collège retraité), Ghaoui Chafika (TSS en microbiologie alimentaire), Ghellab Smail (journaliste), Guennon Karim (comptable), Guerfi Momo (éducateur arts dramatiques), Guerid Djamel (universitaire), Hadj Mohand Smaïl (cadre financier), Hadjam Zhor (journaliste), Hamadache Tahar (auteur et webmaster), Hamani Hocine (fellah), Hamidechi Sofiane (transporteur), Hammadache Mohamed (artiste peintre), Hammouda Tamime (ingénieur), Hamouti Hamza (étudiant), Hanifi Massinissa (étudiant en 5e année écologie/environnement), Hassani Rafik (député RCD), Idir Boualem (enseignant), Iftini Ramdane (producteur réalisateur), Igderzen Lounis (journaliste), Kadi Salem (étudiant), Kaouah Abdelmadjid (poète), Kedjar Mohand Akli (retraité), Kessal Salem (universitaire), Khaled Amine (universitaire), Kherfi Kamel (cadre aéronautique), Laïche Youcef (journaliste algérien à Paris), Lainceur Zoubir (ancien député), Lamri Sophia (socio-historienne, Paris VIII), Larab Saleha (journaliste), Longuar Abdelkader (retraité du secteur public économique), M’barek Mohandi (retraité), Mahieddine Nabil (photographe), Mammeri Sofiane (Fondation Matoub Lounès), Mazari Youcef (fonctionnaire), Mezaache Amina (pharmacienne), Mokrani Amel (étudiante, Paris), Mokrani Taous, (pédiatre, Aix en Provence), Moussaoui Akli (ingénieur, France), Nafa Hassina (architecte), Nait Gaoua Ali (cadre secteur BTPH), Nebhi saïd (commerçant), Nekka Karima (chargée de communication), Oubouzar Ahmed (enseignant), Oubouzar Erika (universitaire retraitée),Oubouzar Nadia (médecin), Ould Ali Samir (journaliste), Ould Amara Abdelkrim (avocat), Oumana Abdelaziz (ex officier de l’ANP, St-cyrien), Rahmani Md El Hadi, Rahmani Nabil (professeur de lettres), Redjah Ali (chirurgien dentiste), Rouani Djamel (enseignant, syndicaliste chargé de l’organique du CLA), Rouani Fawzia (PES), Sadaoui Fahim (commerçant), Samai Salim, Samai Salim (enseignant), Saouli Hassina (médiatrice), Sebaa Hakim (employé administratif, Luxembourg), Sellam Belkacem (employé et ex correspondant de presse), Siari Tengour Ouarda (historienne), Sid Mohand Adel (citoyen), Souami Hachemi (journaliste, ancien député), Souissi Zoubir (journaliste), Taghlit Ali (cadre retraité),Triki Sandra (universitaire), Yacoub Lakhdar (cadre retraité), Yahia Arab (biologiste), Youba (artiste), Zouaghi Abbès (enseignant).

Messages de solidarité de l’étranger : Bechir Hamdi (UGTT Tunisie), Abdelkader Zitouni (coordinateur du Pari Tunisie verte), Ali Lotfi (Secrétaire général Organisation démocratique du travail/Maroc), Claude Sixou (ingénieur retraité), Marc Khalfoune (auteur compositeur), Marie-Pierre Mellis, Michel Anquetil , Marie-Madeleine Anquetil, Charline Perrin (assistante sociale), Jean-Pierre Gilles, André Gomard, Dominique Venturi (enseignante), Boi Wosso Banigouda, (étudiant), Joseph et Elizabeth Brosseau, Gérad Micolod, Marie Annick, pasteur Jean Domon, Arlette Welty-Domon (écrivain), Françoise Aguesse, Henri Pouillot (militant antiraciste), Bernadette Ségoin (enseignante), Jean-Pierre Segoin (enseignant), Paulin Kuanzambi (caméraman, réfugié Angolais au Maroc).

Aired Lyes (assistant administratif, chômeur), Aissati Lynda (technicienne en informatique), Aissati Yamina (enseignante retraitée), Ait Hamou Azouaw (médecin), Aït Ouaret Amine (étudiant, animateur associatif), Aksouh Djamila (animatrice), Aksouh Mourad (chef de service), Aksouh Nadia (directrice commerciale), Ali Bey Azwaw (étudiant), Alili Saliha (enseignante), Allaf Nadir (étudiant), Amar Khoudja El Hadi (universitaire), Amiar Abderhmane (étudiant), Amiar Fadhila (étudiante), Amiar Mohand (étudiant), Amirat Abdelhakim (étudiant), Amrani Kamel (étudiant), Annouz Hamid (étudiant), Aoudia Said (étudiant), Aouli Mohamed (retraité), Ayouz Nazim(étudiant), Ben Salem Achour (universitaire), Benali Arezki (enseignant), Benamer Soraya (étudiante), Benbernou Dalila (directrice commerciale), Bendjafer Samir (journaliste), Benkerrou Mohand (ingénieur), Bennour Samia (étudiante), Benslimane Mohamed, Beryane Malek(étudiant), Bouakiz Farid (docteur en médecine), Boubekeur Amghar (commerçant), Boukhemouch Zahir (expert foncier), Boukhouta Mohamed (enseignant, syndicat CLA), Boumghar Amar (universitaire), Bourahla Mohamed (syndicaliste), Bourahla Sonia (fonctionnaire), Chaalal Omar Mokhtar (poète écrivain), Chait Salim (étudiant syndicaliste), Chait Youba (étudiant), Chait Youcef (étudiant), Chaouchi Madjid (étudiant), Chaulet Claudine (professeur de sociologie en retraite), Chaulet Pierre (professeur de médecine en retraite), Cherbi Djamel (architecte), Cherbi Farida (universitaire, architecte), Cherif Amirouche (universitaire), Chouali Boualem (syndicaliste), Daoui Tahar (architecte), Dries Omar (syndicaliste), Fekrache Yougourta (étudiant), Fetissi Fateh(étudiant), Gani Mohamed (fonctionnaire), Gherbi Mourad (instituteur de français), Ghézali Améziane (enseignant à la retraite), Graine (artiste sculpteur, Allemagne), Hadjem Houria (médecin), Hadji Lyes (étudiant), Hamadi Samir(étudiant), Hamidi Koceyla (étudiant), Hamlaoui Aziz (syndicaliste), Hamou Ferhat (étudiant), Hamouchène Makhlouf, Hamri Mohand (étudiant), Harfouche Ali (universitaire), Hessam Djamila (étudiante), Isadi Lynda (étudiante), Isadi Rachid (étudiant), Kacimi Slimane (enseignant, syndicat CLA), Kaouane M’barek (responsable d’une agence de voyage), Kheradouche Idris (étudiant), Lakehal Mohamed (vétérinaire), Lateb Azeddine (étudiant), Lounis Merzouk (conseiller à l’orientation, syndicaliste), Lounnas Abdellah (militant, profession libérale), Mahmoudia M’henna (étudiant), Meddane Redouane (ingénieur en télécom), Mekdad Samir (étudiant), Meksem Salim (étudiant), Mellaz Mustapha (étudiant), Merabtène Mansour (psychiatre), Merghemi Djamel (sans fonction), Mokrane Mohamed (retraité), Mouffok Bélaïd (étudiant), Moussaoui Ferroudja (militante, universitaire), Naït Megdoud Takfarinas (étudiant), Naït Youcef Takfarinas (étudiant), Namaoui Mohamed (assistant parlementaire), Neffah Hocine (journaliste), Ouadahi Md Ouramdane (ergothérapeute), Ouaked Rezki (étudiant), Ouandlous Aziz (étudiant), Oubekkou Abdenour (étudiant), Ourafil Lounes (étudiant), Oussayef Nasser, Qasmi Mohand, Radji Soraya (éditrice), Rafil Merzouk (étudiant), Rahmoun Tilelli (artiste, Paris), Rakem Hayet (étudiante), Ramdane Cherif Khalef (étudiant), Rekis Akli (étudiant), Rezki Mokrane (étudiant), Romane Hamid (dentiste), Roula Mokhtar (retraité), Saf Belaïd (étudiant), Saheb Karim (étudiant), Sahraoui-Mostefai Fatiha (avocat à la cour d’Alger), Saidi Amar (étudiant),

Saidj Mustapha (universitaire), Saidj Zohra (étudiante), Saidoun Yacine(universitaire), Salah Sofiane(étudiant), Salhi Md Brahim (universitaire, Tizi-Ouzou), Sebti Amirouche (universitaire), Si Youcef Moula (enseignant, syndicat Cnapest), Talbi Ghani(étudiant), Talem Mouloud (étudiant), Tarmoul Mohamed (fonctionnaire), Tighedine Méziane (étudiant), Timsiline Sonia (ingénieur), Toubi Khaled (étudiant), Toumi Said (fonctionnaire), Yefsah Smail (étudiant), Yessad Khellil (PES), Zeklal Sofiane (étudiant), Zerarga Fayçal (étudiant), Zoubiri Mohand (étudiant).

Messages de solidarité de l’étranger :

Simone Vermot (CGT espagnole), Jacques Morel ( In ESS, Strasbourg), Yollande Jaouani (professeur), Michel Garin (journaliste), Alexandre Faulx-Briole (consultant), Mariano Bona (membre de l’association Algérie au coeur, Grenoble), Christian Borg (retraité, militant antifasciste), Marie Annick, Jacques Clavier, Marc Khalfoune (auteur compositeur), Dominique Venturini (enseignante La Gravière 84160 Lourmarin France), Joseph et Elisabeth Brossea ( Montélimar en Drôme, France), Michel Dréan (aumônier de Centre Pénitentiaire 56530 Gestel, France , Suzannah Horowtz (journaliste).

Print Friendly and PDF

COMMENTAIRES  

30/03/2008 21:20 par leila

"Des chrétiens harcelés pour délit de prière" ?C’est une blague ?

L’évangélisation en Algérie Par Leila

En 1992, une guerre civile a ravagé l’Algérie. Connaissant le réflexe pavlovien des médias occidentaux face à l’islam, le pouvoir algérien a alors, pour expliquer les raisons de cette guerre, agité l’épouvantail de l’islamisme ; ainsi, il a pu recevoir l’assentiment de l’Occident à sa politique de répression. Les médias français qui ont mordu à l’hameçon ont imputé les tueries quotidiennes au seul fait des islamistes ; par contre, le régime corrompu et totalitaire, l’injustice sociale (la hogra), l’abus de pouvoir, le chômage, la répression et la frustration étaient vaguement mentionnés voire occultés [1].

Plusieurs années sont passées, des milliers de morts et de disparus, des blessures profondes et un peuple marqué à vie. Aujourd’hui l’Algérie, la Nedjma de Kateb Yacine, est une Algérie fragile, épuisée et en pleine convalescence.
L’opium et le bâton

Profitant de cette vulnérabilité, des prédicateurs évangélistes ciblant les peuples musulmans jettent leur dévolu sur l’Algérie.

Il ne s’agit pas ici de remettre en question le principe de la liberté de conscience et le choix de religion , qui est un des principes fondamentaux des droits de l’homme, mais de dénoncer des méthodes agressives et haineuses vis à vis d’une religion dont les portées sont stratégiques, économiques et politiques.

Cette stratégie d’évangélisation est conçue en dehors du clergé catholique et sans aucun lien avec ce dernier. Ces dernières années, l’église catholique s’est engagée loin de tout prosélytisme dans une démarche de rencontre fraternelle et respectueuse envers les musulmans. Elle appelle au dialogue interreligieux et considère les échanges comme un enrichissement de la connaissance et un approfondissement de sa propre foi.

L’évangélisation de l’Algérie fait partie d’une stratégie mondiale d’obédience néo-protestante américaine. Elle entre dans le cadre d’une croisade menée par les fondamentalistes évangélistes, les néoconservateurs et certains sionistes contre l’islam [2].

En Algérie, les évangélistes investissent le terrain de l’humanitaire et choisissent leurs cibles parmi les personnes les plus démunies ; des personnes se convertissant aux christianisme contre une somme d’argent (2000 DA l’équivalent de 20 euros), des promesses de soins médicaux ou de visas pour l’étranger : les chancelleries européennes accordent plus facilement des visas d’entrée à l’espace Schengen à tout demandeur algérien qui se proclame comme chrétien « persécuté », alors que ce précieux sésame est du domaine de l’utopie pour le citoyen lambda. Plus de 74% des personnes allant à la messe le font essentiellement pour profiter des aides financières des missionnaires [3].

L’une des actions récentes de l’église protestante à Constantine a visé des lycéens ; elle leur a proposé un soutien scolaire gratuit. En plus des cours proposés, les élèves ont reçu des CD, des livres et d’autres documents de propagande évangéliste [4] ; ce même scénario rôdé s’est répété cet été à Tiaret et dans d’autres villes. Le Quotidien d’Oran a évoqué cette affaire, dans la rubrique faits divers, avec une telle prudence et appréhension au point où les lecteurs n’ont rien compris au langage alambiqué du pigiste et à la signification de son article.

Les VRP du christianisme utilisent tous les moyens de communication pour transmettre leur message : radios, télévisions par satellite, livres, cassettes vidéo et audio, des traduction de la bible, ... [5].

Les méthodes d’évangélisation se sont modernisées sous la houlette des grandes boîtes de communication américaines et les échecs du passé ont été savamment analysés et exploités.

Les missionnaires utilisent une rhétorique avec un langage emprunté à la culture musulmane dans le but de tromper l’adversaire sur leur nature. Leur démarche est insidieuse et évite l’attaque frontale avec l’islam ; ils avancent cachés pour pratiquer la stratégie du caméléon afin de mieux phagocyter leurs victimes [6].

Cette christianisation n’est animée d’aucun sentiment religieux sincère. Son but est de créer des foyers de discorde au sein d’un même peuple afin de déstabiliser et d’affaiblir le pays pour le dominer facilement.

Le pouvoir américain suit avec attention l’évolution de ce phénomène, l’encourage, le finance et le protège.

Dernièrement le Congrès américain a donné son satisfecit à l’autisme adopté par le pouvoir algérien dans le dossier de l’évangélisation.

En effet, les autorités algérienne restent muettes face à ce phénomène. Cette réaction est révélatrice et montre bien la peur que ces derniers éprouvent face à d’éventuelles représailles de l’administration américaine.

La crainte de subir le même sort que Saddam Hussein ou de rejoindre l’« axe du mal » pousse tous les pouvoirs arabes à fermer les yeux sur cette guerre idéologique.
Diviser pour mieux régner

En Algérie, les missionnaires jouent la carte du régionalisme, un vieil héritage du colonialisme français. Ils concentrent leurs efforts sur les Kabyles et les touaregs (berbères du sud) tout en étant actifs dans le reste du pays.

Le kabyle, l’homme libre et rebelle de la montagne, a toujours refusé la soumission. Aujourd’hui, il s’oppose au régime répressif et réclame haut et fort une justice sociale et une vie meilleure dans le respect mutuel.

Malheureusement, les ennemis des peuples, les prédateurs, amateurs des eaux troubles, trouvèrent leur terrain de prédilection en l’Algérie.

La Kabylie est devenue une carte maîtresse entre les mains de ces rapaces qui veulent transformer cette région en une épée de Damoclès et l’utiliser comme moyen de chantage pour amener l’Algérie à plus de docilité et de servilité.

L’Amérique d’aujourd’hui, avec ses composantes fondamentalistes-chrétiennes et ultra-sionistes, est arrogante et haineuse ; elle cherche des terrains propices pour asseoir sa domination ; la religion pour ces VRP de la terreur n’est qu’un moyen comme un autre pour asservir les peuples, les exploiter et les piller.

[1] Françalgérie : Crimes et mensonges d’états
Histoire secrète, de la guerre d’indépendance à la « troisième guerre » d’Algérie
Lounis Aggoun et Jean-Baptiste Rivoire
Editions La Découverte 2004

[2] L’Axe de la guerre des civilisations - Sommet historique pour sceller l’Alliance des guerriers de Dieu par le Réseau Votaire (17 octobre 2003)

[3] Alger (AP), 15 mai 2004

[4] Quotidien Algérien le Jeune Indépendant, 16 août 2004

[5] Quotidien Algérien El Watan, 26 juillet 2004

[6] Quotidien Algérien El Watan, 27 juillet 2004

31/03/2008 18:02 par leila

Expulsion de l’ancien président de l’église protestante d’Algérie Ghlamallah évoque « la sécurité de l’Etat »

« On ne veut pas empêcher les gens de changer de religion. Mais nous disons aux reconvertis que l’Algérie est visée par les évangélisateurs. L’intérêt de la nation doit primer sur tout. L’essentiel, c’est de préserver notre patrie », a soutenu le ministre

http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5101388

31/03/2008 18:24 par leila

Je trouve cette pétition douteuse et personnellement je ne la signerai pas. D’ailleurs, j’aurai souhaité que le Grand soir se renseigne pour savoir qui est derrière cette pétition avant de la publier.

Il faut considérer les mots "démocrate" et "terroriste" avec beaucoup de précautions car on sait ce que signifient ces deux mots ici en occident :
"démocrate " = "avec nous (occidentaux) " et " terroriste" = " contre nous (occidentaux)"

Si on est démocrate et qu’on aime les « valeurs universelles », on doit imiter, plutôt singer, l’Amérique dans les moindres détails et désirer ses produits dont le « protestantisme évangélique ».

Pour vendre leur marchandise, les prosélytes instrumentalisent l’humanitaire :
« Nous sommes d’abord une organisation chrétienne et ensuite une organisation de secours. Nous ne saurions séparer les deux » avait affirmé le gourou évangéliste Franklin Graham.

« Nous (américains) devrions envahir leurs (les musulmans) pays, tuer leurs leaders et les convertir au christianisme » écrivait la néo-cons Ann Coulter éditorialiste de l’International Herald tribune.

Faut-il rappeler que le « protestantisme évangélique » est un pur produit made in USA ; il s’exporte aussi bien que le Coca-Cola, le Mac-Do ou le Marlboro.

J’approuve entièrement la fermeture des lieux de cultes chrétiens et musulmans qui sont hors la loi , fermeture décidée par les autorités algériennes et j’espère que l’Algérie va lutter efficacement contre ces nouveaux prédateurs.

31/03/2008 21:35 par leila

Pourquoi je ne signe pas la pétition et pourquoi je pense que cette pétition n’a pas sa place sur LGS

Parmi les signataires de la pétition figure M. Ferhat Mehenni, président du Mouvement pour l’autonomie de la Kabylie (MAK).

D’après un article publié dans Al Khabar, ce mouvement serait le « vivier de l’action évangéliste qui tendrait à isoler la Kabylie du reste du pays ».

Monsieur Ferhat Mehenni est aussi un ami du néo-conservateur français Guy Millière "Ferhat est mon ami " écrit Guy Millière, "Le combat des Kabyles pour rester eux-mêmes pourrait bien ressembler à notre combat à nous qui nés Français, nous trouvons soumis chaque jour davantage à une terreur sourde découlant de l’islam militant. Le combat des kabyles pour rester eux-mêmes ressemble au combat des juifs pour rester eux-mêmes malgré le racisme, les brimades, les humiliations, les tentatives de génocide. Le combat des Kabyles rejoint l’universalité puisqu’il y est question de la tolérance, de la liberté de parole, des droits fondamentaux de l’être humain." poursuit le néo-conservateur français (http://www.les4verites.com/Pour-Ferhat-Mehenni-270.html).

Invité à l’assemblé nationale française, Ferhat Mehenni déclare "Pour les Algériens, en général, Israël est, à coup sûr, le mal absolu érigé en Etat..Par conséquent, la guerre contre lui serait légitime et pourrait être considérée comme une guerre sainte dont la finalité qui est sa destruction, devrait aussi s’accompagner de l’extermination des Juifs. Ainsi, il n’est pas rare de rencontrer des individus regrettant qu’Hitler, en son temps, n’ait pu aller au bout de ses horribles projections...Lors d’une marche de protestation contre l’arrestation de quelques délégués populaires kabyles, un très grand carré de jeunes manifestants qui se faisait filmer devant l’hôpital de la ville, scandait en arabe, d’une seule voix : « Djich, chaab, maa-k a Sharon ! », c’est-à -dire, « l’armée et le peuple sont avec toi Sharon ! ». (http://www.makabylie.info/?article51).

Quand Ferhat Mehenni fut invité par TFJ, il s’est dit favorable à l’ouverture d’une chancellerie israélienne en Kabylie, dans la perspective d’une autonomie politique de cette région, il profita de cette occasion pour dénoncer le pouvoir français qui n’aide pas la kabylie qui pourtant, se bat pour les valeurs francophones et francophiles, voire occidentales.( http://matoub.kabylie.free.fr/ferhat-mehenni.htm )

(http://wLiens et affinités judéo kabyles : ww.afrique-du-nord.com/article.php3 ?id_article=648)

Qui est guy Millière : http://fr.wikipedia.org/wiki/Guy_Milli%C3%A8re

09/04/2008 13:07 par argaz

salut a tous,

Ce que vous nous chanter là , n’est que la voix de ton maitre ; le régime algérien ; En tant que kabyle vivant en kabylie je suis en désaccord avec les thèses de Ferhat. Mais au point que vous assimiler le glorieux peuple de la kabylie à un sécessionniste. Ce qui me frappe le plus c’est le mutisme de nos sois-disants ULEMA sur les événements
qui ont secoué toute l’Algérie durant quinze années. Pourquoi n’ont-ils pas dénonce la barbarie islamiste.. Ils sont tapis dans l’ombre à attendre des dividendes de leurs frérots.

sans rancune

01/04/2008 19:35 par Al byrouni

J’approuve les commentaires de leila, j’ajoute que les principaux signataires sont membres de groupes extremistes et racistes kabyles.
Ces conversions au christianisme évangeliste d’inspiration néo-conservatrice n’est pas le fruit d’un cheminement spirituel mais souvent dictées par un rejet de tout ce qui est arabe dont l’islam

04/04/2008 15:38 par abel

Cher Monsieur, les années 80 c’est du passé. pourquoi les algeriens n’auraient pas le droit à la liberté de conscience sans qu’on les taxe de je ne sais quoi !! on ne rejette pas l’islam mais on n’adhere pas à ses valeurs point c’est tout !
L’Islam me dicte de combattre les ennemis et Jesus Christ me demande de les aimer et de prier pour eux ; et t’a qu’à choisir ?

04/04/2008 21:42 par anis

Moi je dirais plutôt que s’il y’a un principal raciste ici ça ne peut être que toi Al byounci. Tu trouverais peut être normal qu’un Palestinien se batte pour sa survie et un Kabyle n’a pas droit ? Un arabe peut se convertir au Christianisme mais un Kabyle n’aurait pas le droit ? Tu trouves normal qu’il y’ait des arabes Chrétiens et tu ne supportes pas qu’il puisse y avoir des Kabyles chrétiens ? Où est la tolérance ici ? Où est la liberté démocratique ? Où est la liberté individuelle ? Où est la liberté de culte, qui pourtant est garantie par l’état ?

Message pour Leila

Leila il n’y a que toi qui vocifère ici, tu ne te soucis guère de savoir si la Kabylie a faim ou a soif, mais tu viens ici dénoncer ce qui t’est insuportable ; qu’un Kabyle quitte l’islam ? Tu prends les Kabyles pour un peuple naif qui ne sait pas où est son bien ? Tu te soucis plus de sa spiritualité qui ne te regarde en rien, plus que de savoir s’il a le ventre plein ? Aller qui que tu sois Leila, je suis prêt à mourrir pour toi pour que tu aies la liberté de choix de suivre Mohamed ou Aissa pour Arriver chez Allah car pour moi tous les chemins mennent à lui.

Pour votre gouverne à tous les deux, il n’y a pas que des Kabyles qui quittent l’islam, mais il y’a PLUS d’arabes qui quittent leur religion. Je suis très surpris de constater que vous ne relatez ici que les Kabyles. Mais la raison en est simple je lis entre les lignes de vos posts votre haine du Kabyle....si tout ceci n’est pas du racisme alors qu’est-ce que c’est ?

Laissez les Kabyles tranquilles croire en ce qu’ils veulent, vous nêtes pas leur bourreaux ou les gardes sceaux de leur croyance. Ils sont libres de croire en ce quoi ils ont envie de croire.
Arretez de jetter l’anatème sur les Kabyles, car eux ne s’occupent pas de votre sphère privée. Ils se battent même pour que voue en ayez une !

Les Kabyles ne sont ni racistes ni xénophobes, ils veulent juste être libres et ils se battent aussi pour toi Leila ou toi Al Biyounci.
Ne jettez pas de discrèdit sur le peuple Kabyle, si vous les suivez vos serez des gens libres et non enfermés dans sous une auréole bien coincée.

Si les Kabyles rejettent ce qui est arabo islamique ce n’est pas par racisme mais simpelement d’un point de vue politique, ils sont chez eux et ils sont opressés par une culture qui ne les définis pas, une langue qui n’est pas la leur, une spiritualité à laquelle ils sont forcés. Laisse l’homme être lui même et tout irra bien entre les hommes.

Piece brothers

05/09/2008 11:27 par karim

moi je suis pour la liberté biensur mais metre sayedna mohammad rassouloullah (SA S) et sayedna 3issa AS)dans ce probleme....il faut savoir une chose, le prophete 3issa à apporté un message d’amour et le dernier des prophete à aussi apporté un message d’amour et à tout remit en ordre....aussi le probleme kabyle n’est pas religieux les kabyles sont aussi des musulmans leur probleme est oppression pauvreté liberté...comme les palestiniens comme le peuple de chiapas au mexique et j’en passe....

29/06/2008 00:57 par larbi de ain lhadjel

quelle reflexion ?c idiot ? comment tu vois un signataire de la pétition pour les l
ibertés c un radicaliste ou un kabyle.....tu es borné monsieur ta place au moyen orient tu es un baatiste et raciste

13/10/2008 15:04 par nassim

allons mon frère , pourquoi cet acharnement pour les partisans de l’Algérie algérienne fondée sur les principes de la déclaration du 1 novembre 1954 et la plate forme du congré de la soumam.
vous deviez savoir que nous les nord africains , nous avons embrassé les trois religions monotéistes le judaisme, le christianisme et l’islam. notre identité est Amazigh ( nos racines) et notre personnalité est algérienne. donc nous sommes tous des algériens et personne ne peut prétendre le détenir c.ad l’algérianité.
donc libre à chacun d’utiliser la langue qu’il veut, de pratiquer la religion qu’il veut, ou est le problème.
pour une algérie meilleure et une démocratie majeure.
travaillons ensemble pour éradiquer la culture de la haine et pour inculquer aux générations à venir le sens de la fraternité , de l’unité quelque soit notre race, notre langue et notre religion
azul à toi d’Algérie

07/04/2008 19:46 par L'écrivain ALI BOUAZIZ /Allemagne

Je suis écrivain algérien exilé en Allemagne. J’adhère et je soutiens « l’Appel pour le respect des libertés » initié par des algériens conscients de la situation de mon pays.
Moi-même, j’ai quitté l’Algérie suite aux menaces policières, simplement j’ai dis la vérité. Je tiens à exprimer à tous mes concitoyens en Algérie mon soutien indéfectible. Par la même, j’appelle la mafia du pouvoir algérien à rendre le pouvoir aux citoyens.

La liberté ne peut être que toute la liberté ; un morceau de liberté n’est pas la liberté.

Je soutiens et je signe votre appel.

ALI BOUAZIZ ; écrivain algérien vivant en allemagne.
Mon site : http://www.ali-bouaziz.com

11/10/2008 10:34 par Anonyme

j’ai été victime de beaucoup d’injustices alors que je n’avais que 17 ans.aujourd’hui je suis triste que l’algérie souffre autant, pourtant c’est un trés beau pays si...

08/04/2008 20:03 par mouh d'ait-amar

bravo messieurs de la petition pour une algerie moderne et progressiste

01/11/2008 10:56 par Zakia CHENENNOU-MERAH

Ces revendications sont légitimes, je suis entièrement d’accord sur le principe qu’il faut respecter les droits de l’homme en Algérie, car les algériens, leur droits sont bafoués.

21/12/2009 05:18 par Homme libre

Je suis kabyle chrétien,pas pour 20 Euros,ou visa,mais parceque Jésus-christ est mon sauveur,et pour comparer les religions,il faut s’inspirer de ce proverbe :"on reconnait l’arbre à ses fruits",d’ailleurs,mes ancétres,avant la conquéte arabo-musulmane étaient chrétiens,mais ils se sont reconvertis à l’islam par l’épée"Essief" ;Donc tant mieux pour moi,si je vois la vie aujourd’hui autrement,"pousse avec eux".

12/02/2012 03:36 par kiaji2012

A Mme/Melle : Leila .. Je vous recommande d’ aller voire le film : LA NUIT A PEUR DU SOLEIL. Peut ètre que votre propre patronnyme s’ éclairera un peu plus ? Et ce, pas seulement sur les le prèches des Chretiens d’ Algérie, mais, AUSSI, sur la motivation de ces Sages illuminés : islamo-musulmans qui voudraient changer l’ ordre du Monde. Sans doute par leurs expériences réussis en Algerie... (entre-autres) Cordialement

(Commentaires désactivés)
 Twitter        
 Contact |   Faire un don
logo
« Informer n'est pas une liberté pour la presse mais un devoir »
© CopyLeft :
Diffusion du contenu autorisée et même encouragée.
Merci de mentionner les sources.