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Venezuela : Le Conseil de l’Europe choisit son camp

Le Conseil de l’Europe a adopté ce lundi 22 janvier une résolution visant à interdire le sol européen à 7 personnalités vénézuéliennes. L’UE choisit ainsi, en dépit du bon sens, de soutenir l’opposition violente et antidémocratique contre le processus de paix sociale engagé par le gouvernement.

Les personnalités concernées sont :
 Néstor Luis Reverol Torres : Ministre de l’Intérieur, de la Justice et de la Paix
 Gustavo Enrique González López : Directeur du Service d’Intelligence Nationale
 Tibisay Lucena Ramirez : Présidente du Conseil National Electoral
 Antonio José Benavides Torres : Chef du Gouvernement du District de la capitale
 Maikel José Moreno Pérez : Président du Tribunal Suprême de Justice
 Tarek William Saab Halabi : Procureur Général du Venezuela
 Diosdado Cabello Rondón : Vice-président du PSUV

En prétendant défendre la démocratie, L’Union Européenne montre, une fois de plus, qu’elle préfère soutenir les mouvements insurrectionnels à l’encontre de l’intérêt des peuples.

Christian RODRIGUEZ

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PALESTINE
Noam CHOMSKY, Ilan PAPPE
La question palestinienne est représentative de ce qui ne tourne pas rond dans le monde. Le rôle des États occidentaux et l’accord tacite de diverses institutions en font un cas très particulier de la politique actuelle. Les trois dernières offensives militaires d’envergure menées par Israël contre Gaza, entre 2008 et 2014, ont fait des milliers de morts du côté palestinien et donné lieu à de nouvelles expropriations de terres en Cisjordanie. Ces guerres de conquête israélienne ont (…)
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La contribution la plus importante d’Obama a été d’embellir, de vendre à l’opinion publique et de prolonger les guerres, et non de les terminer. Ils l’ont bien vu pour ce que sont réellement les présidents américains : des instruments permettant de créer une marque et une image du rôle des États-Unis dans le monde qui puissent être efficacement colportées à la fois auprès de la population américaine et sur la scène internationale, et plus précisément de prétendre que les guerres barbares sans fin des États-Unis sont en réalité des projets humanitaires conçus avec bienveillance pour aider les gens - le prétexte utilisé pour justifier chaque guerre par chaque pays de l’histoire.

Glenn Greenwald

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