Auteur Fabrice AUBERT

La ligne Maginot des conquis sociaux

Fabrice AUBERT
A toutes celle et ceux qui pensent que le gouvernement développe un raisonnement logique et argumenté contre les idéologues de la ’gréviculture’, je propose de chausser les « appendices de Galilée » pour remettre sur les rails, le « train déraillé » de la finance libre du « marché libre et non faussé ». L’article référencé synthétise une étude du B.C.G (Boston Consulting Group) peu susceptible de sympathie marxiste.... (…)

Antisocial : La guerre sociale est déclarée, de Thomas Guénolé

Fabrice AUBERT
Introduction : Il y a parfois des moments, où il est nécessaire de faire la promotion d’un livre, non pour le vendre, mais pour qu’il soit lu. Car ce qui compte dans le livre comme dans un journal, n’est pas le titre de propriété apparent que confère la dépense financière de l’achat, mais le rapport réel que confère sa lecture. Acheter un livre pour le stocker dans sa bibliothèque dévie l’utilité du bien pour le transformer en marchandise éventuellement spéculative, à l’image des tableaux. (…)
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Le passage à « la question »

Fabrice AUBERT
Présentation : Cela fait des années que je regarde des émissions politiques, présentées par les « journalistes libres » des « médias libres » de notre « système démocratique ». Et je pense qu’est venu le temps de dénoncer le plus fort possible le « jeu médiatique » auquel ces « marionnettes de pacotille » se prêtent. J’ai successivement regardé et écouté avec attention les dernières émissions dont les invités étaient successivement Alexis Corbières (F.I), Philippe Martinez (C.G.T) et Eric (…)
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Derrière la démographie, le désespoir social.

Fabrice AUBERT
Avertissement au lecteur : Cela faisait longtemps que je n’avais pas écrit de papier visant à démontrer une idée, tellement je considère que les éléments du quotidien sont suffisamment présents sur les « trottoirs du business ». Mais la démographie, dans une société est un élément essentiel, qui conditionne le devenir des sociétés. Alors j’ai repris ma plume « d’économiste marxiste » revendiqué, au sens où au-delà du concept de « lutte de classes », dont je ne parle pas, j’essaie, en ce (…)
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« Être militant » / On ne naît pas militant on le devient

Fabrice AUBERT
Je suis tombé sur un article paru sur Yahoo actualité, indiquant que Alexis Corbière, avait "fondu en larmes" devant un reportage sur les employés de Carrefour qui se battent contre un nouveau plan social... En lisant les commentaires accrochés et devant l'ignominie écrite, m'est venue l'envie impulsive d'écrire un texte qui cherche à expliquer que ce qui spécifie un militant, ce sont les larmes. Je précise que je ne connais pas Alexis Corbière, on n'a du (…)

Dans la jungle métropolitaine, « sois agile » mon fils / (fable pas si imaginaire que ça)

Fabrice AUBERT
Portant ma besace de troubadour, en Novembre, j'écrivais cette ballade, après avoir vu que le nouveau concept qui fait fureur dans le management, c'est celui "d'agilité". Nous sommes ainsi passé en 20 ans de la "flexibilité" (adaptation au poste de travail demandé par le management) à la mobilité (adaptation géographique du poste de travail, conduisant au "nomadisme salarial" permanent) à aujourd'hui le concept "d'agilité". (…)

Faire de nous des moutons

Fabrice AUBERT
POUR UN SERVICE PUBLIC DE LA SECURITE ROUTIERE Les dernières décisions sur la « sécurité routière », et notamment la limite à 80 km/h ont plusieurs objectifs que je vais tenter de synthétiser plus bas. Indiquons tout d’abord que l’objectif de sécurisation n’est pas du tout central.Soulignons que depuis plusieurs années, la baisse du nombre de morts et d’accidents est remarquable par simplement du point de vue absolu (graphique de gauche), mais surtout relatif, c’est-à-dire si l’on prend en (…)

Ce monde devenu insupportable…. mérite une Révolution

Fabrice AUBERT
Issu d'une catégorie sociale supérieure, en termes de facilité intellectuelle et d'études, je n'ai jamais supporté l'inégalité et les violences sociales qui lui sont attachées. J'ai eu la chance de faire du ski à l'âge de 5 ans, j'ai connu des vacances en Corse, découvert le ski nautique, la plongée-sous marine, la voile et tous les sports collectifs. Mais j'ai aussi contribué comme animateur socio-culturel et je me suis investi toute ma vie de manière (…)

En bas des tours du business

Fabrice AUBERT
Préambule : J’ai pendant des années développé dans des textes de nature technique une analyse du capitalisme, visant à démontrer la cause de ses déséquilibres, dénommés crises. Quelques-uns de ces textes sont parus dans les colonnes du Grand Soir. A force de répéter les mêmes analyses, j’ai cherché à écrire autrement, de manière plus littéraire. Le texte qui suit est une description tout juste romancée de la réalité de mon environnement de travail. En fait, chaque salarié peut voir les mêmes (…)
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Oui, c’est la rue qui fabrique la démocratie

Fabrice AUBERT
Il était une fois dans le Pays aux 5 Révolutions (1), un Président monarque, très mal élu (2), et qui sur terre, se faisait appeler Jupiter. Il voulut imposer des « ordonnances » tueuses de droits, dénonçant les « manifestations de rue », présentées comme non démocratiques. Faut-il rappeler à la médiacratie que sans les « manifestations de rue », la démocratie n’aurait jamais émergé dans aucun Pays au monde… Ce sont les révoltes d’esclaves de Spartacus, qui pour la première fois dans (…)
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Petit conte déjanté pour « des gens qui ne valent rien »

Fabrice AUBERT
Il était une fois dans un Pays d’essence Républicaine, un Président mal élu, gouvernant par ordonnances, se faisant rapidement appeler Jupiter, Il voulait voir les jeunes de son Pays « rêver de devenir milliardaires » en argent accumulé, pour « porter des costars » et créer des « start-up », Il expliquait son « mépris de classe » de manière ostentatoire : « Vous croisez des gens qui réussissent et d’autres qui ne sont rien ». Survient un jour plusieurs accidents graves qui paralysèrent (…)

La religion est-elle compatible avec la République ?

Fabrice AUBERT
Comment tenir le peuple ? REPUBLIQUE ET RELIGION ? Notre histoire fut, au-delà des gaulois, celle de la guerre des religions, et des conquêtes coloniales, menées au nom de la civilisation, que les populations ont chèrement payées (Algérie, Maroc, Vietnam et la moitié de l’Afrique). Il fallut attendre la loi de 1905 de séparation de l’église et de l’Etat, pour que la société commence à construire le temps de la politique, c’est-à-dire de l’organisation des institutions qui répondent aux (…)