Les libéraux ultras que les USA et l'Europe mettent en état d'épectase, nous trompettent à longueur de temps le bonheur de vivre sous la règle du "modèle allemand". Pourtant c'est fini et le Valhalla n'est plus un paradis. Les conditions de vie se précarisent mais le peuple semble indifférent. Dans un livre Hambourg Hambourg Hansaplatz N°7, Marie-Noëlle Rio nous décrit la chute amorcée de cet empire capitaliste. Elle rit dans un cimetière.
Un document interne du gouvernement fédéral a été transmis en exclusivité à NachDenkSeiten. Nous avons pu vérifier le document et nous connaissons également l'identité du lanceur d'alerte. Le document, dont nous donnons maintenant la deuxième partie, donne un aperçu de l'ampleur des structures horizontales et verticales de ce que l'on ne peut pas appeler autrement les tentatives de censure de l'État. Ainsi, les autorités fédérales n'associent pas seulement les groupes de médias sociaux occidentaux, les fournisseurs d'accès à Internet et notamment une fondation proche des Verts à leurs activités, mais prévoient également, dans le cadre de la "lutte contre la désinformation" non définie, l'intervention d'officiers de la jeunesse dans les écoles ainsi que l'instrumentalisation du centre éducatif Anne Frank. La deuxième partie des fuites de documents révèle également l'approche concertée d'une mise au pas narrative par le gouvernement fédéral. Par Florian Warweg.
Dans son livre Nazi Billionaires : The Dark History of Germany’s Wealthiest Dynasties, David de Jong explore les liens historiques entre le Troisième Reich et les actuels capitaines d’industrie allemands. Ce n’est pas seulement de l’histoire ancienne.
L’objectif à long terme de la Russie est d’arracher l’Europe à la domination de l’OTAN et des Etats-Unis – et au cours du processus, de créer avec la Chine un nouvel ordre mondial multipolaire centré sur une Eurasie intégrée économiquement.
Se désolidarisant de la doctrine offensive de Donald Trump, les sociaux-démocrates allemands plaident le refus du transport et du stationnement de ses bombes.
La crise politique à Berlin et à Erfurt s'aggrave Le 06/02 en Thuringe, a été élu le nouveau Premier ministre du Parlement du Land nouvellement composé après les élections. Ce qui s'est passé ce jour-là a déclenché une crise politique au niveau fédéral en Allemagne. Bodo Ramelow, du Parti de Gauche, n'ayant pas obtenu la majorité absolue lors des deux premiers tours de scrutin, le FDP (Parti des démocrates libre) a présenté Thomas Kemmerich comme candidat. Au troisième tour de scrutin, pour lequel une majorité simple était suffisante, il a obtenu exactement une voix de plus que Ramelow avec 45 voix.
L’ULB (Université Libre de Bruxelles) a cessé sa collaboration avec l’Institut Confucius. Selon les autorités universitaires, « cette collaboration était considérée comme pauvre, voire handicapante. L’intérêt décroissant de professeurs pour des collaborations à travers l’Institut, le faible retour sur investissement en temps, ressources humaines et logistiques de la part de l’ULB, l’absence de transparence dans le choix des enseignants et des projets financés constituaient autant de sources d’interrogation » (1). En résumé, « Trop peu de retombées et d’activités académiques » (2). Quand on creuse un peu, on s’aperçoit que les raisons avancées pour cette rupture sont plutôt des prétextes que de véritables motifs.