Refus gouvernemental borné d’écouter le peuple, résultats décevants du congrès CGT, reprise annoncée du « dialogue » entre la Première ministre, Laurent Berger et Sophie Binet ou urgence d’accélérer le renouveau du syndicalisme de classe et la reconstruction d’un parti communiste de combat
Fadi Kassem, Rachida El Fekaïr, Georges Gastaud, Gilliatt de Staërck, secrétaires nationaux du PRCF ; auxquels se joignent : Léon Landini, président du PRCF, adhésion au PCF 1942, ancien officier des FTP-MOI, médaille de la Résistance, Grand Mutilé de guerre, décoré par l’Union soviétique pour faits de Résistance, Officier de la Légion d’honneur ; Pierre Pranchère, vice-président du PRCF, ancien Franc-Tireur et Partisan des Maquis de Corrèze, Combattant volontaire de la Résistance, ancien député du PCF et membre de son Comité central ; Jean-Pierre Hemmen, vice-président du PRCF, fils de Fusillé de la Résistance, lui-même réprimé pour avoir refusé de porter l’uniforme quand l’OTAN était commandée par un général issu de la Wehrmacht nazie ; Hermine Pulvermacher, ancienne secrétaire générale du Groupe parlementaire communiste, ancienne FTP-MOI, chevalier de la Légion d’honneur au titre de la Résistance.
Fadi Kassem, porte parole de l'alternative rouge et tricolore, fait le point sur la dangereuse situation de fascisation et de destruction du pays sous l'action commune des Macron Le Pen et sous les ordres de l'Union Européenne du Capital. Une résistible situation pour peu que la résistance s'organise, vise les causes et propose ainsi la construction d'une alternative apte à convaincre, à rassembler et donc à gagner.
Après une vie militante bien remplie et relativement longue, sous parvenons parfois à être surpris par les analyses de certains de nos camarades. Quand nous disons surpris c’est un euphémisme pour ne pas dire ahuri, consterné, accablé, atterré.
Retranscription de l’intervention en visioconférence de Rémy HERRERA du 6 novembre 2020 lors du débat organisé pour le centenaire du PCF.
Les trois questions posées initialement étaient :
- Pourquoi une rupture avec le capitalisme ?
- Pourquoi le choix d’une alternative socialiste ?
- Quelles leçons tirer de la Chine, du Vietnam, de Cuba ?
Lettre ouverte du Pôle Renaissance communiste en France (PRCF) à l’adresse du PCF
À chacun de juger s’il a « en lui quelque chose de Tennessee », comme le chantait jadis Johnny Hallyday : ce qui est sûr en tout cas, c’est que tous les Français, y compris les anticommunistes les plus sots, portent sur eux sans s’en douter la carte du Parti communiste français !
Dans "Les Grandes Gueules", une émission de RMC qui est un vomissoir, un inculte haineux a affirmé que, pendant la seconde guerre mondiale, les membres du Parti Communiste Français ne s’étaient pas comportés en héros mais plutôt en collabos. Voilà où nous en sommes. De dérive en dérive, d’une négation l’autre et dans l’indifférence, l’histoire est gommée et les héros victimes d’une deuxième mort. Attendez-vous à savoir, par le truchement d’une thèse très savante que, finalement, Jean Moulin était à Lyon le vrai patron de la Gestapo.