« La guerre et le commerce ne sont que deux moyens différents d’arriver au même but : celui de posséder ce que l’on désire » Benjamin Constans
Les Torys, leurs bailleurs de fonds milliardaires et leurs courtisans dans les médias grands publics parlent rarement de la ’lutte des classes’ parce qu’ils sont trop occupés à la mener.
Le pilonnage contre le Révolution Bolivarienne fait rage sur tous les fronts à la fois. Comme cela se passe ailleurs, c’est l’artillerie informative qui confère à l’agression son caractère massif, cherchant à conditionner la population, sujet et objet du phénomène “opinion publique”. Parmi les nombreux objectifs de guerre identifiables dans l’attaque contre le Venezuela, le plus vulnérable est probablement l’Arc Minier de l’Orénoque (AMO), un plan de régularisation de l’exploitation minière décrété par le gouvernement national en février 2017.
La communication médiatique occidentale sur le XIXème congrès du Parti communiste chinois a été affligeante. L’attention a presque exclusivement porté sur les “marionnettes du spectacle”, sur un seul homme et les spéculations à propos de l’hypothétique étendue de son pouvoir. Toutefois ce congrès ne portait pas sur la personne de Xi Jinping mais sur les changements et les défis fondamentaux du plus grand pays au monde. Mais nous n’avons pas appris grand chose à ce sujet, sinon quelques clichés éculés.
L'Assemblée Nationale vient d'adopter en première lecture le projet de loi de transition énergétique. Examiné en procédure accélérée de façon totalement anti-démocratique, ce texte prévoit rien moins que la privatisation des barrages hydroélectriques, démantelant un peu plus le secteur public de l'énergie, pour répondre aux exigences de libéralisation imposées par les traités européens. Bien sûr nous n'avons pas attendu ce texte pour appeler à combattre la libéralisation du secteur de l'énergie, et dénoncer la privatisation des barrages hydroélectriques :