Une analyse minutieuse, lente, exhaustive et détaillée du phénomène du terrorisme tel qu’il a été qualifié, paradoxalement non défini mais néanmoins désigné comme un adversaire protéiforme et décentralisé par la propagande officielle universelle de 1991 à 2018 démontre que ce fut le dernier recours de ceux qui perdaient rapidement leur influence globale dans les différentes régions géopolitiques du monde.
Enquête inédite sur un attentat oublié. Bruxelles : Investig’Action, 2021.
On trouve dans plusieurs pays des Instituts Confucius, établissements culturels publics à but non lucratif qui dispensent des cours de chinois sous l’inspection des ministères de l’éducation des pays hôtes. Il existe également des Instituts Goethe pour l’allemand, ou Cervantes, pour l’espagnol, l’association Dante pour l’italien, etc.
Le mardi 4 août 2020 au matin, j’ai failli avaler mon café de travers en entendant déclarer sur les ondes de la RTBF (Radio Télévision Belge Francophone) que la situation au Xinjiang « a créé des tensions très importantes qui ont amené les Ouïghours à se soulever à plusieurs reprises, souvent de façon locale et de façon anecdotique. Mais ces soulèvements ont été qualifiés par l’État chinois d’actes terroristes. » De qui sont ces propos ? De Mme Vanessa Frangville, titulaire d’un doctorat en études chinoises de l’Université Lyon 3 et maître de conférences et titulaire de la chaire d'études chinoises à l'ULB (Université libre de Bruxelles).
Il y aura bientôt 19 ans que le journaliste Jacques-Marie Bourget a été victime d'une d'une tentative d'assassinat par un soldat israélien. A Ramallah un "sniper" qu'il l'aligne et lui colle une balle dans le poumon gauche à deux doigts du coeur. Inutile de décrire les séquelles et l'impossibilité de se retourner contre Israël, état au-dessus du droit. Aujourd'hui c'est le gouvernement français qui est son adversaire et refuse d'appliquer une décision du TGI de Paris qui le reconnait comme "victime". Ainsi pour l'état Macron un journaliste en zone d'insécurité est un non-être humain. Même pas question d'appliquer la Convention de Genève.
"Pas d'argent pour la terreur"... quelle farce sanglante. A Paris vient de se tenir un énorme happening international visant à dépister et dénoncer les sources financières qui alimentent le terrorisme. Et il y avait là, bien sûr, tous les Etats voyous qui, comme de juste, ont financé et financent encore des engeances comme Daesch ou Al Qaïda. Mais comme ils achètent du matériel militaire et attaquent la Syrie, les yeux restent clos sur leurs mortelles turpitudes.