Devenus imbattables en matière de falsification, les experts du courant dominant occidental préfèrent passer sous silence les réalités ou les chiffres qui les dérangent plutôt que de mettre en évidence les 27 millions de morts de la Russie soviétique face aux 290 000 morts décomptés par l’armée étasunienne (sur les 12 millions de GI’s engagés sur le front occidental). Ni vu, ni entendu, ni lu…
Pourquoi l'effondrement de la biodiversité provoqué par le capital est plus grave que le dérèglement climatique ? En quoi l'héritage soviétique peut nous fournir des solutions concrètes ? Comment font-ils pour le taire ?
Un Corps expéditionnaire de 8000 hommes pour aider « Les Blancs », nanti d'une volonté sans faille, fut mise en place par le Département d'Etat US il y a exactement 100 ans après avoir coupé officiellement les relations diplomatiques avec la Russie, ce après quoi les Américains ont débarqué à Vladivostok. Ce fait détermina le commencement d'une pleine intervention à grande échelle des pays de l'Entente dans une Russie elle-même en proie à le Guerre civile. Les Archives de RIA rappellent la mémoire des militaires "oubliés" dans le « Primorye » russe.
Et je veux faire référence à l’article de RT sur cette question. Son titre en dit long. « 27 millions de citoyens soviétiques ont perdu la vie en combattant les nazis, les Occidentaux qui comparent l’URSS à l’Allemagne hitlérienne insultent leur mémoire ».
Par Léon Landini Président de l’Amicale des Anciens Francs-Tireurs et partisan de la Main d’œuvre Immigrée des Bataillons Carmagnole- Liberté de la région Rhône-Alpes. (Unité à propos de laquelle Charles Tillon a déclaré : « Carmagnole-liberté, un des plus beaux fleurons, si ce n’est le plus beau fleuron de la Résistance armée française »). Officier de la Légion d’Honneur. Médaille de la Résistance. Interné de la Résistance. Grand Mutilé de Guerre suite aux tortures endurées lors de son arrestation. Décoré par le gouvernement de l’Union Soviétique au titre de la Résistance. Président du Pôle de Renaissance Communiste en France (PRCF)
Voici un article dont certains éléments étaient déjà connus, en particulier la déclaration de Gorbatchev en Turquie, mais comme je le décris dans mes mémoires, j’ai pu observer les conditions du remplacement des dirigeants européens dont l’article dit qu’elles faisaient partie d’un plan. J’en suis arrivée à la même conclusion, tant je voyais se répéter le même scénario de la Pologne à l’Italie en passant pas la Hongrie, et bien sûr la France. Mais je dois dire que je ne l’ai perçu pleinement que quand j’ai été confrontée à ce dont était capable la CIA à Cuba et en Amérique latine ; en Europe, il était plus difficile d’en prendre conscience (note et traduction de Danielle Bleitrach).
Le président russe offre une évaluation complète de l’héritage de la Seconde Guerre mondiale, en affirmant que "Aujourd’hui, les politiciens européens, et les dirigeants polonais en particulier, souhaitent balayer la trahison de Munich sous le tapis. La trahison de Munich a montré à l’Union soviétique que les pays occidentaux allaient traiter les questions de sécurité sans tenir compte de ses intérêts".