Un site d’information polonais indépendant, Niezaleizny Dziennik Polityczny, propose un article intéressant sur les pertes polonaises subies durant la guerre en Ukraine.
(*) "Qui est coupable ?" Avec quelques jours de décalage dus à une traduction laborieuse, la mise en place de liens minutieuse et d'une typo permettant une lecture aussi claire et agréable que possible, voici, encore une fois, une analyse implacable et détaillée par MoA des récents évènements en mer Baltique. Du temps de l'empire romain, il était coutume de dire que tous les chemins mènent à Rome. Et bien aujourd'hui, ils mènent tous à Washington où se trouvent les véritables ennemis du genre humain, les vrais criminels, les seuls terroristes. (XP)
Récemment, le New York Times, comme beaucoup d’autres médias occidentaux, a changé de langage pour parler du bataillon fasciste ukrainien Azov.
Ce qui était autrefois « une organisation paramilitaire néonazie ukrainienne », dont le FBI a dit qu’elle était connue pour son « association avec l’idéologie néonazie », a d’abord été qualifié d’« extrême droite » avant de devenir « une unité normale de l’armée ukrainienne ».
Ca n’enlève rien à l’immense problème que représente l’évasion fiscale, mais Moon of Alabama remarque que de scandale en scandale, les révélations tendent à éclabousser des personnalités que Washington a dans le collimateur, mais font systématiquement l’impasse sur les grandes fortunes EU. Plus propres que les autres ? En fait, ces révélations proviennent d’organismes financés en grande partie par Washington. Ainsi, quand on voit la tête de Poutine apparaître en grand – il n’est pas directement impliqué – ou quand on voit le peu de volonté politique pour s’attaquer à l’évasion fiscale, on se dit que d’autres objectifs pourraient être poursuivis à travers tous ces scandales. (IGA)
Hier, les États-Unis, le Royaume-Uni et l’Australie ont annoncé que ce dernier pays achèterait des sous-marins à propulsion nucléaire pour défendre les intérêts des États-Unis contre la Chine :