L'état espagnol est une dictature franquiste depuis 1939, avec ravalement de façade par la constitution de 1978. A l'époque tout a changer pour que rien ne change et ceux qui dénonçait l'arnaque finissaient emprisonnés, torturés, assassinés, leurs partis politiques dissouts, leur journaux fermés comme Egin, etc. Ces dernières années suite à l'approbation de la “ ley mordaza ” (une sorte de loi Avia espagnole) beaucoup de chanteurs ont été condamné. Quoi de plus logique dans un état en crise légitimité entre les scandales de corruption des Bourbons et la politique anti populaire des gouvernements successifs ceci lors d'une crise majeure du capitalisme.
Les ministre des affaires étrangères du Venezuela, Delcy Rodriguez et de Bolivie David Choquehuanca ont été agressés physiquement par la police antiémeute du président argentin Mauricio Macri alors qu'ils tentaient d'entrer au ministère des affaires étrangères argentin où se tenait une réunion du Mercosur.
Le Commandant en chef Fidel Alejandro Castro Ruz vient de mourir, le 25 Novembre, 60 ans jour pour jour après avoir embarqué sur le Granma depuis le Mexique pour libérer Cuba. Aujourd'hui il s'embarque de nouveau pour lutter dans un autre monde. Nous le Peuple Cubain, les Peuples du Monde, ainsi que tout les Révolutionnaires, Guérilléros et Communistes du monde ne l'oublierons jamais, ses idées et son legs sont immortel.
Le 5 janvier avait lieu l'inauguration de la nouvelle assemblée nationale du Venezuela, la ressemblance avec le Carmonazo (tentative de coup d'état des contre-révolutionnaires en 2002) fut frappante. On ne reviendra pas sur les élections législatives et la campagne de l'opposition (votez pour nous ou la guerre économique continuera). Voici le récit de cette journée.
Le texte ci-dessous, s’il souffre d’une traduction perfectible, donne une idée du ton qu’un journaliste peut adopter pour parler du président élu de son pays : l’Equateur.
A comparer avec le léchage de botte de nos journalistes envers le président Sarkozy.
Pour les distraits et les amnésiques, précisons que l’individu que le journaliste ne nomme pas autrement que "le Dictateur" est Rafael Correa, président de l’Equateur et que l’épisode évoqué est celui d’une tentative de putsch et d’assassinat à son encontre.
Le Grand Soir.
Depuis quelques heures c’est la folie contre Correa, les articles fusent qualifiant un verdict judiciaire d’atteinte à la liberté d’expression, etc.
Quatre prévenus (Emilio Palacio le "journaliste" et trois responsable du journal El Universo : Carlos Eduardo Pérez Barriga, César Enrique Pérez Barriga et Carlos Barriga Nicolas Perez) ont été condamnés à trois ans de prison et 40 millions de dollars d’amende (10 millions par responsables du journal et 10 millions par le journal) pour diffamation pour la publication d’un article (No a las mentiras) dans le journal El Universo.