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L’hôpital, ça a un coût.

A 20h, les habitants des immeubles applaudissent les "soignants". Parfait ! Ca fait un but dans la journée, ça ponctue les heures, c’est agréable. Toutefois, est-ce que les soignants vont se satisfaire de ce battage d’air sur le balcon ? Il faudrait en plus signer cette attestation :

- mes impôts j’accepterai d’augmenter
- plus jamais je ne défiscaliserai
- dans un paradis fiscal jamais ne placerai
- les cotisations sociales de mes employés avec joie je paierai
- l’URSSAF je bénirai
- les droits de succession j’accepterai sans chercher des combines pour y échapper.
- payer l’ISF je chérirai
- au crédit impôt recherche de mon laboratoire je renoncerai
- sans CICE je redresserai mon entreprise, avec la même dévotion que les soignants
- mes dividendes je demanderai qu’on abaisse pour participer à l’effort d’après guerre.

Sans ces promesses fermes, les applaudissements ne serviront qu’à vous faire plaisir.

La mémoire populaire ne doit pas oublier qu’on a demandé aux mineurs (de charbon) de se décarcasser pour redresser la France et qu’ensuite on leur a fait tirer dessus aux fusils. Les soignants peuvent se méfier de cet enthousiasme intéressé et qui ne coûte rien.

(Léa Salamé, de France-Inter, propose une prime aux infirmiers. Hé oui, les bourgeois donnent "un petit sou" aux domestiques méritants. Par contre, aux entrepreneurs indépendants on filera 1500€/mois pour ne pas travailler... Dans quelle opérette vivons-nous ?)

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LA TYRANNIE DU BIEN VIEILLIR
Martz Didier, Michel Billé
La tyrannie du Bien Vieillir, voilà bien un paradoxe ! Il faut être un peu iconoclaste pour aller s’en prendre à une si belle idée, qui fait si largement consensus : « bien vieillir ». Bien vieillir, qui pourrait être contre ? Qui ne le souhaiterait pas pour soi-même et pour autrui ? Qui oserait affirmer préférer vieillir mal ? C’est que le désir de bien vieillir de chacun sans trop d’inconvénients est devenu un slogan qui anime les cercles politiques, court dans les maisons de retraite, envahit les (...)
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(...) quelqu’un a dit il y a vingt ans : "vous pouvez croire tout ce qu’on raconte sur cet homme, sauf qu’il est mort".

(...) Ce lieu sera pour toujours un témoignage de lutte, un appel à l’humanisme. Il sera aussi un hommage permanent à une génération qui voulait transformer le monde, et à l’esprit rebelle et inventif d’un artiste qui contribua à forger cette génération et en même temps en est un de ses symboles les plus authentiques.

Les années 60 étaient bien plus qu’une période dans un siècle qui touche à sa fin. Avant toute chose, elles ont été une attitude face à la vie qui a profondément influencé la culture, la société et la politique, et a qui a traversé toutes les frontières. Un élan novateur s’est levé, victorieux, pour submerger toute la décennie, mais il était né bien avant cette époque et ne s’est pas arrêté depuis. (...)

Avec une animosité obstinée, certains dénigrent encore cette époque - ceux qui savent que pour tuer l’histoire, il faut d’abord lui arracher le moment le plus lumineux et le plus prometteur. C’est ainsi que sont les choses, et c’est ainsi qu’elles ont toujours été : pour ou contre les années 60.

Ricardo Alarcon,
président de l’Assemblée Nationale de Cuba
Allocution lors de l’inauguration de la statue de John Lennon à la Havane, Décembre 2000

Le DECODEX Alternatif (méfiez-vous des imitations)
(mise à jour le 19/02/2017) Le Grand Soir, toujours à l’écoute de ses lecteurs (réguliers, occasionnels ou accidentels) vous offre le DECODEX ALTERNATIF, un vrai DECODEX rédigé par de vrais gens dotés d’une véritable expérience. Ces analyses ne sont basées ni sur une vague impression après un survol rapide, ni sur un coup de fil à « Conspiracywatch », mais sur l’expérience de militants/bénévoles chevronnés de « l’information alternative ». Contrairement à d’autres DECODEX de bas de gamme qui circulent sur le (...)
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Médias et Information : il est temps de tourner la page.
« La réalité est ce que nous prenons pour être vrai. Ce que nous prenons pour être vrai est ce que nous croyons. Ce que nous croyons est fondé sur nos perceptions. Ce que nous percevons dépend de ce que nous recherchons. Ce que nous recherchons dépend de ce que nous pensons. Ce que nous pensons dépend de ce que nous percevons. Ce que nous percevons détermine ce que nous croyons. Ce que nous croyons détermine ce que nous prenons pour être vrai. Ce que nous prenons pour être vrai est notre réalité. » (...)
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Je vous transmets le bonjour très affectueux de plus de 15 millions d’Équatoriennes et d’Équatoriens et une accolade aussi chaleureuse que la lumière du soleil équinoxial dont les rayons nous inondent là où nous vivons, à la Moitié du monde. Nos liens avec la France sont historiques et étroits : depuis les grandes idées libertaires qui se sont propagées à travers le monde portant en elles des fruits décisifs, jusqu’aux accords signés aujourd’hui par le Gouvernement de la Révolution Citoyenne d’Équateur (...)
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