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En Uruguay, la justice donne 48 heures à Pfizer pour dévoiler le contenu chimique de son vaccin anti-covid

La Justice uruguayenne a exigé ce 4 juillet que les termes des contrats signés avec Pfizer soient rendus publics sous 48 heures et que le laboratoire étasunien fournisse les composantes chimiques de son vaccin.

Les ennuis commencent pour Pfizer en Amérique latine. Alors qu’une nouvelle vague covid est annoncée dans presque tous les pays d’Europe, le géant étasunien risque gros en Amérique du Sud où la justice d’un pays exige qu’il dévoile le contenu de son vaccin. C’est du moins l’information que notre média a obtenue ce lundi de plusieurs sources fiables.

En effet, d’après le média Telesur, la justice uruguayenne a exigé lundi 4 juillet que le gouvernement de ce pays dévoile les contrats signés avec le géant pharmaceutique. Selon les informations obtenues par ce média, la décision du juge Alejandro Recarey s’explique par une plainte déposée par des parents qui demandent toute transparence avant que leurs enfants ne soient vaccinés.

« Le magistrat demande à connaître les termes de la négociation et s’il existe des clauses d’indemnité ou d’impunité. Au même moment, le décret exige que soient divulguées les informations sur la composition biochimique des vaccins contre le Coronavirus », rapporte Telesur.

L’information a été confirmée par le média uruguayen, M24.com.uy. D’après cette source, ce mercredi 06 juillet à 9H00, les autorités sanitaires du pays sont convoquées pour s’expliquer sur les termes des contrats signés avec Pfizer, mais également sur le contenu du vaccin qui sera bientôt administré aux enfants de ce pays.

Il faut dire que si la justice venait à dévoiler les termes des accords signés avec Pfizer, ce serait un coup dur pour le laboratoire étasunien qui refuse catégoriquement de fournir quelconque information sur ses vaccins. D’ailleurs, c’est l’une des conditions qu’il impose aux États.

En tout cas, à peine révélée, l’affaire commence déjà à faire grand bruit sur les réseaux sociaux.

»» https://reseauinternational.net/en-uruguay-la-justice-donne-48-heures-...
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