Note au modérateur : le paragraphe sur FD (quoique véridique) pouvant déboucher sur un procès, voici une version de mon commentaire expurgée.
> Xiao, Roubachoff et tuttifrutti
Dans la mesure où l’expression « masturbation enfantine » est centrale au débat qui m’oppose à Xiao, nous ne pouvons pas faire l’économie d’en parler.
Et dans son commentaire du 12/06/2023 à 17:22 Xiao m’a aimablement transmis 3 liens.
Le premier déclare que « La stimulation volontaire liée à une recherche de plaisir apparaît habituellement plus tard durant la petite enfance ; toutefois, le comportement demeure très sensoriel et n’entretient pas la même connotation que chez l’adulte. »
Well, je serais assez d’accord, surtout avec la fin de la phrase.
Le deuxième lien évoque des « comportements masturbatoires » à propos d’une fillette qui, au moment de la sieste, frotte ses jambes ensemble, se recroqueville sur elle-même, a des tremblements, sa pression monte et son visage devient rouge... L’expression comportements masturbatoires me laisse songeur, mais poursuivons...
Le troisième lien débute avec une citation de Freud, gage de sérieux... : « Dès 1905, c’est Freud, dans son ouvrage Trois essais sur la théorie sexuelle, qui affirme l’existence de pulsions sexuelles « partielles » présentes dès les premiers âges. » :
Anne-Laure Sanna, psychologue, explique : « La sexualité infantile chez les enfants a pour but la découverte de son corps. Les enfants découvrent leur propre corps, la différence des sexes. Souvent, ce mot fait peur car les adultes y mettent des images d’adultes. Mais la sexualité infantile n’a rien à voir avec la sexualité adulte. »
J’approuve la fin, mais La sexualité infantile aurait pour but la découverte de leur corps ?,.. Je ne comprend absolument pas...
Cela dit, les 3 liens ont en commun un élément positif : les messages s’adressent aux parents, il s’agit de les éduquer à ne pas s’inquiéter. Cela me va.
Indice No1 : là où les uns s’efforcent d’éduquer les parents, l’OMS propose de « structurer les contenus éducatifs » pour les enfants qui « doivent recevoir certaines informations sur la santé affective et sexuelle ».
L’OMS vise les enfants, une cible diamètralement opposée aux parents.
Nonobstant les préoccupations de ces psychologues, et pour faire face à tout argument d’autorité, je fais appel à Régis Brunod, pédopdsychiatre, et auteur entre autres ouvrages de « Préserver l’innocence des enfants ».
Et il n’y va pas avec le dos de cuillère.
Tirer sur son zizi, explorer avec son doigt, sucer ses doigts de pieds, tripoter le sein de sa mère, ce n’est pas de la masturbation, c’est de la sensorialité.
Indice No2 : Le terme masturbation est un terme d’adulte. C’est largement corroboré par les liens de Xiao, mais peut-on échapper à l’usage de la novlangue.
Apprendre la sexualité aux enfants...
R. Brunod nous explique ;
On projette la sexualité des adultes dans le monde de l’enfance sur de prétendus critères scientifiques. Alors qu’il n’en existe absolument aucun démontrant que le développement de la sexualité chez l’enfant suivrait un mécanisme différent des autres.
Les bébés naissent avec des bras et des jambes, des yeux, des organes vocaux, digestifs, sexuels... et le système nerveux pour les piloter.
Il leur faudra pourtant des années pour marcher, voir de loin comme de près, parler, digérer autre chose que le lait maternel, et ressentir un orgasme ne fait pas partie des priorités de ces années d’apprentissage...
Pour arriver à marcher, le bébé devra d’abord apprivoiser son système vestibulaire, son sens de l’équilibre, tenir son axe... Qui le leur apprends ? Personne.
Personne ne peut le faire... Les bébés apprennent par eux-mêmes, en observant, en absorbant, et à coup de tentatives répétées.
Tout ce que nous pouvons faire, c’est les encourager avec affection.
Découvrir son corps, un bébé le fera à travers le lien affectif qu’il a avec les câlins de sa mère, et de son père,.
Indice No3 :il est totalement illusoire que des adultes puissent apprendre quoi que ce soit sur leur corps aux jeunes enfants et aux bébés.
Chacun d’eux a un temps de maturation. Il faut se contenter d’en regarder l’avancement pour ne pas passer à côté d’un problème éventuel.
Toute idée de concevoir des cours de « découverte du corps » devrait être prohibée.
A la suite d’interprétations hasardeuses des écrits de Freud s’est imposée l’idée d’une sexualité présente d’emblée chez l’enfant. D’où les préconisations actuelles de l’OMS pour une éducation sexuelle dès le plus jeune âge.
Au contraire, il apparaît que la sexualité suit un mode de développement semblable aux autres secteurs du développement neuropsychique avec, en particulier chez l’enfant, la nécessité de certaines acquisitions antérieures (les prérequis).
Sont ainsi réfutées les justifications avancées par nombre de prédateurs pédophiles. Et se pose alors la question des dangers d’une éducation sexuelle imposée aux jeunes enfants, qui ne sont en fait pas encore concernés : l’enfant éduqué pouvant être juridiquement considéré comme complice, consentant à une relation pédophile.
Indice No4 : Il serait irresponsable de sous-estimer l’utlisation abusive -dans tous les sens du terme- pouvant être faite d’une éducation sexuelle aux enfants.
1 enfant sur 10 serait victime d’attouchements sexuels en France, sans compter les cas de dissociation et d’amnésie... Un nombre qui ne peut pas être attribué aux seuls curés ou aux chefs scouts.
Il y a cour de récréation, et cour de récréation.
Les adultes ont les leurs, les clubs privés, les bars et autres boîtes de nuit...
Les enfants aussi ont les leurs, avec leurs jeux, leurs histoires drôles, et les moments où un grand va leur apprendre que le Père Noël n’existe pas.
Ou leur apprendre qu’il y a d’autres choses à faire avec sa zigounette, des choses beaucoup plus amusantes, que de jouer à celui qui pisse le plus haut contre un arbre.
Faire les mouvements pour atteindre l’éjaculation, ou les « pâmoisons »... Les enfants finiront par entendre la recette, mais s’il s’agit de gamins de maternelle qui se livrent à des séances de fellation dans les toilettes de l’école, la question à se poser, c’est d’où ça vient, où ont-ils appris cela ?
Ce n’est pas de la sexualité infantile, ces enfants sont dans l’imitation d’une chose qu’il ne comprennent pas, qu’ils ne peuvent pas comprendre, ils en resteront désorganisés.
Et que l’on ne vienne pas nous dire, voilà, la preuve est faite, les enfants ont une sexualité précoce.
Indice No5 : Les adultes ne jouent pas au même niveau, ils ne doivent pas s’imposer dans les cours de récréation des enfants.
L’instruction peut commencer. A qui profite le crime ?
– Comment se fait-il que l’on mette des enfants en contact avec des drag-queens au moment où ils adorent se déguiser ? (en la matière, la France n’est pas le centre du monde)
– Comment se fait-il que l’on mette des ados en contact avec des trans au moment où ils sont mal dans leur corps ?
– Pourquoi le Planning familial relaie la théorie du genre, importée des US, qui nie la biologie au seul bénéfice des cliniques et fournisseurs de traitements hormonaux, tout en poussant les victimes dans la catégorie sociale la plus encline au suicide post-opératoire ?
A qui profite ce dogme du sexe dès la naissance, dogme qui a contribué à déclencher l’invasion de la « pornographie douce » dans les productions cinématographiques et musicales, les médias imprimés, télévisuels, radios et internet, les jeux vidéos avec les ados qui se passent les codes pour déshabiller des héroïnes qui n’ont déjà pas grand chose à cacher...
En suivant la piste de l’argent, nous retrouvons nos « usuals suspects ». Les GAFAM.
Avec un petit bonus pour la fondation Gates qui profite du chiffre d’affaire décuplé pour les labos et les cliniques.
Avec la manipulation ultime des enfants : « c’est vous portez la responsabilité de protéger les grands-parents »... A eux d’accepter un (pseudo) vaccin, avec des doses pour adultes, contre une maladie qui ne les concernait pas. Alors qu’il s’est avéré plus tard que cette hypothèse était totalement infondée, les injections n’ayant jamais ne serait-ce que ralenti la maladie.
Et on remet le couvert quelques mois plus tard sur l’éducation sexuelle.
C’est juste choquant, masques et injections obligatoires pour les enfants lors de l’épisode COVID, initiation à la sexualité : l’intrusion du monde des adultes dans celui des enfants se déroule avec les mêmes acteurs, les mêmes promoteurs, concepteurs et financiers sans que cela n’eveille la moindre méfiance...
Pensez donc, il s’agit d’éveiller la tolérance et l’égalité des sexes... C’est écrit, donc c’est vrai.
Toujours présenter de bonnes intentions fait partie du mode opératoire, néanmoins il est paradoxal de parler sexualité à un enfant, ou lui montrer des images à caractère sexuel tant que l’enfant n’a pas déveleppé les outils affectifs cognitifs pour comprendre la sexualité, ne serait-ce que lui en parler fait effraction dans son pschychisme et crée un traumatisme.
L’atteinte aux enfants est la meilleure façon de modifier les comportements de la société en profondeur, car ce sont les plus fragiles.
Qu’ont-ils vu ces dernières années... Une crise sanitaire qui a selectionné les essentiels et les non essentiels, ceux qui pouvaient boire un café au bistrot du coin, et des sous-citoyens que le Président a bien envie d’emmerder.
Pendant la récré, les gamins ont été assis dans des cases de 2mX2m pour ne pas se toucher, et en portant un masque sans arrêt, pour rien... Et voilà que débarque une loi interdisant de retirer ses enfants de l’école... !?
Tout cela sous les yeux de parents paumés, acceptant pour la plupart que leurs enfants deviennent les objets d’un système étatique fou...
Comme si un machin géré par O.Véran et E.Macron pouvait être bienveillant...
Ce chaos, c’est leur normalité.
Après la destruction des corps avec les vaccins, place à la destruction des esprits avec les injonctions contradictoires, l’éducation, les jeux, les médias, les drogues... Il suffit de tirer la ficelle des financements et des retombées financières.
Ne laissons pas envahir les rares espaces où le pouvoir appartenait aux enfants, celui de grandir sans avoir à écouter ce que disent les adultes. C’est ainsi que les enfants apprennent à se libérer de l’influence de leurs parents, de leurs professeurs, à devenir autonomes.
Des adultes autonomes, ce ne serait pas la dernière chose que souhaitent les Gates and Co...