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Ce que fut la colonisation (2) : Les jours de mai funeste de l’Algérie

« On a tué, massacré, violé, pillé tout à l’aise dans un pays sans défense, l’histoire de cette frénésie de meurtres et de rapines ne sera jamais connue, les Européens ayant trop de motifs pour faire le silence (...). Rien n’est plus contraire aux intérêts français que cette politique de barbarie. » Jean Jaurès citant Clémenceau (Chambre des députés, 27 mars 1908)

Dans cette deuxième partie de notre récit sur ce que fut la colonisation, nous allons revenir rapidement sur la situation qui prévalait à la veille de l’invasion coloniale. Après la chute de Grenade en 1492, les puissances ibériques (Espagne et Portugal), se renforcent économiquement et militairement. Les Espagnols s’emparent de plusieurs ports du littoral algérien et obligent les villes de Ténès, Mostaganem et Cherchell de payer tribut, Alger livra l’île qui contrôlait sont port. Alger ou El-Djazaïr était un petit port peuplé d’environ 20.000 habitants, sa population s’est accrue fortement avec l’arrivée des Juifs et des Maures expulsés d’Andalousie après la chute de Grenade. Après avoir achevé la Reconquista en 1492 avec la chute du dernier bastion en possession musulmane : l’Émirat de Grenade, le cardinal Ximenès, inquisiteur de la Cour d’Espagne porte la Croisade au coeur des petits États barbaresques. Les Espagnols annexent plusieurs villes côtières : Mers El Kébir en 1505, Oran en 1509 et Bougie (Béjaïa) en 1510.

S’il est vrai que l’Algérie a été occupée sous la période ottomane, il faut cependant rendre justice à Khier Eddine Barberousse qui a sauvé l’Algérie d’une christianisation forcée comme ce fut le cas des Incas et des Aztèques. Pizzaro a fait ses premières armes sur les côtes algériennes.. De plus, Khier Eddine fut le premier à délimiter les frontières de l’Algérie actuelle, notamment à l’est la province de Tabarka payait tribut et faisait allégeance à la Régence d’Alger qui eut souvent à rentrer en guerre avec la Régence de Tunis. Et on apprend que cette dernière a pendant plus d’un siècle « envoyé l’huile à la Mosquée d’Alger afin que la lumière ne s’éteigne jamais ».

A l’ouest, Khier Eddine suivit la division romaine entre la Maurétanie césarienne et la Maurétanie tingitane par le fleuve Moulaya « Flumen Malva Dirimit Maurétanias duas », le fleuve Moulaya divise les deux Maurétanies. Il a fallu attendre le traité de Lalla Maghnia en 1845, pour que la France rectifie la frontière au profit du royaume du Maroc, le prix de la félonie étant de déclarer la guerre à l’Emir Abdelkader. Khayr ad-Din repousse les attaques espagnoles sur les différentes villes. C’est l’acte de naissance de la Régence d’Alger. La ville d’Alger devient un grand port de guerre qui gagne au fil des expéditions étrangères la réputation de « bien gardée » (en arabe). La domination de la mer lui permet de repousser plusieurs attaques provenant d’un certain nombre de pays européens, à commencer par celle menée par Charles Quint en octobre 1541.

Par ailleurs, l’Algérie imposait aux différentes flottes pénétrant en mer Méditerranée un impôt, avec protection contre toutes attaques de pirates ou de pays tiers. La liste des pays ayant souscrit à cet impôt : Royaume-Uni : 267.500 francs, France : 200.000 francs, États-Unis : 125 000 dollars par mois. En 1536, l’amiral français Bertrand d’Ornesan unit ses douze galères françaises à une petite flotte ottomane appartenant à Barberousse à Alger, faite d’une galère ottomane et de 6 galiotes, et attaque l’île d’Ibiza, dans les Baléares. Après le siège de Nice, François Ier propose aux Ottomans de passer l’hiver à Toulon. La cathédrale de Toulon servit aussi de mosquée. Bien plus tard, le 18 octobre 1681, le Dey d’Alger déclare officiellement la guerre à Louis XIV. En 1682-1683, l’amiral français Abraham Duquesne commande par deux fois le bombardement d’Alger, et força le Dey à restituer tous les esclaves chrétiens. La paix fit ensuite conclue avec le Royaume de Louis XIV. Elle devait durer plus d’un siècle.

Suite à l’indépendance des États-Unis en 1776 que la Régence d’Alger fut la première à reconnaître - Condelezza Rice »secrétaire d’Etat des Etats-Unis »à remis, il y a quelques années »à notre ambassadeur aux Etats-Unis, une copie de la lettre de reconnaissance des Etats-Unis par la Régence d’Alger- , le Sénat américain décide de proposer un « traité de paix et d’amitié avec les États de Barbarie » dont un avenant sera paraphé le 5 septembre 1795 à Alger puis de nouveau le 3 janvier 1797. Un traité similaire sera signé avec le Bey de Tunis. Le traité est ratifié et paru dans le Philadelphia Gazette le 17 juin 1797. L’article 11 de ce traité indique que : « Considérant que le gouvernement des États-Unis n’est en aucun sens fondé sur la religion chrétienne, qu’il n’a aucun caractère hostile aux lois, à la religion ou à la tranquillité des musulmans et que lesdits États-Unis n’ont jamais participé à aucune guerre ni à aucun acte d’hostilité contre quelque nation mahométane que ce soit, les contractants déclarent qu’aucun prétexte relevant d’opinions religieuses ne devra jamais causer une rupture de l’harmonie régnant entre les deux nations ». Il a été rédigé par John Barlows, consul général des États-Unis à Alger.

Cependant, La Régence fut constamment attaquée, notamment après le congrès de Vienne, où l’Europe se mit d’accord pour réduire la Régence, l’expédition américaine de 1815 et celle que conduisent les Marines britannique et hollandaise sur Alger en août 1816, ces dernières subirent de grandes pertes et sont empêchées d’accoster sur Alger. L’Affaire de l’éventail entre le pacha turc Hussein Dey et le consul français Pierre Deval, le 30 avril 1827, est le casus belli de la guerre déclarée par le Royaume de France à la Régence d’Alger, qui déclenche le blocus maritime d’Alger par la marine royale française.

En 1827, donc, le Dey n’était pas encore remboursé du million qu’il avait prêté à la France, sans intérêts, trente et un ans auparavant ! Bien plus, du fait des dettes de Bacri, le Dey risquait fort de ne jamais toucher un sou. Ainsi, sous couleur de satisfaire ses réclamations, on avait « rendu légale sa spoliation ». Le Dey d’Alger était ainsi « magnifiquement » récompensé de l’ardeur qu’il avait mise à faciliter le ravitaillement de la France affamée par l’Angleterre. (1)

L’invasion : La fin d’un monde

Le 14 juin 1830, le général de Bourmont débarqua sur le sol algérien à Sidi Fredj. L’armée coloniale livra les 19 et 24 juin les deux batailles de Staoueli. L’état-major français bénéficie d’un plan de débarquement, Reconnaissance des forts et batteries d’Alger, dressé par l’espion Boutin envoyé par Napoleon en 1808. Après des combats difficiles, le Dey n’eut plus qu’à faire sauter le fort l’Empereur à l’explosif. Dans l’acte de reddition signé par de Bourmont il est dit que l’armée ne s’ingerera pas dans les choses de la religion »et sauvegardera »les lois et coutumes des vaincus.

Pourtant, le 7 juillet, ordre est donné d’évacuer la Casbah. Ce sera la première violation du Traité de capitulation conclu deux jours auparavant seulement. La pièce d’artillerie - Baba Merzoug pour les Algériens - la « Consulaire » pour les envahisseurs, est expédiée à Brest le 27 juillet 1833. C’est ce canon qu’une association souhaite récupérer sous l’indifférence apparente des autorités. La conquête jamais achevée sera âpre, rude et violente, longue de plus d’un siècle, au cours duquel émergeront le Bon, la Brute et le Truand : des généraux partisans de l’ethnocide des théoriciens de la colonisation, défenseurs de l’expropriation des indigènes, et des missionnaires qui n’avaient de cesse de faire retrouver à l’Algérien son substrat originel chrétien après avoir enlevé la gangue musulmane. Car le cardinal Lavigerie recommandait de christianiser les Algériens ou de les refouler loin dans le désert...

Au nom de la France, et au nom de la religion, imaginons une armée qui s’installe par le droit du plus fort, qui tue, viole, pille, ruine de paisibles citoyens pour la rapine mais aussi, et rapidement pour installer des colons qui avaient tous, à des degrés divers, une vie ratée derrière eux. Ces colons par la force des Bugeaud, et autres sinistres Rovigo, devinrent des maîtres, les agioteurs se mirent de la partie et on détruisit à qui mieux mieux un Alger qui a mis des siècles à sédimenter pour mettre à sa place la civilisation. Des cimetières furent profanés, notamment ceux des Deys et les os furent éparpillés sans respect pour les morts, nous dit l’archiviste Albert Devoulx. Nous allons dans ce qui suit, citer quelques sinistres personnages dont les noms continuent encore - nostalgie oblige -à être ânonnés par des Algériens Deux mois après l’invasion et au mépris des promesses de De Bourmont, le général Clauzel, qui symbolisera pour les Algériens la spoliation légale et la malhonnêteté, violera l’engagement. Il inaugure la politique de privation et de confiscation des biens habous qui permettront à de nombreux officiers de s’emparer de terres algériennes. C’est le début de la colonie de peuplement.

Les bourreaux sans honneur qui ont martyrisé les Algériens : Bugeaud, Clauzel, Rovigo, Saint Arnaud….

Des stocks d’or et de bijoux constituant le trésor de La Casbah furent pillés par des intendants généraux sans être inquiétés malgré la dénonciation d’officiers français comme Berthezene : « On est venu que pour piller les fortunes publiques et particulières, on m’a proposé de faire ou de laisser faire, de laisser voler les habitants parce que c’est autant d’argent importé en France ; enfin, d’obliger les habitants à déserter le pays pour s’approprier leurs maisons et leurs biens. » L’imagination déchaînée et bestiale des premières décennies de la conquête sera « très riche ». On payera des spahis à 10 francs la paire d’oreilles d’un indigène, preuve qu’ils avaient bien combattu. « Un plein baril d’oreilles récoltées paire à paire, sur des prisonniers, amis ou ennemis » a été rapporté d’une expédition dans le Sud par le général Yusuf.

Les enfumades et massacres des mois de mai 1845 et 1945

A partir de 1832, une nouvelle ère de la colonisation commence. C’est la guerre d’extermination par enfumades et emmurements, l’épopée des razzias par la destruction de l’économie vitale, la punition collective et la torture systématique. En avril 1832, la tribu des Ouffia, près d’El Harrach, fut massacrée jusqu’à son extermination. Le butin de cette démonstration de la cruauté coloniale que le Duc de Rovigo a laissé commettre, fut vendu au marché de Bab Azzoun où l’on voyait « des bracelets encore attachés au poignet coupé et des boucles d’oreilles sanglantes », comme en témoigne Hamdane Khodja. La guerre de Bugeaud -Le sobriquet »«  bouchou  » terrorisa des générations d’enfants »- fut une guerre d’épouvante, c’est le premier usage, connu, de la guerre non conventionnelle pratiqué par une armée régulière sur le territoire algérien.

« Si ces gredins se retirent dans leurs cavernes, imitez Cavaignac aux Sbéhas ! Enfumez-les à outrance comme des renards. » »s’exclame Bugeau. Justement, le 11 juin 1844, Canrobert évoque ce fait d’armes, auquel il a personnellement participé, un an auparavant.« J’étais avec mon bataillon dans une colonne commandée par Cavaignac. Les Sbéahs venaient d’assassiner des colons et des caïds nommés par les Français ; nous allions les châtier. Dans la falaise est une excavation profonde formant grotte. Les Arabes y sont, et, cachés derrière les rochers de l’entrée, [...] A ce moment, comme nous nous sommes fort rapprochés, nous commençons à parlementer. On promet la vie sauve aux Arabes s’ils sortent. (..) On pétarda l’entrée de la grotte et on y accumula des fagots, des broussailles. Le soir, le feu fut allumé. Le lendemain, quelques Sbéahs se présentaient à l’entrée de la grotte demandant l’aman à nos postes avancés. Leurs compagnons, les femmes et les enfants étaient morts. Telle fut la première affaire des grottes.

En 1845, un siècle avant les massacres du 8 mai 1945 et son lot de plusieurs milliers de victimes, le général Cavaignac avait inauguré »l’ancêtre de la « chambre à gaz » que le colonel Pellisier utilisera pour mater l’insurrection des Ouled Riah dans le Dahra. Ainsi, les villageois de cette bourgade s’étaient réfugiés dans des grottes des montagnes avoisinantes pour échapper à la furie des soldats. Ils furent enfumés par « des fagots de broussailles » placés à l’entrée-sortie des grottes. Le soir, le feu fut allumé. Le lendemain, au moins 500 victimes furent dénombrées. Les insurgés avaient pourtant « offert de se rendre et de payer rançon contre la vie sauve », ce que le colonel refusa. Un soldat écrit : « Les grottes sont immenses ; on a compté 760 cadavres ; une soixantaine d’individus seulement sont sortis, aux trois quarts morts ; quarante n’ont pu survivre ; dix sont à l’ambulance, dangereusement malades ; les dix derniers, qui peuvent se traîner encore, ont été mis en liberté pour retourner dans leurs tribus ; ils n’ont plus qu’à pleurer sur des ruines. » Après ce massacre,

Pélissier fait mine de consciences inquiètes : « La peau d’un seul de mes tambours avait plus de prix que la vie de tous ces misérables. » Saint-Arnaud fera mieux que Cavaignac et Pélissier. Le 8 août 1845, il découvre 500 Algériens qui s’abritent dans une grotte entre Ténès et Mostaganem (Aïn-Meran). Ils refusent de se rendre. Saint-Arnaud dont Victor Hugo a dit qu’il avait les états de service d’un chacal, ordonne à ses soldats de les emmurer vivants. « Je fais boucher hermétiquement toutes les issues et je fais un vaste cimetière. La terre couvrira à jamais les cadavres de ces fanatiques. Personne n’est descendu dans les cavernes. Personne que moi ne sait qu’il y a dessous 500 brigands qui n’égorgeront plus les Français. »

La politique de terre brûlée devait amener une vingtaine d’années plus tard les famines qui ont vu la mort de centaines de milliers d’Algériens, au point qu’il a fallu 50 ans pour que la population algérienne retrouve le chiffre de 3 millions d’habitants qu’elle avait en 1830.

Bien plus tard les crimes de masse de mai 1945 sont une autre tâche sur la conscience de la France : comme exemple de violence absurde, certains militaires, juchés sur des toits de wagons de chemin de fer, arrosaient à la 12.7 tous ceux qui passaient à leur portée. Ce furent d’ailleurs parfois des troupes coloniales africaines qu’on utilisa pour accomplir la sinistre besogne. Il n’y a jamais eu aucun acte de repentance pour les massacres perpétrés le 8 mai 1945 non seulement à Sétif mais aussi à Guelma et à Kherrata... Le général Duval le « boucher du Constantinois : « Je vous ai donné la paix pour 10 ans, si la France ne fait rien, tout recommencera en pire et probablement de façon irrémédiable. »

En définitive, après l’invasion, l’armée n’a pas tenu parole, le peuple fut humilié, déstructuré, dépossédé de sa terre (60% des bonnes terres étaient détenues par 10.000 colons qui est un apartheid avant celui des colons de l’Afrique du Sud. De plus, l’administration coloniale mit la main sur les fondations pieuses (Habous) qui entretenaient les mosquées et les zaouïas, ce qui tarit du même coup la source de financement de l’enseignement qui, pour Venture de Paradis, était développé dans l’Alger d’avant la conquête. Au total, en 1863, sur les 173 mosquées d’Alger, il restait à peine une douzaine, toutes les autres furent démolies ou aliénées, certaines furent converties en écuries... Ces quelques phrases, extraites du rapport parlementaire de la commission dirigée par Alexis de Tocqueville en 1847, témoignent de la violence du choc civilisationnel : « Autour de nous, les lumières de la connaissance se sont éteintes... C’est dire que nous avons rendu ce peuple beaucoup plus misérable et beaucoup plus barbare qu’avant de nous connaître. » Voilà un échantillon de l’oeuvre positive de la France.

Chems Eddine Chitour

1. G. Esquier : La prise d’Alger 1830. Paris & Alger, E. Champion & l’Afrique latine, 1923

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