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Faisant suite à : « Etre capable de "s’adapter" et "d’évoluer" en permanence… »

Le néolibéralisme est-il la forme la plus aboutie de la mort du capitalisme ?

Préambule : Certaines personnes font encore usage de schémas de pensées, raisonnements mots et formules, totalement obsolètes... Peut-on dire de Pinochet, qu’il était libéral ? Evidemment non, Pinochet était un dictateur sanguinaire, à la tête d’un groupe d’assassins et de tortionnaires..., qui ne furent (hélas) jamais jugés (et tout particulièrement ce dictateur, qui pu échapper à un procès devant les tribunaux internationaux et nationaux – pour les crimes, assassinats et tortures qu’il avait fait subir au peuple chilien –, grâce à la complicité active de Madame Thatcher et à la veulerie du "travailliste" Tony Blair). Dans cet article comme dans le précédent, il est question de * néolibéralisme (ou ultra-libéralisme), et non de **libéralisme... ni même de savoir qui peut prétendre être "libéral"... Le contexte pourrait éventuellement faire la différence ? Bien que la question soit importante, elle ne sera pas traitée dans le présent article.

* que l’on peut commodément rattacher à globalisation, puisque le néolibéralisme, malgré le foisonnement de définitions individuelles, serait une pensée collective ?! Collectivisme, certes, mais uniquement devant « la loi du marché » ou « le droit naturel »...

** la « "démocratie" libérale » et « les libéraux conservateurs » Hayek, Reagan, Thatcher etc. (dont la devise est : « Propriété, famille et valeurs occidentales »), les « anarcho-capitalistes » (une branche « libertarienne » made in USA, qui prône entre-autre, « le droit naturel », « le minarchisme » etc.) ; le libéralisme serait donc, une soi-disant philosophie qui n’aurait pas de clivage gauche-droite..., alors qu’en son sein il a quand même un courant « libéraux de gauche » ?!, et que ce "courant", comme "le courant conservateur", prône (en partie) « le droit naturel », et qu’il a même des accointances avec « l’Ordolibéralisme », un néolibéralisme à la sauce allemande, si cher aux chancelier(e)s Schröder et Merkel ?! Allez comprendre...

C’est pour cela que je disais du néolibéralisme (ou ultra-libéralisme), que sa philosophie et sa religiosité, (qu’il partage d’ailleurs en grande partie avec son ancêtre « le libéralisme », – et tous ses avatars), ne sont pas forcément assimilable à une "idéologie" au sens exact du mot... (voir plus bas)

Une personne me reproche de ne pas développer l’intitulé du titre : « Etre capable de "s’adapter" et "d’évoluer" en permanence... », et se questionne à propos de : « mais s’adapter de quoi et évoluer vers quoi ? »... pour répondre à cette question, je recommanderai à cette personne de lire les articles, livres et travaux divers cités dans la bibliographie au bas de l’ébauche diffusée sous le titre : « Etre capable de "s’adapter" et "d’évoluer" en permanence... », et dans la foulée, de lire les propres bibliographies parues dans ces articles, livres et travaux divers... qui au demeurant, ne concerne que le néolibéralisme (ou ultralibéralisme), la réponse y sera peut-être inscrite ?!

Une autre personne me reproche de confondre la Russie et la Chine avec l’Empire étasunien (???) Soit c’est de la mauvaise foi... soit cette personne parle plus vite que "son ombre" ! Car, si je me réfère à un article récent paru sur l’un des sites que « les valeurs occidentales » abhorre, censure et boycotte violemment, parce qu’il ose parler librement de la Chine, de la Russie et des BRICS ! (il faudrait d’ailleurs inclure dorénavant dans le groupe des BRICS : la Syrie et l’Iran (et j’ajouterai le Liban, la Turquie, et demain la Grèce ?)...), il est écrit ceci : « ... En outre, dans le cadre de la Coopération de Shanghai et des pays des BRICS, l’axe Pékin-Moscou est occupé à la planification des plus grands projets de croissance économique de l’histoire moderne – la construction de l’Eurasie et de l’infrastructure de Moscou à Vladivostok, et ensuite vers le Sud de la Chine et de l’Inde. ... » est-ce plus clair ?

Le néolibéralisme en tant que tel..., c’est une soumission totale et inconditionnelle à « la loi du marché » ou au « droit naturel » ! Seul le marché est capable d’organiser la vie sociale "réelle" (la réalité... selon la grille de lecture du « bréviaire néolibérale »... où il est fortement question de l’un des nombreux « non-dit » de la "philosophie" néolibérale : « la cupidité » !... (def. désir immodéré de gains et de richesses), ainsi que dans * tous les compartiments de la vie, mais tout particulièrement l’accumulation de richesses selon « la loi du marché » ou « le droit naturel » !...

De l’individu à l’Etat, car ce dernier (contrairement aux anarcho-capitalistes et aux libertariens) n’est pas l’ennemi, mais bien plutôt une conquête incontournable, pour instituer, partout où c’est possible, de nouveaux marchés, selon « la loi du marché » ou « le droit naturel » bien entendu.

L’individu n’a pas à réfléchir car le marché s’en charge pour lui... Ses seuls indicateurs, références et vraie "boussole", restent les indices boursiers (ou « loi de l’offre et la demande »), ...

Le rôle de l’Etat se limitera en grande partie, à orienter (suggérer et influencer) les masses populaires, vers cette vérité première : « seul le marché est apte à résoudre les problèmes ! »

* y compris familiaux, amoureux ou amicaux !

Le néolibéralisme n’est pas une idéologie au sens exact du mot, mais plutôt * une nouvelle forme de religiosité !, car l’individu néolibéral est par essence ignorant, et doit éviter de se poser de question ontologique !, ce serait vain... car son ignorance le guidera vers « la loi du marché » ou « le droit naturel » !

* c’est à dessein que j’ai employé dans la première partie cet article, les mots « religiosité » et « nouvelle religion », car la "philosophie" ou/et le bréviaire néolibéral, s’articule essentiellement sur ce qu’il faut bien appeler un enseignement scolastique ; et contrairement à ce qui est dit ici où là, le mot « idéologie » ne convient pas tout à fait, car dans le cas du néolibéralisme, cette "philosophie" a plutôt l’aspect d’une « théologie » et d’une « logique scolastique »..., il n’y a qu’a se référer aux méthodes et à l’argumentaire néolibérale pour s’en convaincre...

Désir de posséder toujours plus !, et prise de risque :

Concept, paradigme et axiome néolibéraux : La volonté de s’enrichir et de dominer grâce à « la loi du marché » ou au « droit naturel », supplanteraient toutes autres aspirations humaines, car selon la grille de lecture néolibérale, celles-ci ne seraient pas réelles..., ainsi qu’un comportement pulsionnel lié au « désir de consommer » en adéquation à « la loi du marché » ou au « droit naturel », (toujours déçu puisque jamais satisfait !...), ni cet axiome néolibéral : « Il n’y a pas de droit inhérent à la pauvreté... ni de droits fondamentaux !, car si les pauvres sont pauvres c’est parce qu’ils le veulent bien ! Seule la prise de risque peut améliorer leur situation sociale » et donc : « Si les pauvres sont pauvres c’est de leur faute, car ils ne prennent aucun risque ! », voilà le fond de commerce du néolibéralisme. Le néolibéralisme ne prône pas le travail et les études comme LE moyen d’accéder à l’enrichissement personnel ; celui qui s’enrichit en jouant en bourse, et gagne beaucoup d’argent sans effort ni connaissances spéciales, est forcément le plus méritant à posséder et à accumuler tout cet argent. C’est là, la grande différence entre l’économie capitaliste « classique » et le système financier néolibéral ou globalisation financière.

Globalisation et Empire étasunien

Il est faux, ou pire naïf, de croire que l’on peut s’opposer à la globalisation étasunienne (c’est-à-dire à l’Empire, via « la loi du marché » ou « le droit naturel »..., car chacun sait que le nerf de la guerre c’est *l’argent, et que la Réserve Fédérale étasunienne (Federal Reserve System ou « FED ») en use et en abuse en faisant tourner la planche à billet à tout berzingue ! Ce qui a pour conséquence immédiate, de créer de la monnaie de singe « Monkey Business ». Avec cet argent bidon, les gouvernements étasuniens successifs (quel que soit sa couleur politique d’ailleurs) peuvent s’offrir à crédit, la paix sociale (« le fameux "rêve américain" », mais à deux vitesses... un rêve pour les riches, et un autres pour les pauvres...), peuvent se payer (toujours à crédit !) des budgets absolument colossaux, pour défendre leurs intérêts géostratégiques et leur commerce (armes et marchandises) les parts de marché, ainsi que leur (soi-disant) sécurité (toujours bien loin de leurs propres frontières !), faisant la guerre et espionnant le reste du monde !... Toute cette "puissance" délirante au détriment des autres nations, y compris de leurs chers alliés européens, (« ces cons ! », si l’on se réfère aux déclarations méprisantes envers l’Europe, de certain(ne)s de leurs dirigeant(e)s).

* surtout et y compris, quand on s’octroie le privilège d’imprimer sa propre monnaie, comme c’est le cas pour les Etats-Unis, et que cette monnaie (le roi dollar, est une arme redoutable) est la référence (et malheureusement, certainement pour encore un moment ?!) en ce qui concerne le commerce intérieur et extérieur (les échanges commerciaux internationaux, surtout énergétiques, et la vente d’armes), ainsi que les circuits financiers parallèles, très utile au financement d’opérations spéciales, d’assassinats ciblés, d’enlèvements, d’emprisonnements et tortures (en dehors de toutes juridictions pénales internationales – et/ou cadre juridique – comme c’est le cas à Guantànamo par exemple), en un mot : « la guerre secrète sans fin » contre « le reste du monde »... (voir plus bas)

Le peuple et la Nation américaine peuvent vivre "libre" et très largement au-dessus de leurs moyens réels (une dette abyssale qui sera certainement prise en charge par « le reste du monde » ou qui ne sera jamais remboursée !...), puisqu’avec leur papier monnaie (une monnaie éminemment hégémonique) ils alimentent les circuits financiers dans la logique de l’économie financière néolibérale globalisée (de l’usure pure et simple, puisqu’il s’agit de faire de l’argent avec de l’argent).

Ce deal est de plus en plus contester par le reste du monde !

Mais qui oserait contester la suprématie et l’hégémonie de l’Empire, sachant que cette contestation risque d’aboutir à la destruction d’une grande partie de l’Humanité ?
D’ailleurs, tous les Etats souverains qui osèrent défier l’Empire américain, furent immédiatement menacés d’asphyxie économique (sanctions économiques, pénalités et tracasseries administratives en tous genres) ou de représailles guerrières (attaques informatiques et bombardements massifs, assassinats, meurtres et/ou enlèvements d’opposants, l’élimination des contestataires à la suprématie étasunienne, activation de cellules d’activistes contrôlés par l’Empire en vue de commettre des actes de sabotage, de l’agit-prop (les "révolutions" colorées et les soi-disant "printemps arabes", en sont les meilleurs exemples) ou bien des actes terroristes sur le sol et territoires visés (mais pas que !) Une guerre secrète sur toute la planète...une guerre sans fin ! (Dirty War)..., et bien souvent les Etats récalcitrants subirent les deux à la fois !

Des guerres perpétuelles... mais à crédit !

Des guerres et des pillages d’Etats soi-disant insoumis (et/ou en disgrâce), un peu dans le style des rapines et expéditions punitives de nos lointains ancêtres, sans que les propriétaires des biens et des richesses spoliés ne puissent protester, et encore moins se défendre ; et pour cause, c’est du brigandage à la manière maffieuse : un doigt sur le gâchette du flingue appuyé sur la tempe, et la formule rituelle... « une proposition qui ne se refuse pas ! » ou sinon c’est une pluie de bombes, de missiles... qui détruirons massivement et en priorité, les infrastructures civiles, qui tuerons et blesserons des milliers de civils innocents. L’impérialisme le plus brutal, le plus infâme qui soit... le retour du capitalisme primaire, mais avec des armes ultra-sophistiquées.

L’imposition par tous les moyens possibles et imaginables de la "religiosité" néolibérale (ou ultra-libérale), façon américano-anglo-israélienne (et selon « les valeurs du camp occidental »), et en arrière fond, le fameux paradigme : « la guerre de tous contre tous », éminemment criminogène !

Mais ces trois Etats, ainsi que leurs complices du camp occidental, savent que pour l’instant, ils ne seront (hélas) pas inquiétés... car le monde entier sait qu’ils sont en majeure partie, les vrais fauteurs de trouble mondiaux !

PS : les derniers évènements en Grèce (la victoire du OXI), démontrent (pour la énième fois), que la dette des Etats, est une arme dirigée exclusivement contre le peuple et les "petits" pays (européens ou pas), que la démocratie, la liberté, etc., ne sont (dans la rhétorique des dirigeants des puissances occidentales) qu’un gadget, dont l’objectif est d’amuser le peuple et les dirigeants des "petits" pays (européens ou pas), et que les "grandes" puissances et leurs instances dirigeantes (inutile d’en faire l’inventaire, elles vous sont toutes parfaitement familières ?!) les utilisent à des fins stratégiques... et qu’il ne sera jamais question d’en tenir compte !

La preuve ?... selon * Juncker, l’actuel président de la commission européenne (c’est tout dire !, fut aussi (entre-autre) maître d’œuvre de la mise en place de l’un des plus efficaces paradis fiscaux européens : le Luxembourg) déclara : « ...il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens... ». La démocratie, oui, mais à la (seule) condition de pouvoir s’asseoir dessus (comme ce fut le cas en France (mais pas que, puisqu’en Hollande (le pays, pas le président "normal" ) le peuple fut bafoué de la même manière), lorsque le "grand démocrate" Sarkozy s’essaya sur le résultat du référendum qui fut soumis au peuple français le 29 mai 2005, concernant un ("nouveau") traité européen (dit traité de Lisbonne) que l’élite européenne voulait imposer aux peuples d’Europe, et bien que 55% des Français(es) votèrent NON, parce qu’ils étaient déterminé à voter contre un (nouveau) traité encore plus néolibérale !), la liberté, certes, mais à condition qu’elle serve à consommer plus !...

* L’argent, nerf de la Guerre ? Il est a noté que la monnaie unique européenne (l’euro) a été purement et simplement confisquée – via le traité européen (voir Pacte budgétaire européen, TSCG) – et les instances dirigeantes européennes (plus le FMI)... ont réduit à néant « la politique monétaire » de chaque État de « la zone euro », car celle-ci fut (définitivement) gravée dans le marbre (voir les critères de convergence). C’est une arme redoutable contre les peuples européens, qui ne sert que les intérêts de l’élite européenne, et asservit les peuples européens à la politique ultra-libérale que nous impose la Commission européenne (et le club « Eurogroupe »), et bâillonnera définitivement les peuples... Nous avons pu (malheureusement) constater que lors du déroulement des derniers évènements survenus en Grèce, le rouleau compresseur néolibéral européen à non seulement ruiner ce "partenaire" européen, mais a aussi exercer un terrorisme financier... l’enchaînement de tous ces évènements furent très révélateur de la véritable nature et de la vraie stratégie (les objectifs réels) de la Commission européenne !, et le personnel politique a agit (enfin) à visage découvert, et pour les peuples européens ce fut une vraie révélation ; le degré de servilité de certain(ne)s, fut encore plus démystificateur pour les peuples européens !

Merci à Tsipras, Varoufakis, Syriza et au peuple grec pour cette leçon magistrale de démystification des instances européennes, de leurs dirigeants et du personnel politique européen (mais pas que), un vrai régal !

sergio

Bibliographie :

« Never Let a Serious Crisis go to Waste : How Neoliberalism Survived the Financial Meltdown », par Philip Mirowski, Verso 2013.
Le néolibéralisme : consolidation d’un pouvoir de classe par Omer Moussaly, mai 2008.
« La démocratie » Publié le 4 octobre 2011 by Noam-Chomsky.fr
« La Violence des Riches » chronique d’une immense casse sociale par Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot, Edition La Découverte/poche 2013.
« Marx sans guillemets » Foucault, la gouvernementalité et la critique du néolibéralisme par Thomas Lemke (Traduit de l’anglais par Marc Chemali)
« Le risque, nouveau paradigme et analyseur sociétal » par Alain Marchand.
Politiques néolibérales. Démocratie et néolibéralisme. « ...Le néolibéralisme est un projet de transformation sociale et institutionnelle... fondé sur le calcul individuel dans l’ordre concurrentiel » par Christian Laval.
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