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L’ÉCONOMIE MONDIALE A BOUT DE SOUFFLE L’ultime crise du capitalisme ?

L’économie mondiale à bout de souffle se consacre à l’analyse de la crise qui traverse le monde et est partie des États-Unis en 2007 : elle est loin d’être terminée et va dans les prochains mois prendre de nouveaux développements. L’auteur commence par épingler les économistes « attitrés » qui se sont trompés et continuent de tromper le monde. Il analyse la longue dépression de 1929 en montrant que la crise actuelle en valeur est largement supérieure, et en utilisant la méthode marxiste il démontre qu’il y a toutes les explications chez Marx ! Il termine enfin son livre par un chapitre consacré à la France, où il montre quel serait le programme d’un candidat de la vraie gauche en mai 2012…

Jean Baumgarten est diplômé de Sciences-po Paris en 1955, la même année que Jacques Chirac. Il a milité dès le lycée Condorcet dans le mouvement trotskiste (auquel il a fait adhérer Félix Guattari et François de Massot) puis il a rejoint la nouvelle Gauche et le PSU dont il a fait partie du premier Bureau fédéral de la région parisienne avec Mireille Osmin et Michel Rocard en mars 1960. Il participe à l’exclusion de Michel Rocard en octobre 1974.

éditions l’Harmattan

ISBN : 978-2-296-55093-3

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Manifeste du Parti Communiste
Karl MARX
Présentation de l’éditeur " On ne peut prétendre que quelques belles pages peuvent à elles seules changer la face du monde. L’oeuvre de Dante tout entière n’a pas suffi à rendre un saint empereur romain aux Communes italiennes. Toutefois, lorsque l’on parle de ce texte que fut le Manifeste du parti communiste publié par Marx et Engels en 1848 et qui a, indéniablement, exercé une influence considérable sur deux siècles d’histoire, je pense qu’il faut le relire du point de vue de sa qualité (…)
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Croire que la révolution sociale soit concevable... sans explosions révolutionnaires d’une partie de la petite bourgeoisie avec tous ses préjugés, sans mouvement des masses prolétariennes et semi-prolétariennes politiquement inconscientes contre le joug seigneurial, clérical, monarchique, national, etc., c’est répudier la révolution sociale. C’est s’imaginer qu’une armée prendra position en un lieu donné et dira "Nous sommes pour le socialisme", et qu’une autre, en un autre lieu, dira "Nous sommes pour l’impérialisme", et que ce sera alors la révolution sociale !

Quiconque attend une révolution sociale “pure” ne vivra jamais assez longtemps pour la voir. Il n’est qu’un révolutionnaire en paroles qui ne comprend rien à ce qu’est une véritable révolution.

Lénine
dans "Bilan d’une discussion sur le droit des nations", 1916,
Oeuvres tome 22

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