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L’ÉCONOMIE MONDIALE A BOUT DE SOUFFLE L’ultime crise du capitalisme ?

L’économie mondiale à bout de souffle se consacre à l’analyse de la crise qui traverse le monde et est partie des États-Unis en 2007 : elle est loin d’être terminée et va dans les prochains mois prendre de nouveaux développements. L’auteur commence par épingler les économistes « attitrés » qui se sont trompés et continuent de tromper le monde. Il analyse la longue dépression de 1929 en montrant que la crise actuelle en valeur est largement supérieure, et en utilisant la méthode marxiste il démontre qu’il y a toutes les explications chez Marx ! Il termine enfin son livre par un chapitre consacré à la France, où il montre quel serait le programme d’un candidat de la vraie gauche en mai 2012…

Jean Baumgarten est diplômé de Sciences-po Paris en 1955, la même année que Jacques Chirac. Il a milité dès le lycée Condorcet dans le mouvement trotskiste (auquel il a fait adhérer Félix Guattari et François de Massot) puis il a rejoint la nouvelle Gauche et le PSU dont il a fait partie du premier Bureau fédéral de la région parisienne avec Mireille Osmin et Michel Rocard en mars 1960. Il participe à l’exclusion de Michel Rocard en octobre 1974.

éditions l’Harmattan

ISBN : 978-2-296-55093-3

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Comment la mondialisation a tué l’écologie
Aurélien BERNIER
Le débat scientifique sur la réalité du changement climatique a ses imposteurs. Mais, en matière d’environnement, les plus grandes impostures se situent dans le champ politique. Lorsque l’écologie émerge dans le débat public au début des années 1970, les grandes puissances économiques comprennent qu’un danger se profile. Alors que la mondialisation du capitalisme se met en place grâce à la stratégie du libre échange, l’écologie politique pourrait remettre en cause le productivisme, (…)
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« La démocratie et les droits de l’homme ne nous intéressent que très peu. Nous utilisons simplement ces mots pour cacher nos véritables motifs. Si la démocratie et les droits de l’homme nous importaient, nos ennemis seraient l’Indonésie, la Turquie, le Pérou ou la Colombie, par exemple. Parce que la situation à Cuba, comparée à celle de ces pays-là et de la plupart des pays du monde, est paradisiaque »

Wayne Smith, ancien chef de la Section des Intérêts Américains à La Havane (SINA) sous l’administration Reagan

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