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L’indien dans nos têtes

Libérez La mémoire de Wounded Knee – Libérez Leonard Peltier, l’Indien du 29 décembre

« Pour que l’histoire ne se répète pas, il faut sans cesse la remémorer : l’impunité qui récompense le délit encourage le délinquant. Et lorsque le délinquant c’est l’État, qui viole, vole, torture et tue sans rendre de compte à personne, alors il donne lui même le feu vert à la société entière pour violer, voler, torturer et tuer. Et la démocratie en paie, à longue ou courte échéance, les conséquences.

L’impunité du pouvoir, fille de la mal-mémoire, est une des maîtresses de l’école du crime. Et le nombre d’élève augmente chaque jour.

Lorsqu’elle est vraiment vivante, la mémoire ne contemple pas l’histoire, mais elle incite à la faire. Davantage que dans les musées où la malheureuse s’ennuie, la mémoire est dans l’air que nous respirons. Et dans l’air elle nous respire. Elle est contradictoire, comme nous. Elle n’est jamais au repos. Elle change, avec nous. »

(Eduardo Galeano « Mémoires et mal-mémoire »)

Le 29 Décembre 1890 il y a 123 ans Le massacre de Wounded Knee.

Et pour la révolte de Wounded Knee en 1973 Leonard Peltier n’est toujours pas libre

http://www.whoisleonardpeltier.info/
http://freepeltier.free.fr/

Il faut comprendre que les mots conquête, bataille, guerre, massacre, injustice etc veulent dire la même chose. Et que se « remémorer » ne sert à rien s’il ne s’ensuit des actions communes tendant à ne pas répéter les mêmes folies meurtrières. Tant que les systèmes d’enseignement et systèmes techniques seront verrouillés et corrompus, le désabrutissement ne pourra avoir lieu. Il y a pourtant des îlots de résistance ; on voit partout une élévation de la conscience du monde. Mais dans l’immense majorité des tenants du pouvoir financier politique militaire industriel , on peut dire qu’il n’y a pas eu de leçon de retenue de l’esclavage, du colonialisme etc .

 Aucune leçon n’a été retenue de Fukushima parce qu’aucune leçon n’a été retenue de Tchernobyl parce qu’aucune leçon n’a été retenue de Hiroshima parce qu’aucune leçon n’a été retenue de l’holocauste etc...

 Aucune leçon n’a été retenue de Ghouta parce qu’aucune leçon n’a été retenue de Falloujah parce qu’aucune leçon n’a été retenue du gazage des kurdes ou de l’agent orange du Vietnam parce qu’aucune leçon n’a été retenue de l’holocauste.

 Aucune leçon n’a été retenue de Gaza, de Lampedusa parce qu’aucune leçon n’a été retenue des veines ouvertes de l’Amérique latine ou des plaies béantes de l’Afrique Asie Océanie parce qu’aucune leçon n’a été retenue de l’holocauste.

 Aucune leçon n’a été retenue des dictatures sud américaine ou des colonels grecs ou de l’Indonésie de 1965 etc parce qu’aucune leçon n’a été retenue de l’holocauste... parce qu’aucune leçon n’a été retenue de Wounded Knee.

Force est de constater que l’hypocrisie et la lâcheté règnent, on se met en spectacle à l’hommage de Mandela sans rappeler que les gouvernements dont les représentants actuels qui se répandent en commémoration soutinrent l’ apartheid.

« 5 décembre 2013
Je vous salue, mes parents, amis et soutiens :

Çà m’attriste d’apprendre qu’un grand homme comme Nelson Mandela a quitté cette vie. C’était un homme qui nous inspirait beaucoup et nous montrait les possibilités pour les Autochtones de mener une lutte continuelle qui pouvait se manifester à des niveaux de liberté entravés par des siècles d’oppression.

Notre peuple Autochtone a souffert des mêmes types d’oppression à de nombreuses reprises. Çà ne se manifeste pas aussi ouvertement et distinctement qu’en d’autres lieux ; cependant, que vous soyez mort parce qu’un policier vous a tiré dessus ou mort parce que vous n’avez pas pu supporter le génocide racial et culturel, vous vous êtes suicidé – vous êtes tout aussi mort dans les deux cas. Nelson Mandela est connu pour avoir conduit la lutte contre l’apartheid en Afrique du Sud. L’Amérique parlait de mettre un terme à l’apartheid et d’appliquer des sanctions à l’Afrique du Sud. N’étant pas tellement adepte de la langue anglaise, je crois comprendre qu’(apartheid) signifie maintenir quelqu’un séparé de quelque chose ; mon peuple a été séparé délibérément des Black Hills sacrées du Dakota du Sud. Il y a eu, et il y a encore, des mesures qui nous maintiennent séparés de notre vraie histoire, appliquées par un système d’éducation qui limite la vérité de notre être. En ce moment même, ici en Amérique, en ce moment même au Canada, en ce moment même en Amérique du Sud, il y a un apartheid qui cherche à nous séparer de nos sites sacrés, de nos terres et de nos ressources. En ce moment même au Canada, des Autochtones luttent pour protéger leurs terres aborigènes de la fracturation hydraulique qui détruit les nappes d’eau et ébranle l’équilibre naturel de la Terre. En ce moment même, avec une mentalité d’apartheid, ils tentent de construire des pipelines, avec un potentiel de destruction écologique considérable, à travers les terres Autochtones. En ce moment même il y a une forme d’apartheid qui cherche à nous séparer de la protection de la constitution des États-Unis qui dit que la loi des traités est la loi suprême du pays ; qui dit aussi qu’on a droit à un procès équitable et sans préjugé ; qui dit aussi qu’on a droit à un jury composé de nos pairs. En ce moment même nos jeunes Autochtones adultes sont jugés TROIS fois plus souvent que n’importe quel autre groupe et maintenus en état d’apartheid de leurs familles et d’apartheid d’une représentation légale compétente.

Je pourrais continuer encore et encore, mais vous pouvez voir où je veux en venir. La lutte contre l’apartheid – j’en suis sûr – n’est pas terminée en Afrique du Sud, pas plus que la lutte contre l’apartheid et l’esclavage en Amérique. Nous devons tous considérer Nelson Mandela comme une source d’inspiration, mais je suis aussi inspiré par les plus humbles parmi notre peuple qui résistent pour ce qui est juste, comme le jeune homme ou la jeune femme qui tient pacifiquement une barricade contre les promoteurs et les compagnies pratiquant la fracturation hydraulique ou une quelconque usine qui abîme notre air. Pendant que j’y suis, dans tout ce chaos, je veux aussi me souvenir d’un frère du nom de Wanbli Tate qui a défendu infatigablement les droits des Autochtones dans des émissions de radio, des écrits, et sur internet, pour attirer l’attention sur les responsables de méfaits représentés au gouvernement et dans les grandes entreprises.

Nous avons perdu beaucoup d’entre vous ces dernières années et je veux à nouveau me souvenir de mon frère Russell Means qui n’a jamais relâché ses efforts pour mettre un terme à cette version américaine de l’apartheid à laquelle les Autochtones font face.

Dans l’esprit de tous ceux qui sont partis avant nous dans cette lutte, j’aimerais vous dire restez forts et n’abandonnez JAMAIS, JAMAIS.

Votre ami pour toujours,
Dans l’esprit de Crazy Horse,

Leonard Peltier
Mitakuye Oyasin »
http://www.csia-nitassinan.org/spip.php?article540

« Pour éviter ces multiples écueils, il faut se battre avec ténacité pour que jamais le parti ne devienne un instrument docile entre les mains d’un leader. Leader du verbe anglais qui signifie conduire. Le conducteur de peuple, cela n’existe plus maintenant. Les peuples ne sont plus des troupeaux et n’ont pas besoin d’être conduits. La nation ne doit pas être une affaire dirigée par un manitou. » (Frantz Fanon « Les damnés de la terre »)

Un commissaire européen vient s’indigner à Lampedusa alors qu’il est l’instrument de Frontex, le mur de Berlin, le mur de Gaza, le mur du Mexique de l’Europe des peuples sans les peuples contre les peuples. On « fête » le centenaire d’Albert Camus et on lui crache dessus dans les faits.
On s’apprête à encenser l’entrée en guerre de 14-18 alors que c’est la plus grande boucherie ouverte de paysans et autres soldats inconnus qu’avait prédit Jaurès avant d’être assassiné parce qu’aucune leçon n’a été retenue de Mai 1871, parce qu’aucune leçon n’a été retenue de la nuit du 4 Août 1789.

« Nous sommes les autres, c’est-à-dire que nous sommes devenus avec le temps ce que les autres - nos parents, les membres de notre famille, nos éducateurs - ont fait de nous, consciemment ou non. Nous sommes donc toujours influencés, le plus souvent à notre insu, par les divers systèmes dont nous faisons partie. »[...]
« Tant qu’on n’aura pas diffusé très largement à travers les hommes de cette planète la façon dont fonctionne leur cerveau, la façon dont ils l’utilisent et tant que l’on n’aura pas dit que jusqu’ici que cela a toujours été pour dominer l’autre, il y a peu de chance qu’il y ait quoi que ce soit qui change. » (Henri Laborit (dernière intervention dans "Mon oncle d’Amérique"))

p136 « Comprendre n’est ni justifier, ni disculper » [...] « pas de faux procès » [...] « des théoriciens de la psychologie sociale »[...] « leur intention est tout autre : nous amener à saisir que le jugement éthique est de peu d’utilité pour nous prévenir contre les effets potentiellement funestes de certaines formes d’obéissance. Autrement dit, il ne s’agit pas de mettre en cause le principe de la responsabilité sur lequel repose l’éthique, mais d’analyser le processus psychologique qui conduit les hommes , dans certaines circonstances, à neutraliser leur sens moral en faveur d’une autorité malveillante [Cf Cyrulnik, Laborit...] non pas pour justifier cette neutralisation, mais au contraire pour que nous soyons mieux préparés à y résister, à « défendre nos âmes » pour reprendre l’expression de Primo Levi. Il ne sert pas à grand chose de proclamer des grands principes éthiques si nous sommes inconscients de l’influence de causes puissantes qui, en pratique, conduit les hommes à les ignorer ou à agir à leur encontre.[...] « Les individus dociles et obéissants dont ils ont observé les comportements n’étaient ni des psychopathes, ni des pervers, ni des individus dénués de conscience morale mais des individus ordinaires. »[...] p137 « en sorte que leur conduite en dernier ressort nous renvoient à nous-mêmes »( Michel Terestchenko « Un si fragile vernis d’humanité »).

On fait des universités au nom de Marc Bloch et on ne retient aucune leçon de cette « étrange défaite »
On fait une université au nom de Cheikh Anta Diop sans même le nommer dans un discours... et on dit que « l’Afrique n’est pas entrée dans l’histoire », ou que « toutes les civilisations ne se valent pas », ou que « la France ne peut accueillir toute la misère du monde », ou dernièrement une petite fille française propose une banane à une femme noire, la comparant à un singe, comme tout un système éducatif (qui ne se limite pas à son entourage) le lui a suggéré, parce qu’aucune leçon n’a été retenue de Thiaroye, de Sétif ou des enfumades ou de Madagascar en 1947 etc parce qu’aucune leçon n’a été retenue de Wounded Knee.

 Il est temps de libérer Jeremy Hammond
http://www.monde-solidaire.org/spip/spip.php?article6076
 Il est temps de libérer la Grèce
www.nevivonspluscommedesesclaves.net
 Il est temps de libérer l’oiseau bleu de la santé
http://www.monde-solidaire.org/spip/spip.php?article6075
 Il est temps de libérer NDDL et NoTAV etc

car il est temps de libérer la mémoire de Wounded Knee, il est temps de libérer Leonard Peltier.

Parce qu’il est temps de libérer nos âmes.

XXX

6 janvier 2013
La profonde blessure de Wounded Knee
Du Lakota à Gaza (Counterpunch)
Johnny Barber
http://www.legrandsoir.info/du-lakota-a-gaza.html

XXX
L’HISTOIRE OU LA MÉMOIRE
29 décembre 1890 : le jour où il n’y eut plus que de bons Indiens … des Indiens morts
Suite sur http://jccabanel.pagesperso-orange.fr/th_wounded_knee.htm

XXX
"En mai, fleurs au verger font en automne la destinée."
Le 8 mai 1973 : fin de la révolte des Sioux à Wounded Knee
http://www.notrefamille.com/v2/editorial/8-mai.html

XXX
2002
http://woglakapi.free.fr/sioux/pages/wdknee19.htm

WOUNDED KNEE 1973

Au début des années 70, le gouvernement américain entreprend de déstabiliser et neutraliser l’American Indian Movement (AIM) .

De février à mai 1973, des traditionalistes indiens dont Dennis BANKS et Russell MEANS, leaders de l’AIM, occupent le hameau de Wounded Knee situé sur la réserve indienne de Pine Ridge (Dakota du Sud) afin de protester contre le régime de terreur instauré par le président tribal "progressiste" et corrompu Dick Wilson et sa milice paramilitaire privée recevant secrètement armes et munitions sophistiquées du FBI.

A la fin de l’occupation, et contrairement aux engagements qu’il avait pris lors des négociations avec les occupants, le gouvernement américain procède immédiatement à de multiples arrestations et accable le leadership de l’AIM à l’aide de procès truqués et d’emprisonnements arbitraires.

MATHIEW KING RACONTE :

« L’occupation de Wounded Knee en 1973 était une question de survie. Nous nous sommes saisis de nos armes car c’était notre devoir d’assurer la survie de notre peuple. Nous devions survivre. Il fallait que nous fassions savoir au monde la façon dont notre peuple était peu à peu anéanti. Le gouvernement des États-Unis ne peut dissimuler ce qu’il nous a fait subir. Le monde doit savoir.

Aujourd’hui, le monde sait.

Il est de notre devoir de redevenir un peuple libre, de former une nation parmi les autres nations du monde. Nous sommes une nation au sens où l’Organisation des Nations Unies l’entend. Nous disposons d’une langue, d’une religion, d’un territoire, d’une histoire ; notre culture remonte à la nuit des temps. C’est plus que le gouvernement américain peut prétendre. Votre langue est celle d’une autre nation et votre religion a été empruntée à une autre civilisation ; vous n’avez rien créé en ce domaine, Et vos terres ont été prises à d’autres également. À nous !

Les Indiens forment un peuple magnifique épris de paix. Chacun d’entre nous est un leader né. Nous avons beaucoup à apprendre au monde, nous avons tant de choses à offrir aux autres nations. Nous voulons occuper notre place parmi elles. Vous ne pouvez nous masquer aux yeux du monde.

Nous devions mettre un terme au massacre de notre peuple. Ainsi, en 1973, nous avons repris une petite partie du territoire qui nous appartenait, ici dans la réserve de Pine Ridge, la colline sacrée de Wounded Knee. Il s’agit du lieu même où Big Foot et sa bande furent abattus en 1890.

Telle est la raison pour laquelle nous choisîmes d’occuper Wounded Knee. Nous n’avions pas l’intention de nous servir de nos armes. Les hommes du FBI nous avaient encerclés. J’étais présent avec les Anciens ; nous assumions un rôle de conciliateurs. Nos guerriers vinrent me trouver pour me demander ce qu’ils devaient faire. « La Pipe, la Pipe Sacrée, leur répondis-je. Elle est plus puissante que n’importe quel fusil, plus puissante même qu’une bombe atomique ! »

Nous avons résisté soixante et onze jours. Et les fusils n’y étaient pour rien. Le pouvoir de la Pipe nous y aida, le pouvoir surnaturel de Dieu, De cette façon, nous avons pu éviter un nouveau massacre. Il y eut des blessés, quelques morts, mais nous observâmes le précepte de Dieu. Survivre. Après l’occupation, un grand nombre de nos guerriers furent arrêtés et jetés en prison. Leonard Peltier et les autres. Accusations inventées de toutes pièces. Peu leur importait qui ils avaient capturé. Il leur fallait un Indien, attraper n’importe lequel. Telle est la justice de l’homme blanc.

Mais nous avons survécu et nous continuerons de survivre. C’est ça Wounded Knee, Survivre. »

XXX

2002
http://woglakapi.free.fr/sioux/pages/lpeltier.htm

LEONARD PELTIER - UN MILITANT CONDAMNE SANS PREUVES

Incarcéré depuis vingt-cinq ans au pénitencier de Leavenworth, Kansas, Leonard Peltier https://fr.wikipedia.org/wiki/Leonard_Peltier connaît le sort peu enviable des prisonniers politiques. A 58 ans, ce Sioux Lakota aura tout subi. Tentative d’assassinat, harcèlement, quartier d’isolement, brutalités constantes. Faute de soins médicaux, une fracture de la mâchoire en a fait un impotent incapable de mastiquer sa nourriture. Pour quelles raisons ? Il faut remonter aux années soixante-dix, durant lesquelles le FBI faisait la guerre aux activistes de la cause indienne.
[...]

Affiche :
« Arrêtez la terreur à Pine Ridge ! » Article du nº 2 d’Osawatomie (printemps 1975), journal clandestin du Weather Underground, consacré à la répression de l’American Indian Movement dans la réserve amérindienne. La même année, Peltier y fut arrêté et incarcéré, accusé du meurtre de deux agents du FBI. L’article, lui, affirme que depuis le 1er mars 1975, deux ans après la révolte de Wounded Knee, sept membres ou sympathisants de l’AIM, dont deux femmes et un enfant, ont été assassinés.

XXX

Les Indiens de la tribu des Lakotas ne veulent plus être citoyens des Etats-Unis
Le Monde | 22.12.2007 à 14h30 • Mis à jour le 22.10.2012 à 22h07 |
Par Corine Lesnes - (Washington, correspondante)

Un groupe d’Indiens Lakotas a décidé de faire sécession des Etats-Unis. Une délégation est venue en informer les autorités américaines le 17 décembre à Washington. Leur responsable, l’écrivain, acteur et militant Russell Means, a remis à un fonctionnaire du département d’Etat une lettre annonçant leur décision de rompre les traités signés en 1851 et 1868. "Nous ne sommes plus citoyens des Etats-Unis", a expliqué Russell Means https://fr.wikipedia.org/wiki/Russell_Means
lors d’une conférence de presse organisée dans une église de Washington.

Suite sur http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2007/12/22/les-indiens-de-la-tribu-des-lakotas-ne-veulent-plus-etre-citoyens-des-etats-unis_992622_3222.html

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17 juin 2010
Un prisonnier politique sioux aux Etats-Unis, Leonard Peltier
colette

Leonard Peltier est en prison depuis 33 ans. Son Comité de soutien organise un rassemblement.... En 2002, Jacques Bertet publiait dans le Monde Diplomatique un article toujours d’actualité.
http://www.legrandsoir.info/Un-prisonnier-politique-sioux-aux-Etats-Unis-Leonard-Peltier.html

XXX

L’acteur et militant sioux Russell Means est mort
Le Monde | 22.10.2012 à 22h19

« Homme à la vie personnelle tumultueuse et connu pour son goût de la célébrité, Russell Means a été l’un des premiers dirigeants du mouvement pour les droits des Indiens d’Amérique, avant de se faire connaître à Hollywood dans des films également consacrés aux peuples indigènes.
Dans une note écrite deux jours avant sa mort, Means appelait ses fans à dédier une partie de leur temps "au travail sur lequel j’ai tenté de m’engager toute ma vie : la libération et la liberté pour mon peuple lakota, pour toutes les populations indigènes et, en fait, pour TOUS les gens". »

http://www.lemonde.fr/culture/article/2012/10/22/l-acteur-et-militant-sioux-russell-means-est-mort_1779365_3246.html

XXX

15 Février 2013
De Wounded Knee (1890) à Wounded Knee (1973)
http://www.humanite.fr/tribunes/de-wounded-knee-1890-wounded-knee-1973-515327

http://www.arizona-dream.com/Usa/Divers/edito/edito17-le-petit-wounded-knee-1973-par-white-bird.php

autres liens :
http://www.michelcollon.info/Leonard-Peltier-Le-plus-ancien.html
http://www.csia-nitassinan.org/spip.php?rubrique3

http://amerindien.e-monsite.com/pages/wounded-knee.html

http://www.woundedkneemuseum.org/

http://pres06.kazeo.com/wounded-knee-1973/wounded-knee-1973,a2565190.html
pas copiable voir déclaration John Yellowbird Steele

MamaKhan
http://www.lesgrandsmeres.fr/blog/

URL de cet article 23903
   
L’Eglise et l’école, de Marceau Pivert
La laïcité séduit au XIXe siècle une bourgeoisie soucieuse de progrès et d’efficacité. Les socialistes en font également leur cheval de bataille. La séparation de l’Église et de l’École puis de l’Église et de l’État en 1905 en est le symbole, mais ce fragile compromis est bientôt remis en cause. Face à une contestation grandissante, la bourgeoisie et l’Église s’allient pour maintenir l’ordre social, politique et moral. Depuis les années 1920, leur offensive conjointe reprend une à une les (…)
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Ce n’est pas la conscience des hommes qui détermine leur existence, c’est au contraire leur existence sociale qui détermine leur conscience.

Karl Marx

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