Macron (petit prodige) a bafoué les représentants syndicaux.
Macron a bafoué la représentation parlementaire. Lui et ses acolytes n’ont que mépris pour les députés FI qu’ils qualifient de révolutionnaires qui ne cherchent que le chaos.
Donc maintenant, c’est dans la rue que ça se passe. Les gens n’ont plus de respect pour les hommes (et femmes) politiques. Rien que des mots de dénigrement venus du discours sarko-wauqiézo-lepenien , antiparlementaire, anti-syndical, anti-social. L’assistanat, les charges, des mots instillés de force par les réactionnaires, un vocabulaire choisi à dessein.
Depuis son élection, Macron , le petit prodige, a trouvé très malin de faire venir au palais trois délégués par ci, trois représentants par-là. Il leur débite quelques amabilités et traits d’esprit et les remet dehors sans changer de ce qu’il avait décidé avant. Ce petit manège a assez duré. Les gens l’ont remarqué. Ils n’en veulent plus ! Macron voudrait bien continuer en désignant des volontaires Gilets-Jaunes, mais ça ne prend plus !
Il faut qu’il reçoivent TROIS CENTS délégués, sinon c’est pas la peine. Et pas pendant une heure, non, non. Il faut siéger, débattre, au moins trois semaines. Et pas qu’il arrive en sachant d’avance ce qui sera décidé.
Hé oui, c’était le rôle des corps intermédiaires. Il l’a ignoré. Il faut tout refaire, mon petit.