"Thanskgiving », la célébration US d’un génocide (New Eastern Outlook)

“Thanksgiving au Royal Angkor Café” » puis je lire sur un tract. Puis, « 23 novembre, joignez-vous à nous pour la traditionnelle célébration de Thanksgiving ». Il s’agit d’un des hôtels internationaux de Siem Reap, une cité cambodgienne proche des trésors architecturaux d’Angkor Vat et de l’ancienne capitale Khmer, Angkor Thom

Le même jour je reçois un E-mail qui m’est adressé des USA par mes amis et compatriotes américains, avec un lien vers un essai publié par "NPM News", et intitulé "Thanksgiving Guide : Ou comment célébrer une histoire sordide".

Cela commence par ce résumé :

"Alors que des Américains se préparent à une semaine de vacances spirituelles, débutant par Thanksgiving, (Les Actions de Grâce – NdT),combien sont-ils prêts à la regarder à travers une vision bien plus critique ? Alors que de nombreux Américains considèrent comme un devoir de mémoire de se rappeler de remercier (Le Seigneur – NdT), ce jour est considéré comme un jour de deuil par un grand nombre d’autres. La vérité est que ce jour-là des émigrants européens ont brutalement assassiné des indigènes autochtones, ont volées leurs terres, et continuent de le faire aujourd’hui".

Ce jour est devenu jour de fête officiel en 1637, afin de célébrer le massacre de plus de 700 indigènes autochtones de la Tribu des Pequots.

Dans un restaurant j’interpellais un très civil hôtelier français et lui demandait s’il était conscient de ce que ce jour représentait et pourquoi il était célébré dans un de ses restaurants.

“Oh ! Je sais, je sais », me répondit-il en riant. « C’est un sujet un peu controversé, n’est-ce pas » ?

« Un peu controversé », me suis-je étonné. « Il semble pourtant que ça consiste à inviter des gens à célébrer un génocide, un holocauste, en compagnie de flots de vins et d’une dinde géante ».

“Je tente de le voir positivement », ajouta-t-il à mon adresse. Il résuma : « Donc je ne pourrai pas compter sur votre participation ce soir. Quel dommage... ».

“Quelle pitié,’insistai-je, quelle pitié”. Je ne désire pas déguster cette fameuse dinde rôtie et ces « American Pies » et, si vous désirez savoir pourquoi, c’est juste parce que je ne me sens pas disposé à célébrer les massacres et les vols de terres perpétrés par l’Empire.

Le gérant ne put s’empêcher de me demander : “Mais d’où sortez-vous ?”

Je savais ce qu’il voulait dire. Aucun Européen n’aurait posé ce genre de questions.

« Je suis Russe » ais-je répondu.

“Oh, je vois ». Me dit-il, « Je comprends ».

« Russo-Américain » ais-je ajouté.

Je suis convaincu que le Français avait été sincèrement compréhensif du sujet dont je lui parlais. Il était même supposé être sincère. Il y a, après tout, « nos génocides », et les « génocides des autres ». “Nos génocides”, ceux que nous avons orchestrés ou commis, n’ont pas à être discutés. Ou plus précisément, il est extrêmement malpoli d’y faire allusion.

La plupart des gens ne savent rien à leur sujet, y compris de nombreuses victimes de ceux-ci. D’un autre côté, les génocides commis par les autres, particulièrement par les adversaires des Occidentaux, sont largement discutés, publiés, analysés ; et aussi bien souvent largement inventés.

Le Cambodge est le cas d’école de ces derniers. Ici, plusieurs décennies après les faits, les USA et leurs alliés ont au début supporté le gouvernement corrompu et brutal de Phnom Penh, alors qu’ils avaient engagé la monstrueuse campagne de bombardements en tapis de l’ensemble des zones rurales du Cambodge, bien loin au-delà de la frontière du Vietnam.

C’était soi-disant afin de prévenir la main mise « communiste » sur le pays, ou au moins le prévenir de devenir un pays dans le « style communiste » de Ho-Chi-Min. Des centaines de milliers de villageois furent assassinés dans les bombardements. Des millions furent forcés de prendre la route abandonnant leurs fermes, et le pays fut transformé en un champ de mines géant, tapissé de munitions non explosées.

Plusieurs centaines de milliers moururent de famine et d’épidémies. Furieux, fous de souffrance, le Peuple du Cambodge se dressa contre les collaborateurs de l’Occident à Phnom Penh. Pol Pot et ses Khmers rouges prirent la capitale pratiquement sans aucune opposition. Récemment, au fond de la jungle, j’ai pu parler personnellement avec un ancien garde personnel de Pol Pot. Je lui demandai à brûle-pourpoint s’il savait quelque chose au sujet du Communisme. « Rien du tout à ce sujet », fut sa réponse. Les USA avaient assassinées nos familles sans aucune raison. Les élites corrompues nous avaient vendus à l’Occident. Nous étions outragés, et prêts pour la vengeance. Malgré ceci l’Occident a, à ce jour, réussi à faire passer ces événements pour un « Génocide communiste ».

Le Rwanda est aussi un autre cas de “récit inventé et tordu”. J’ai réalisé un documentaire sur le sujet – « Le Gambit rwandais ». Dans ce cas l’Occident a retourné complètement l’histoire, en réduisant entièrement cette tragédie à une narrative primitive facile à digérer sur les « mauvais » Hutus, assassinant les « bons » Tutsis »

Pourtant l’ancien ambassadeur des Etats-Unis, Robert Flattent m’a déclaré que son pays avait couvert, armé, et soutenu le morbide RPF, devenu l’armée Tutsi, qui avait avant 1994 pillé le pays rwandais depuis les campagnes ougandaises, incendiant les villages et assassinant les civils. De même un ancien législateur australien, Michael Hourrigan, enquêteur de l’ONU, m’a fourni des informations sur la destruction à l’atterrissage en 1994 de l’avion du président rwandai Juvenal Habaryarimana, ainsi que de son homologue ougandais Cyprien Ntaryamira, alors qu’il arrivaient à l’aéroport de Kigali. Les ordres d’abattre l’aéronef émanaient du leader du RPF Paul Kagamé, qui a depuis été adoubé par l’Occident.

Cet événement entraîna le terrible bain de sang de 1994. L’année d’après, en 1995, l’Armée du Rwanda envahissait la République Démocratique du Congo, (RDC), et participait à l’assassinat d’au moins 9 millions de personnes, la plupart des civils, aux côtés des Gouvernements occidentaux et des compagnies multinationales lors du plus grave crime contre l’Humanité de l’histoire contemporaine.

En fait, pratiquement tous les génocides majeurs commis par l’Occident ou par ses allies dans l’Histoire moderne, ont été passés sous silence, y compris ceux commis en Irak, en Syrie, en Iran, en Papouasie occidentale, dans le Timor occidental, en DRC, en Indonésie, en Afghanistan, et dans des douzaines d’autres endroits aussi malchanceux tout autour du monde.

Ces génocides révoltants commis par l’Occident tout autour du Monde au cours des derniers 2000 ans, mais surtout au cours des 500 dernières années, ne sont jamais définis comme « génocides ». A travers l’Histoire, les contrées européennes ont détruit systématiquement la plupart des cultures de tous les continents de la Planète, mettant virtuellement en esclavage toutes les nations non-blanches, pressurant et exploitant les colonies, (Lisez : Toutes les nations non blanches du Monde), tout en exterminant des centaines de millions d’hommes, de femmes, et d’enfants. Le rapport létal augmente, s’accumule, tendant vers le milliard, selon les témoignages et analyses d’un de mes amis, un statiticien chevronné de l’ONU.

Revenons rapidement sur mon “Histoire cambodgienne” et aux pages de ce magazine. Et je veux revenir encore et encore, sur les génocides commis par l’Europe et les Etats-Unis d’Amérique, pratiquement de partout. Sans une Histoire comprise et connue le Monde n’a pas de futur, et il ne peut y avoir de solutions à ces problèmes dramatiques sans que notre Humanité ne s’y affronte.

Mais pour le moment, laissez-moi conclure ce bref essai en déclarant que je n’ai pas participé à la consommation ni de la dinde en question, ni des « American Pies » lors du jour de Thanksgiving dans la ville cambodgienne de Seam Reap.

Mon sentiment est inspiré par ces 700 personnes de la Tribu des Pequots qui résistèrent fièrement et moururent pour leur liberté il y a 400 ans. Ils furent parmi les premiers combattants contre l’Impérialisme occidental. Ils furent les « Américains » que j’admire, cette "Amérique" qui a été terriblement endommagée mais pas totalement détruite. Aucuns mots sirupeux, sentimentaux et pleins de vide ne pourront pleinement faire ressortir leur esprit, seulement le plein silence des masques de souffrance de ceux qui moururent assassinés aux mains des envahisseurs européens au cours des conquêtes de ce qui a été cyniquement baptisé comme le « Nouveau monde ».

Andre Vltchek

Andre Vltchek est un Nouvelliste, Producteur, et Journaliste d’investigation. Il a couvert les guerres et les conflits dans des douzaines de pays. Trois de se derniers livres son un hommage à la "Grande Révolution Socialiste d’Octobre", une nouvelle révolutionnaire "Aurora", et un best-seller, un travail de realpolitik : "Exposer les mensonges de l’Empire". Son autre ouvrage, "Watch Rwanda gambit" est un best-seller sismique qui secoue toutes les idées reçues au sujet du Rwanda et de la République Démocratique du Congo de même que son film dialogue avec Noam Chomsky sur le "Terrorisme occidental".

Vltchek vit actuellement en Asie occidentale et au Moyen Orient et continue à travailler autour du Monde. Il peut être contacté sur son Website et sur son compte Twitter.

Traduit par Geb. Avec les erreurs et aproxymations habituelles et involontaires.

 https://journal-neo.org/2017/12/01/genocidal-u-s-thanksgiving-celebrated-even-in-cambodia/

COMMENTAIRES  

04/12/2017 06:26 par BRUNO

Merci de nous informer sur la fête de Thanksgiving. Je ferai passer l’information sur les réseaux sociaux. Comme quoi, les fêtes des uns sont les massacres des autres. Effarant !
La guerre au Cambodge doit être lue comme une guerre totale fomentée par les USA, c’est clair, et le premier génocide fut bien US. un fait que l’on cache car il ne faut pas en parler. On pourrait dire la même chose bien sûr avec la guerre US du Vietnam et la guerre US au Laos. L’histoire est à réécrire assurément. Ensuite par contre, il ne faut pas se voiler la face, il y a eu une sorte de "fascisation" du processus oppositionnel en réaction avec l’agression US. Le fascisme et la folie meurtrière naissent toujours des guerres totales. Les film de Rithy Panh et les nombreux livres documentent bien la question. N’est-ce pas après tout l’armée Vietnamienne qui a libéré le Cambodge des dits " Kmers rouges " ? Il s’agit de bien comprendre que le Vietnam était soutenu par la Russie et le Cambodge par la Chine de Mao. Il y a eu toutes sortes de conceptions effarantes à l’époque et les rivalités entre pays se faisaient aussi sur la toile de fond de la guerre impérialiste totale que les USA menait alors. Les USA, cette grande nation criminelle s’il en est !
Quand au Rwanda, il est clair que ce sont les fascistes du Hutu Power qui ont abattu l’avion du président Habyarimana avec la complicité du gouvernement français de l’époque et d’un commando de l’armée Française et Rwandaise. Le gouvernement français de l’époque était celui de M.Baladur, M.Juppé, M.Léotard pendant le gouvernement de cohabitation entre le RPR et la présidence de François Mitterand . Ce dernier n’est pas en reste puisqu’il y avait un cabinet noir à l’ Elysée qui suivait jour après jour la suite de la guerre au Rwanda qui a débouché sur le Génocide final. Il ne faut pas oublier que les forces fascistes du Hutu Power refusaient de partager le pouvoir avec les Tutsis et que l’un des dirigeants du Hutu Power adulait Hilter. Les démocrates Hutus qui acceptaient de partager le pouvoir avec les Tutsis ont eux aussi été exterminés avec les seconds. Il faut lire le formidable livre " La Nuit Rwandaise " de M.Jean-Paul Gouteux pour bien saisir l’enchainement des évènement depuis le bourrage de crâne des anciens colons Belges qui n’ont cessé pendant tout un siècle d’opposer chacune des ethnies pour mieux régner sans partage et ensuite l’implication colonial et néocoloniale de la France qui a finalement soutenu le Hutu Power, les fascistes dont les troupes armées n’ont rien eu à envier aux armées nazies des Einsatzgruppen. Il faut lire Jean-Paul Gouteux, vraiment ! La Nuit Rwandaise est aussi une revue qu’il est bon de consulter avant de balancer des articles vite écrits et peu au fait de l’Histoire.
1/ https://www.lanuitrwandaise.org/revue/
2/ http://nuit.rwandaise.free.fr/

04/12/2017 10:45 par J.J.

"Thanskgiving", ce n’est pas cette fête ridiculement tragique, à l’occasion de laquelle le président étasunien "gracie" une dinde ?
Tragique en effet, quand on considère que l’on peut gracier une dinde(?) dans un pays qui se prétend civilisé, où la peine de mort est encore largement appliquée et où des policiers peuvent impunément ouvrir le feu sur des personnes qui leur paraissent seulement "suspectes".
La frivolité, le ridicule et la cruauté élevée à la hauteur de valeurs nationales.

04/12/2017 13:34 par Paul-Victor de Merode

« tout en exterminant des centaines de millions d’hommes, de femmes, et d’enfants. Le rapport létal augmente, s’accumule, tendant vers le milliard, selon les témoignages et analyses d’un de mes amis, un statisticien chevronné de l’ONU. »

Il faudrait que ce statisticien arrête de fumer la moquette…, des centaines de millions…., n’importe quoi !

D’accord sur le reste, les Yankees, ces Européens retournés à l’état sauvage, tuaient alors, et continuent depuis. C’est le prix à payer pour une hégémonie mondiale : les Nazis en rêvaient, eux l’ont fait !

04/12/2017 17:59 par Fald

Sur les Khmers Rouges, qu’on met évidemment sur le dos des communistes, un détail, au sens ironique du terme, que les Français n’ont jamais voulu voir :

Jusqu’en 1975, ils étaient des maquisards dans la jungle et les communistes soutenaient leur combat contre l’occupation américaine. A partir de 1975 et la fermeture totale du pays, l’inquiétude s’est évidemment installée, d’autant qu’on savait l’insécurité qu’ils faisaient régner dans les zones frontalières du Vietnam.

En 1979, les Vietnamiens se sont décidé à intervenir, accompagnés par de nombreux autres anciens Khmers Rouges qui s’étaient opposés à Pol Pot et réfugiés au Vietnam. Les communistes s’en sont réjouis. Et on a découvert l’ampleur du massacre.

Dès ce moment, les Khmers Rouges auraient dû devenir des anciens combattants réfugiés en Chine, donc loin du Cambodge et inoffensifs pour lui.

Mais l’anticommunisme a primé sur tout.

Les Vietmaniens sont devenus les méchants envahisseurs, et les Potpotistes ont trouvé refuge dans le très pro-occidental royaume de Thaïlande, à la frontière du Cambodge, ils y ont trouvé armes et ravitaillement, ainsi que les soins attentionnés des "French Doctors", et ils ont pu ravager encore leur pays pendant plus de dix ans.

Mais pour la masse des Français, ils restent évidemment des communistes, bien sûr alliés des communistes français.

Quelques commentateurs viennent encore, à propos d’un autre article de LGS, de me reprocher mon pessimisme, mais je vous assure, c’est juste de la mémoire.

La bourgeoisie a gagné la guerre idéologique !

04/12/2017 20:08 par Geb.

@ Paul Victor de Merode.

Prière de lire avant de tenter de critiquer. et en plus sur un point mineur de l’article :
L’auteur écrit :
"Ces génocides révoltants commis par l’Occident tout autour du Monde au cours des derniers 2000 ans, mais surtout au cours des 500 dernières années, ne sont jamais définis comme « génocides »".

Le "milliard", (Approximatif), de victimes c’est sur les 2000 ans précédents et surtout sur les 500 dernières années.

Personnellement j’avais compté il y a quelques années, (Eh oui quand on s’intéresse aux "vivants" il est toujours bon de s’intéresser aussi aux "morts"... Et à comment et "grâce" à qui ils le sont devenus). Et j’étais bien au delà.

Depuis il y a eu quelques rajouts, hélas.

Mais vous pouvez aussi écrire à Vlitchek, (Ses adresses Mail et Twitter sont en fin d’article), pour marchander au plus juste si vous le désirez ; ou si vous avez eu des infos complémentaires sur le nombre de victimes.
Il sera certainement enchanté de voir que ses travaux intéressent dans le Monde entier.

05/12/2017 09:49 par J.J.

Hors sujet, mais.....
"La frivolité, le ridicule et la cruauté élevée à la hauteur de valeurs nationales."

Remarquez que j’ai fait instinctivement l’accord dit "de proximité", Bien qu’ayant été élevé orthographiquement avec cette tradition du "masculin qui l’emporte sur le féminin". En réalité, ce n’est qu’un procédé mnémotechnique(jugé maladroit, maintenant), qui n’a figuré et ne figure dans aucune une instruction officielle.
Alors, l’écriture inclusive ! Il y a certainement des sujets plus graves à propos de la condition féminine. Par exemple, on pourrait faire le décompte, dans ces épouvantables statistiques à propos de ces génocides millénaires, ou contemporains, du nombre de femmes qui en ont été victimes .

05/12/2017 14:17 par Paul-Victor de Merode

Voici deux sources concernant nos tristes boucheries :

https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_genocides_by_death_toll
https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_wars_by_death_toll


@J.J. : non seulement hors sujet, mais en plus totalement indécent au vu de la gravité de celui-ci ; c’est le dernier endroit pour venir débattre de subtilités grammaticales et, derrière celles-ci, de féminisme, car c’est bien de cela qu’il s’agit : « Par exemple, on pourrait faire le décompte, dans ces épouvantables statistiques à propos de ces génocides millénaires, ou contemporains, du nombre de femmes qui en ont été victimes. » Quel intérêt ? Dans un génocide, tout comme dans une guerre, tout le monde y passe : hommes, femmes, hétéros, homos, trans, enfants, vieillards….

05/12/2017 18:09 par J.J.

@Paul-Victor de Merode. Je ne vois pas en quoi il est indécent de faire remarquer que le débat ridicule mis sur le tapis par des ayatollesques féministes se base sur des a priori parfaitement inexacts, ayant d’ailleurs reconnu le hors sujet.
Si le Grand soir avait porté un jugement défavorable à mes propos, je suppose qu’il ne les aurait pas publiés.
D’autre part, ne résidant pas très loin d’Oradour sur Glane, malgré mon jeune âge à l’époque, j’ai été parmi les premiers à apprendre cette nouvelle, alors les génocides...
D’autre part, je n’apprécie pas du tout le genre de propos que vous tenez à mon égard.
Il m’arrive de lire sur Le Grand Soir des commentaires qui ne me plaisent pas forcément, je ne me sens pas pour autant autorisé à faire une leçon de morale à leurs auteurs.
Note au Grand Soir : si vous ne publiez pas ma réponse, je le comprendrai très bien. par contre, je vous serai reconnaissant dans ce cas de faire parvenir ma réponse à monsieur Mérode. D’avance je vous en remercie.

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