2 janvier 2021
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Informatés
Gaëtan PELLETIER
On voudrait que les poètes écrivent des odes à la beauté de ce monde. On voudrait qu’ils en déterrent les joyaux, qu’ils soulèvent la laideur comme on lève un tapis. Hélas ! Hélas ! La saleté est exponentielle, donc irréversible. Il faudrait changer de tapis...
C’est un beau grand tapis bleu qui tourne au gris, peu à peu...
Tout est en train de se fondre dans le grand canyon de l’avoir, enfoui et enterré avec une valeur égale au petit marchandiseur terrien d’un orgueil gaufré. Ce (…)











