Auteur Gaëtan PELLETIER

Québec is raid

Gaëtan PELLETIER
Fire Belle (Always Ready), 1956. En perdant leur faim, ont perdu le sentiment des choses. Récoltes chiffrées en $, terre devenue un capital de production, moisons et récoltes vendues avant d’être semées. Mauvaises récoltes : pas la mort, une simple perte d’argent. L’amour se dessèche au contact de l’argent. Les fermiers se transforment en commerçants. Seuls les bons subsistent. Les fermes tombent aux mains des hommes d’affaires ; elles s’agrandissent et leur nombre diminue. L’agriculture (…)

Politique : 4X4=2

Gaëtan PELLETIER
Cliquer sur l’image pour agrandir l’horribilité du dessein à venir. *** La politique est une activité bien en retard sur l’économie en train de dévaster tous les pays du monde. Compagnies piranhas mangent les petits en s’agglomérant. Dents d’acier et absence d’empathie. Politiciens : 4X4=2 À se demander s’ils sont imbéciles ou inconscients. Ils sont en fait des anorexiques qui cachent les bedonnant banquiers. Leur mandat dure 4 ans, mais pendant ce 4 ans, la marmite du business sans (…)

Le monde en GIF

Gaëtan PELLETIER
La Terre est une ronde bombe. Intra-bombes et extra-bombes. Vu la capacité de tuer à coups de de largages de bombes, les moustique, eux-mêmes, ne résisteront plus. Qui donc veut raser la Terre ? Le vinaigre ou vin-aigre Les bulletins télévisés, ce sont les fast-foods de notre intellect : plus on en mange, plus notre peur grossit. Et plus nous sommes emmêlés dans notre jargon de disséquer les aberrations quotidiennes. Le poison n’est plus seulement dans notre assiette, il est dans nos (…)

Pierre Karl Péladeau : Messie beaucoup ! And thank you...

Gaëtan PELLETIER
"Ne te demande pas ce que ton paillis peut faire pour toi mais ce que tu peux faire pour ton paillis" ( je les invente toujours... Je me suis shooté aux San-Antonio un peu trop longtemps) ** Je suis apolitique comme celui qui prie dieu de l’aider à se débarrasser de son athéisme. Surtout depuis qu’elle roule à la mondialisation, sorte de carburant corrosif pour les "pays". Quels pays ? Voilà Monsieur Péladeau qui vient donner une flambée de fièvre aux fibreux séparatistes. Ils (…)

Bienvenue au 4e Reich ! Terra Auschwitz…

Gaëtan PELLETIER
"Quand un banquier monte au ciel, tout son argent va six pieds sous terre" J. Beauregard Les paradis fiscaux Selon l’auteur, la décision du premier ministre Paul Martin d’enregistrer sa compagnie, Canada Steamship Lines, à la Barbade en 1995 a sonné le coup d’envoi d’une véritable course au offshore pour les riches contribuables et les entreprises canadiennes. « À partir de cette date, l’augmentation des placements canadiens à la Barbade sera de l’ordre de 3600 % en quelques années, (…)

La fable du chien riche et du chien pauvre

Gaëtan PELLETIER
Il était une fois un chien riche qui entra chez le boucher pour se procurer des os. Il m’en faut 1000, lui dit le chien riche. Le boucher abasourdis, se gratta le crâne, puis il cessa, voyant le chien bavant. Pour les os, Monsieur Chien, il faut décarcasser toute une bête... Ce n’est pas simple. Et pourquoi 1000 ? Il m’en faut 500 pour manger, 200 pour mes vieux jours, et 300 pour investir. Avez-vous une idée comment procéder ? C’est simple. Et il lui donna la recette. Pendant les (…)

L’OS-térité du charognard à cravate

Gaëtan PELLETIER
- Grand-père a tué les indiens. Pa a tué les serpents pour le bien de cette terre. Peut-être qu’on pourrait tuer les banques. Elles sont pires que les Indiens, que les serpents. Peut-être qu’il faudrait qu’on se batte pour sauver nos terres comme l’on fait Grand-père et Pa. - Les raisins de la colère, John Steinbeck *** Pour briser le soulèvement de la région d’Al-Anbar, Nouri al-Maliki a acheté pour 6 milliards de dollars d’équipements militaires aux États-Unis - dont 24 hélicoptères (…)

Sotchi : le jeu du "Tu viens d’où"

Gaëtan PELLETIER
On en est rendu à 50 milliards d’Euros pour les jeux d’hiver de Sotchi. Les gens viendront de tous les coins du monde pour aller de temps en temps au petit coin. Les "John et les Mary", comme disent les étasuniens sont fabriqués sous couvert d’austérité. Je sais, on va toujours au petit coin en famille. Sauf que personne n’y va à la même heure. Je suggère que l’on fournisse aux utilisateurs au moins un masque pour dormir. Ainsi, les gens qui se retrouveront dans le même petit coin (…)

Courez ! Les zombies arrivent lentement...

Gaëtan PELLETIER
J’étais en train de me tricoter une paire de bas pour essayer d’enrayer le fléau des importations chinoises, assis devant la télé. La méthode n’est pas efficace, mais comme en tout, on ne tricote que son être en ce (vraiment) bas monde. Une paire de bas tricotée, ça n’a plus de valeur. L’artisan est "avaleur" avalé par la machinerie lourde des industries lustrées qui bouffent des Charlie Chaplin. Personne ne l’a remarqué, mais tricoter ou tirer des doigts des grains de chapelets, c’est (…)

La vie tumultueuse de Marc Handise

Gaëtan PELLETIER
Dicto : je s’aime à tout vendre (Je viens de créer une "citation". ) **** Selon un rapport qui a été publié l’été dernier, l’élite mondiale a jusqu’à 32 milliards de dollars planqués dans des banques offshore autour de la planète. Il est estimé que l’ensemble du continent africain possède seulement environ 1 pour cent de la richesse totale du monde. Source *** La finale économique de Beethoven : Boom ! Boom ! Boom ! Boom ! Dire qu’il en est est qui se fouettent pour accéder à une (…)

Sous le règne de Ponzicius

Gaëtan PELLETIER
Un système de Ponzi (Ponzi scheme en anglais) est un montage financier frauduleux qui consiste à rémunérer les investissements des clients essentiellement par les fonds procurés par les nouveaux entrants. Si l’escroquerie n’est pas découverte, elle apparaît au grand jour le jour où elle s’écroule, c’est-à-dire quand les sommes procurées par les nouveaux entrants ne suffisent plus à couvrir les rémunérations des clients1. Elle tient son nom de Charles Ponzi qui est devenu célèbre après avoir (…)

La Terre est un oeuf

Gaëtan PELLETIER
Texte datant de 1835 : ICI ******* Desport. "Sport vient du vieux mot français "desport" ou "deport" Se déporter signifiait s’amuser" Albert Jacquard, J’accuse l’économie triomphante, page 69. ************* Politiciens, financiers, banquiers, PDG, peu importe : nous sommes tous le petit déjeuner avant la finale : la fin du monde. La Terre commence à avoir le souffle court, son cancer est généralisé, mais les crétins de médecins continuent de fabriquer et de vendre la (…)